Togo- ASVITTO dénonce un « procès arbitraire » contre des détenus politiques
Dans la nuit de lundi à mardi, la Cour d’assises de Lomé a jugé puis condamné 14 détenus politiques, arrêtés…
Dans la nuit de lundi à mardi, la Cour d’assises de Lomé a jugé puis condamné 14 détenus politiques, arrêtés…
Le ministère des Transports routiers, aériens et ferroviaires a annoncé que la circulation sur la route nationale N°1 serait perturbée…
La Ligue des Consommateurs du Togo (LCT) a exprimé, dans un communiqué officiel, sa profonde indignation face à l’augmentation des frais de retrait sur le service Mobil Money, introduite par le groupe YAS TOGO depuis le 31 janvier 2025. Cette hausse tarifaire, pouvant aller jusqu’à 80%, a des conséquences néfastes sur le pouvoir d’achat des Togolais et menace l’inclusion financière. LCT appelle à une intervention urgente de la BCEAO pour réguler ces hausses et assurer la protection des consommateurs.
La Cour d’assises de Lomé a prononcé, dans la nuit de lundi à mardi, des peines de dix ans d’emprisonnement…
L’Agence nationale de la météorologie (ANAMET) annonce une situation météorologique contrastée au Togo durant les mois de février et mars.…
Né le 28 janvier 1979 à Mbandaka, en République Démocratique du Congo, Alain Super Ekosa est une figure incontournable de…
C’est devenu une série sans fin. Au Togo, les marchés brulent et continuent de bruler sans aucune explication raisonnable. Les victimes se multiplient. En fin d’année dernière, deux marchés ont été touchés par la spirale noire. Cette fois, c’était le tour des marchés d’Amou Oblo et d’Adidodogmé Assiyéyé d’être frappés par de mystérieuses flammes.
Au Togo, le permis de construire est un document administratif crucial pour garantir la sécurité et l’esthétique urbaine. Cependant, une méconnaissance généralisée des procédures administratives conduit souvent les citoyens à enfreindre involontairement la réglementation. Face à cette situation, le Mouvement Martin Luther King (MMLK) appelle les mairies à intensifier la sensibilisation des populations avant d’imposer des sanctions, proposant même une période transitoire de trois mois pour permettre une meilleure compréhension et conformité aux normes en vigueur.
Cette usurpation du droit du Peuple togolais ne serait pas possible sans l’influence de nombreux acteurs non gouvernementaux tels que : les groupes armés, les milices, les organisations d’économie criminelle qui peuvent également bénéficier ou profiter de zones de non-droit et faire pression sur les populations ou les responsables d’institutions étatiques et juridiques pour ne pas porter plainte contre les actes d’usurpation de l’État de droit.
La Dynamique pour la majorité du peuple (DMP), dans un communiqué, accuse le gouvernement togolais de ne pas respecter ses…