Kenya-Un député suspendu après avoir frappé son collègue
Le parlement kenyan a également connu, mercredi, une bagarre entre membres de l’Assemblée nationale conduisant à la suspension de John Mbadi, le leader de la minorité.
Le parlement kenyan a également connu, mercredi, une bagarre entre membres de l’Assemblée nationale conduisant à la suspension de John Mbadi, le leader de la minorité.
Plus les années passent et plus Faure Gnassingbé qui a fait le choix de s’éterniser au pouvoir comme son géniteur, sombre dans des dérives autoritaristes. Opposants, activistes, journalistes sont impitoyablement traqués, arrêtés et jetés en prison sans autres formes de procès. A la manœuvre, le Service central de recherches et d’investigations criminelles (SCRIC), la Brigade de recherches et d’investigations (BRI), des polices politiques de Faure Gnassingbé et bras obscurs des FAT, et la justice, le bras armé du régime.
Comédie, Hypocrisie, Mesquinerie du régime Faure : La médiation togolaise impliquée dans le maintien de la paix au Tchad, Mali, Guinée…Pendant ce temps, la liberté d’expression à l’agonie au Togo
Lisons ensemble la phrase suivante que je viens de repérer dans les colonnes du journal français Le Monde qui parle ainsi du Togo: “Dans ce pays de l’Afrique de l’ouest, les organes de presse sont régulièrement suspendus par la haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) à la suite des critiques contre le pouvoir”.
En avril 2012, on ne sait quelle mouche-tsétsé l’avait piqué, « Faurevi » s’était permis d’ouvrir la boîte de Pandore, affirmant qu’une minorité a fait main basse sur les richesses du pays.
Depuis la rocambolesque arrestation aux allures d’un kidnapping de notre compatriote de la diaspora suisse et membre influent de la DMK (Dynamique Monseigneur Kpodzro) Jean-Paul Oumolou le 04 novembre 2021, beaucoup de Togolais, aussi bien au pays que dans la diaspora se sont exprimés dans la presse comme à travers les réseaux sociaux pour dénoncer un acharnement du régime de dictature contre tous ceux qui pensent autrement et demander sa libération.
C’est décidé au plus haut sommet de l’Union des forces de changement (UFC) qu’il y aura une assemblée générale extraordinaire destinée à renouveler les membres du bureau directeur en place depuis une décennie.
Le Collectif International pour la Libération des Prisonniers Politiques au Togo (CILPPT) vient de rendre publique, la liste des détenus et prisonniers politiques au Togo. Ils sont plus d’une centaine sur la liste, ces personnes détenues arbitrairement, jugés et condamnés dans la controverse, placées abusivement sous contrôle judiciaire, morts en détention.
Les coalitions des forces démocratiques de changement (certaines formations politiques de l’opposition et organisations de défense des droits humains) ont marqué de leurs empreintes la lutte populaire pour l’alternance politique au Togo.
« Ne constituent pas une cause d’exonération le fait d’avoir obéi aux ordres d’un supérieur ou d’une autorité publique en commettant les actes de torture et les autres mauvais traitements, ni le fait que ceux-ci aient été justifiés par des circonstances exceptionnelles, notamment un état de guerre, une menace de guerre, l’instabilité politique intérieure ou toute autre situation exceptionnelle ». Article 206, Loi N° 2015-10 du 24 novembre 2015 portant nouveau code pénal togolais.