Le président du Conseil scientifique, professeur Didier Ekouévi est récemment intervenue sur l’évolution de la pandémie sur le territoire togolais en l’occurrence, la campagne de vaccination contre le coronavirus dont l’objectif est d’atteindre l’immunité collective.
Samedi dernier, le Conseil scientifique s’est réuni. Il était question de trouver des voies et moyens pour ralentir la hausse des cas de covid-19 observée ces derniers jours au Togo. Ainsi, les scientifiques ont proposé des restrictions sanitaires dont 18 sont annoncées en Conseil des Ministres ce mercredi 25 mars 2021.
L’augmentation des cas de contamination au coronavirus ces derniers jours semble inquiéter les autorités togolaises. D’ici lundi ou mardi prochain, de nouvelles mesures restrictives vont tomber.
L'un des effets secondaires du vaccin AstraZeneca chez vaccinés togolais est l'augmentation de leur libido, souligne la présidence du Conseil scientifique.
Dans une note d’information portant signature du ministre en charge de la Santé, Mustafa Mijiyawa, le Conseil Scientifique dresse une liste des effets secondaires que les doses de vaccins anti-covid-19 pourraient avoir sur les personnes vaccinées.
Depuis quelques semaines, des informations circulent sur les réseaux sociaux faisant état des doses de vaccin spécialement destinées aux Africains en vue de les éliminer. En conférence de presse jeudi, le Conseil Scientifique balaie d’un revers de main ces « allégations » et rassure la population.
« Le MMLK les exhorte à sensibiliser davantage les croyants au respect des mesures barrières tant dans les lieux des cultes que dans les places publiques. Car c'est ensemble que nous allons vaincre cette pandémie avec l'intervention Divine »
La situation du coronavirus ces dernières semaines au Togo inquiète plus d’un. Le Conseil Scientifique en conférence de presse jeudi a tiré sur la sonnette d’alarme. Il invite les populations à redoubler d'efforts dans le respect des mesures barrières, en attendant l'arrivée des doses de vaccin.
Après les fêtes, le Togo fait face à une hausse des cas de contamination. Ce constat est relatif au relâchement des mesures barrières. Ajouté à cela, les autorités sanitaires notent le déni de la maladie. Face à cette situation, le Conseil scientifique privilégie une vraie remobilisation.