Togo-Kaboua réclame un « pardon » de Fabre
Pour le président du Mouvement des républicains centristes (MRC), le patron de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) doit demander « pardon » aux acteurs politiques, particulièrement à lui.
Pour le président du Mouvement des républicains centristes (MRC), le patron de l’Alliance nationale pour le changement (ANC) doit demander « pardon » aux acteurs politiques, particulièrement à lui.
Le président de la Convergence Patriotique Panafricaine (CPP), Adrien Béléki, s’est récemment prononcé sur les conclusions des travaux au sein de la Concertation Nationale des Acteurs des Partis Politiques (CNAP).
Les conclusions issues de la Concertation nationale entre acteurs politiques (CNAP) sont connues du grand public depuis quelques jours. A la Convergence Patriotique Panafricaine (CPP), l’on attend avec impatience la mise en œuvre des décisions prises lors de ce dialogue.
Intervenant dimanche dans l’émission « D12 » sur la radio Pyramide Fm, Me Zeus Ajavon est revenu sur le choix de Gabriel Agbéyomé pour la présidentielle de 2020 comme candidat de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK).
Cette fois, l’avocat togolais est allé fort. Intervenant récemment sur une chaîne de télévision privée de la place, Me Jean Dégli a déclaré sans langue de bois ce qu’il pense de la politique et des politiciens togolais.
« Le Président démocratiquement élu du Togo », comme il se présente depuis l’élection présidentielle de février 2020 qu’il estime avoir gagnée dès le premier tour, demande pardon à ses compatriotes pour avoir travaillé avec le parti au pouvoir, Union pour la République (UNIR) dans un message baptisé « clairon de la délivrance de l’alternance ».
La bonne raison finit toujours par s´imposer d´elle-même, peu importe de qui elle émane. Mais malheureusement en politique, l´idée de l´adversaire n´est jamais la bonne, même s´elle vaut de l´or pour le pays aux yeux du peuple. Dans toutes les démocraties, même occidentales, il en est ainsi.
Agbéyomé Kodjo, « président démocratiquement élu », lors du scrutin présidentiel de février 2020, doit passer à autre. C’est l’exhortation de Me Jean Degli, leader du mouvement « Bâtir le Togo » à l’endroit candidat de la Dynamique Monseigneur Kpodzro (DMK) qui revendique encore sa victoire après plus d’un an.
Les conclusions de la fameuse Concertation nationale entre acteurs politiques (CNAP) n’enchantent pas grand nombre des Togolais. A la Dynamique Mgr Kpodzro, l’on classe ces conclusions dans la rubrique « du déjà-vu ».
Depuis 2018, les Togolais ont été largement matraqués par une nouvelle appellation. Le Plan national de développement (Pnd). A ce titre, il est défini comme un ambitieux programme quinquennal censé transformer structurellement l’économie du pays dans son processus vers l’émergence. Ce projet de Faure, confondu, par concours de circonstances, à la Feuille de Route gouvernementale 2020-2025, n’est visiblement que l’ombre de lui-même, 8 mois après. Et ce, malgré le re-habillage.