Bénin-Abus sexuels : 02 hommes écopent de 5 ans de prison
Le tribunal de première instance de deuxième classe de Parakou a condamné deux hommes à cinq ans de prison ferme et une amende de 100 mille francs Cfa, pour « abus sexuel et escroquerie. »
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Le tribunal de première instance de deuxième classe de Parakou a condamné deux hommes à cinq ans de prison ferme et une amende de 100 mille francs Cfa, pour « abus sexuel et escroquerie. »
Est-il encore besoin de passer par des avertissements lorsqu’existent déjà des textes qui répriment les écarts de comportement des magistrats ? De combien de temps le président de la Cour suprême veut-il disposer avant de commencer un nettoyage de fond, histoire de faire savoir à tout le monde que les actes passés cachés ne demeureront pas impunis ?
Le Garde des sceaux, ministre de la Justice et la législation, veut mettre de l’ordre dans la délivrance des ordonnances à pied de requête portant cessation de travaux, ouverture de porte ou expulsion.
« Il est reproché aux quatre policiers et deux agents des Eaux, Forêt et Chasse une « légèreté » dans l’affaire de trafic international de drogue impliquant des ressortissants nigérians », a rapporté 24 Heures au Bénin.
Le procès en appel dans l’affaire dite « Pétrolegate » n’avance pas. L’audience de ce jeudi 14 octobre 2021 à la Cour d’Appel n’a rien donné. Elle est renvoyée au 09 décembre prochain.
Le président national du Front des Patriotes pour la Démocratie (FPD) Djimon Oré ne sortira de prison de sitôt. Le procès en appel ce matin n’a rien donné. L’opposant va passer les deux ans prison.
Il faut souligner que c’est la salle des banquets de Ouaga 2000 qui a été aménagée pour accueillir ce procès historique.
La sécurisation de l’abolition de la peine de mort au Togo a fait l’objet d’une table ronde organisée par l’ACAT -Togo et la FIACAT samedi dernier. Une rencontre qui intervient dans le cadre de la 19ème Journée mondiale contre la peine de mort célébrée dimanche. A cet effet, des recommandations ont été formulées par les participants à l’endroit des gouvernants, des parlementaires, des organisations de la société société civile et ce, dans une déclaration officielle.
Doit-on s’adosser sur les propos du président de la cour suprême et chercher à mouiller de jeunes juges qui, dans l’ombre, s’efforcent de s’acquitter de leur devoir ? Est-il permis dans le fonctionnement de l’appareil judiciaire que l’Inspection générale en charge des enquêtes sur les magistrats laisse à la portée de médias des informations sensibles alors qu’aucune culpabilité n’est encore établie et qu’apparemment, l’Inspecteur n’a pas reçu de plainte de la partie ayant perdu un procès en première instance ?
Les autorités béninoises ne lésinent pas sur les moyens de lutte contre le phénomène de trafic des carnets de vaccination contre la Covid-19. Après une vague d’arrestation menée la semaine dernière, deux autres agents femmes du ministères de la Santé ont été épinglées mardi.