Togo-Targone Sambiri : « Tout est atypique dans ce pays »
L’opposant Targone Sambiri du parti les Démocrates socialistes africains (DSA) désapprouve la gestion qui est faite du problème des enseignants par le gouvernement togolais.
Le portail togolais par excellence!
L’opposant Targone Sambiri du parti les Démocrates socialistes africains (DSA) désapprouve la gestion qui est faite du problème des enseignants par le gouvernement togolais.
Le gouvernement a tenu les 08 et 09 avril 2022, sous la présidence du chef de l’Etat Faure Essozimna Gnassingbé, un séminaire gouvernemental dans la préfecture de la Kozah et un conseil des ministres le 10 avril à Mandouri dans la préfecture de Kpendjal. Au cours des travaux, le Conseil a examiné et adopté un premier projet de décret portant règles applicables aux livres fonciers et registres sous forme électronique.
S’il existe une occasion pour que l’exécutif ou l’assemblée nationale au Togo démontre sa bonne foi quant à la transparence lors des consultations électorales, c’est bien à l’issue du conseil des ministres tenu lundi 7 mars 2022. Mais à quoi a-t-on assisté ? Une ignorance totale de la problématique qui a de tout temps plombé le vivre ensemble. Reste à savoir si ceux qui se disent représentants du peuple, du haut de leur immunité et des prérogatives à eux conférées par la constitution, oseront faire une seule proposition de loi allant dans ce sens.
Depuis un certain temps, certains Ministres de la République, dans la mission à eux confiée pour gérer certaines crises, se sont montrés maladroits, arrogants, suffisants et ou condescendants à l’endroit de leurs concitoyens.
C’est l’une des suggestions faites par le parlementaire Gerry Taama afin d’amener le gouvernement togolais à prendre des dispositions contre la vie chère au Togo. Ceci, dans à travers un nouveau post sur le réseau social Facebook dont nous vous proposons lecture.
Tant que vivra le Togo, il y aura des élections. Mais tant que le minimum ne sera pas garanti, c’est en vain les uns crieront leur victoire, et les autres dénonceront la triche. Si le pouvoir n’a pas peur d’être battu dans les urnes, et s’il veut mettre au défi ceux qui, chaque fois, l’accusent de fraudes, il n’y a qu’une seule alternative. La publication des résultats par bureau de vote. Autrement, chacun doit comprendre désormais qu’au Togo, élection ne rimera jamais avec transparence.
Lundi soir, sur la radio rurale communautaire des savanes, le ministre auteur des propos scandaleux portant sur le maigre quotient intellectuel des jeunes de la région des savanes et des méthodes viles qui sont utilisées pour les insérer dans l’enseignement et la santé, a tenu à présenter ses excuses, ouvertement.
Hier, les élèves n’ont pas été en marge du mot d’ordre lancé par le Syndicat des enseignants du Togo (SET). En l’absence de leurs professeurs aux cours, ces derniers ont en effet inondé les rues et des cas violences ont été enregistrés sur certains de leurs camarades.
Par la seule parole, un leader peut aisément et sans peine quelconque, désamorcer les crises les plus rudes. Voilà pourquoi lorsque les gens sont appelés à une fonction d’État, ils doivent impérativement apprendre, au-delà de leur formation classique, à parler en hommes et femmes d’État.
Le leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio, a déclaré que le Togo est désormais en état d’anomie . Dans un post Facebook, l’acteur politique appelle à mettre fin à la dictature dynastique.
Diminuer de 30% les salaires des ministres et du Président, c’est l’une des mesures adoptées le 24 mars dernier par le gouvernement ghanéen qui a injecté 2 milliards de dollars US (1.193 milliards f CFA) dans l’économie du pays.
À cause d’une prime mensuelle de logement (50.000 Fr au moins) réclamée par le Syndicat des enseignants du Togo (SET) pour tout enseignant sans distinction en conformité avec la réforme de l’enseignement de 1975, de la réclamation du recrutement des enseignants volontaires exerçant ou ayant exercé dans un établissement public pendant 3 ans au moins et disposant de qualification professionnelle requise, et de la demande d’une allocation de mutation, les passes d’armes entre enseignants et Gilbert Bawara et Dodzi Kokoroko, respectivement ministre de la Fonction publique et ministre des enseignements primaire, secondaire, technique et de l’artisanat risquent de franchir un sérieux palier anxiogène.
Le Gouvernement et ses partenaires économiques ont tenu mardi 29 mars 2022 à Lomé, la première réunion du Conseil de concertation État-Secteur privé de l’année 2022. Cette session présidée par Mme le Premier ministre, Victoire Tomégah-Dogbé, est placée sous le thème : « Faire de la ZLECAF, un levier pour la transformation structurelle de l’économie togolaise ».
L’Association togolaise des consommateurs (ATC) a réagi par rapport à l’augmentation des prix des carburants au Togo. Dans un communiqué, elle formule des propositions de mesures pour amoindrir le choc aux populations. A découvrir ci-dessous.
C’était prévisible que ces prix allaient connaitre une augmentation, au regard du coût actuel du baril de pétrole qui a plus que triplé en raison du conflit entre l’Ukraine et la Russie. Et bien désormais, nous y sommes de plain-pied, les prix à la pompe ont substantiellement augmenté, même si, là encore, l’on imagine bien que le gouvernement continue des subventions.
Le gouvernement tient au bon fonctionnement de l’Ordre national des ingénieurs du Togo. En conseil des ministres vendredi, il a examiné et adopté un troisième projet de décret portant code de déontologie des ingénieurs au Togo.
Le conseil des ministres s’est réuni à Gando (Préfecture de l’Oti-Sud) ce vendredi 25 mars 2022 sous la présidence du chef de l’Etat Faure Gnassingbé. Le conseil a examiné quatre (04) projets de décret, écouté quatre (04) communications et deux (2) comptes rendus en divers.
En matière d’amélioration du climat des affaires et de renforcement de la résilience du secteur privé sur le continent, le Togo n’a rien à envier aux autres nations. Du moins est-ce ce que révèle le rapport 2021 du Baromètre du Conseil des investisseurs français en Afrique (CIAN), dont les données, publiées le 10 mars dernier, font état d’un score honorable de 3,4 points sur 5 contre 2,8 du Togo en 2020.
L’angoisse et l’amertume s’emparent des Togolais au quotidien face au phénomène de la vie chère. Presque tous les jours, les prix des produits de première nécessité flambent sur le marché. Le bidon d’huile qui était récemment à 14000 FCFA est passé à 30.000 la semaine dernière, le sucre est à 26.000 F.
Le Togo a abrité les 23 et 24 mars à Lomé, le tout premier sommet sur la cybersécurité, qui vise à limiter les attaques cybernétiques contre les données privées et des pays. En grande pompe, la cérémonie d’ouverture de cette rencontre internationale, a été présidée par le Président de la République du Togo, Faure Essozimna Gnassingbé.
Le club des chefs d’Etat de la CEDEAO ne se donne plus de répit et est sur tous les fronts. Les dirigeants consacrent leurs forces et leurs énergies à tenter de trouver une solution aux coups d’Etat qui, comme un effet domino, embrasent les pays de la région ouest-africaine. En plus des attaques terroristes, c’est un cocktail explosif qui risque de faire sombrer toute la sous-région. Comme le reconnait d’ailleurs le président ivoirien lors du huis clos des chefs d’Etat de la CEDEAO sur la crise burkinabé.
Le bras de fer entre le gouvernement et le Syndicat des Enseignants du Togo est loin de connaitre son épilogue. Dans un communiqué conjoint, les ministres Bawara en charge de la Fonction et Dodzi Kokoroko des Enseignements primaire et secondaire haussent le ton contre le préavis de grève lancé par le SET.
La saison pluvieuse s’annonce dans la partie méridionale du pays. En attendant cette période de pluie, le gouvernement anticipe sur les risques d’inondations et de catastrophes. Jeudi dernier à la Primature, Mme le Premier Ministre, Victoire Tomégah-Dogbé a présidé une réunion technique sur le sujet avec les ministres et autres acteurs impliqués dans la gestion des risques de catastrophes.
Depuis la survenue de la pandémie de Covid-19 en début d’année 2020, tous les pays du monde ont vu leurs économies se déstructurer et se désorganiser. Les pays dont les économies ont déjà pu développer une résilience, s’en sont plus ou moins bien sortis, alors que les nôtres aux économies particulièrement fragiles et vulnérables, ont pratiquement sombré dans le chaos plongeant leurs peuples dans un dénuement assez inquiétant.
Le Chef de l’État, Faure Essozimna Gnassingbé a présidé, ce 16 mars 2022 à Lomé, le Conseil des ministres. Au cours des travaux, le Conseil a examiné et adopté deux avant-projets de loi modifiant respectivement la loi n° 2020-009 du 10 septembre 2020 relative à l’identification biométrique des personnes physiques au Togo et la loi n° 2018-026 du 07 décembre 2018 sur la cybersécurité et la lutte contre la cybercriminalité.
Malgré les critiques sur la composition de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), le régime n’entend rien y changer. L’Assemblée nationale vient de lancer le processus de renouvellement de cette institution qui a été transformée en machine à fraudes par le pouvoir.
Alors qu’elle a respecté le délai indiqué pour la déclaration des biens et avoirs, Mme Awa Nana Daboya, médiateur de la République attend en vain de recevoir les déclarations de Faure Gnassingbé et ses collaborateurs. Le 29 septembre 2021, dame Victoire Tomégah-Dogbé faisait croire qu’il a instruit les membres du gouvernement de s’y préparer.
La famille Gnassingbé tient fermement la barre de contrôle du Togo depuis 55 ans. Avec le 5ème et dernier mandat théorique de Faure Gnassingbé en 2025, la famille aura régné 63 ans sans partage sur le Togo. Mais si on n’y prend garde, ce règne au long cours pourra se prolonger indéfiniment. Après le père et le fils, il se pourrait qu’un autre fils, Mey Gnassingbé prenne la gouvernance du Togo. Cette théorie, a priori farfelue, ferait son chemin dans le serail au point qu’un média panafricain, « le journal de l’Afrique » l’a reprise dans son édition du 16 février 2022.
Après son report en octobre de l’année précédente, le Sommet sur la cybersécurité se tiendra les 23 et 24 mars prochains dans la capitale togolaise. Cette rencontre initiée par l’exécutif et la Commission économique des Nations Unies, vise à explorer et évaluer l’état de la cybersécurité sur le continent, et réfléchir sur des pistes de collaboration entre les États et acteurs privés notamment.
Les hommes passent, mais les institutions qu’ils incarnent demeurent. Cette citation est vraie. Mais au Togo, il est difficile d’en faire la preuve, surtout quand il s’agit d’une institution telle que la présidence de la République. Elle est l’exception qui confirme la règle.
Après son report en octobre de l’année précédente, le Sommet sur la cybersécurité se tiendra les 23 et 24 mars prochains dans la capitale togolaise. Cette rencontre initiée par l’exécutif et la Commission économique des Nations Unies, vise à explorer et évaluer l’état de la cybersécurité sur le continent, et réfléchir sur des pistes de collaboration entre les États et acteurs privés notamment.
Le conseil des ministres s’est réuni ce lundi 07 mars 2022 sous la présidence du chef de l’Etat Faure Essozimna Gnassingbé. Le conseil a examiné deux (02) avant-projets de loi, deux (02) projets de décret et écouté deux (02) communications.
Au Togo, tout devient cher. Les prix des produits de première nécessité ont flambé. Dans les ménages, les nerfs sont à fleur de peau. Bien souvent, en de pareille situation, il n’y a que l’État pour prendre des mesures fortes pour faire face à l’inflation.
Le bonheur, le bien-être et le mieux-être des Togolais n’ont jamais été leur préoccupation première. En témoigne le mépris, les abus de toutes sortes, les brimades, les souffrances, etc. qu’ils leur font endurer.Les populations en sont conscientes et le leur rendent fort bien, en les sanctionnant sévèrement dans les urnes lors des consultations électorales.
Depuis vendredi dernier, plusieurs stations-services de Lomé tournent au ralenti. La faute à une pénurie de carburant. Cette situation intervient au moment où les rumeurs autour d’une probable augmentation des prix à la pompe ont commencé à circuler quelques jours plus tôt.
Le chef de l’Etat togolais Faure Gnassingbé n’a pas du tout usurpé le titre de globe-trotter. Les voyages, c’est son domaine de prédilection, son sport favori, comme certains l’écrivent souvent sur leur curriculum vitae.
Hier lundi 28 février, les autorités togolaises ont procédé au lancement officiel du Projet de Recensement des Infrastructures Sociales et Économiques (PRISE) pour le compte du District Autonome du Grand Lomé. Ledit projet s’inscrit dans la mise en œuvre de la feuille de route gouvernementale 2020-2025 et des recommandations de l’UEMOA en matière de l’aménagement des territoires.
Dans les prochains jours, les modalités de préavis et de négociations préalables concernant le droit de grève seront actualisées.
Le Chef de l’État, Faure Essozimna Gnassingbé a présidé, ce 23 février 2022 à Lomé, le quatrième Conseil des ministres de l’année. Au cours des travaux, le Conseil a examiné et adopté un projet de décret portant attributions, organisation et fonctionnement du Conseil national du travail (CNT).
Le président de la République Faure Gnassingbé préside en ce moment le conseil des ministres. D’importants sujets seront examinés.
La semaine dernière à Kara, les ministres du gouvernement togolais se sont réunis en conseil. Au menu était inscrit entre autres, un projet de décret portant création d’un conseil consultatif foncier.
Au Togo, l’inflation atteint des proportions inquiétantes. Selon les chiffres dévoilés par le Ministre de l’économie et des finances, Sani Yaya, elle se situe à 4,1% en décembre 2021. Conséquence, les prix des produits de premières nécessités ne cessent de grimper. Face à cette situation, de nombreuses familles sont étranglées.
Le chef de l’Etat Faure Gnassingbé et son gouvernement sont actuellement en conseil des ministres dans la ville de Kara au nord du pays. Plusieurs sujets sont inscrits à l’ordre du jour.
Lorsque des ménages togolais ont été victimes d’inondations, le Programme alimentaire mondial (PAM) était là. Ces familles recensées (2000 au total) dans 12 préfectures des régions Maritime, Kara, et Savanes, ont ainsi pu bénéficier chacun d’un transfert monétaire de 60 065 FCFA.
Janvier dernier, les membres du Syndicat National des Retraités du Secteur Public du Togo (SYNARESEP-TOGO), ont dénoncé la suspension des indemnités de départ à la retraite. Ceci, après plusieurs années de démarches infructueuses, ils appellent donc les Organisations Syndicales, à toutes les Associations Professionnelles, à toutes les Organisations de Défense des Droits Humains à faire diligence afin que le gouvernement revoit sa copie.
Lundi, le Togo a présenté à Genève en Suisse, son bilan sur la situation des droits de l’Homme. C’était devant…
Ces derniers temps, nous avons mis trop d’énergie à parler du Mali, alors que des choses se passent dans notre pays. Le gouvernement a saisi la cour constitutionnelle pour avoir son avis sur un projet d’ordonnance instituant une allocation de départ à la retraite ;
Faure Gnassingbé, c’est une lapalissade, s’exprime très rarement. Il lui arrive souvent de rester muet toute une année. Même pour ses traditionnels discours de fin d’année et de la célébration de l’Indépendance du Togo, il lui arrive de déroger à la règle. Mais quand l’occasion se présente de s’adresser aux Togolais, pour l’une des rares fois, quand il prend la parole, il fait des déclarations qui se retournent contre lui.
Mme le Premier ministre, Victoire Tomégah-Dogbé, a échangé ce jeudi 06 janvier 2022 à la Primature, avec une délégation de jeunes boursiers et bénéficiaires de programmes d’excellence du gouvernement togolais. La rencontre élargie a permis à la cheffe de l’exécutif d’avoir un retour sur les bourses et programmes d’excellence en faveur des jeunes.
L’Expo Dubaï 2020 bat son plein du 1er octobre 2021 au 31 mars 2022 à Dubaï (Émirats arabes unis). Reportée en raison de la pandémie, cet événement où, des millions de visiteurs venu des quatre coins de la planète viennent présenter les nouvelles idées, inventions et innovations, vise à répondre aux problèmes de l’heure.
Au Togo, les droits des apprentis sont constamment bafoués par leurs « patrons ». Selon l’ONG Solidarité et Action pour le Développement Durable (SADD), plus de 100 000 apprentis sont exploités. Ils sont également victimes de différentes formes d’abus aux quotidiens.
Mardi à l’hémicycle, la représentation nationale, réunie pour la 13ème séance plénière de la deuxième session ordinaire de l’année 2021, a adopté à l’unanimité la loi de finances, gestion 2022.
Le 11 décembre dernier, le Premier Ministre et le Ministre du Développement à la Base, de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes ont rencontré les jeunes du Grand Lomé à Amadahomé. Lors de cette rencontre dite « d’échange et d’information avec des jeunes », les jeunes ont eu droit à des discours mielleux sur les différents mécanismes mis en place par le gouvernement à leur profit.
L’information avait été relayée sur une chaîne radio, bien avant même que le magistrat ne soit informé par courrier comme quoi une procédure disciplinaire était enclenchée à son encontre.
Au Togo, les médias privés qui vivent principalement de ce qu’ils produisent, n’ont plus d’interlocuteurs-partenaires dont la couverture des activités ou la pub elle-même permettrait de renflouer les caisses.
Le Togo est finalement devenu une tristesse infinie. Et un cauchemar sans fin pour une très grande partie de ses filles et fils.
Lorsqu’on se sent concerné par les enjeux de démocratie, de droits humains, de justice et des libertés, et qu’on décide de s’engager pour ces causes, le combat qu’on mène doit être le même partout. On ne peut pas soutenir la démocratie dans son pays et encourager la dictature ailleurs. Nous le déplorons, lorsque quelqu’un se comporte ainsi au détriment de notre pays.
Les populations doivent-elles agiter la menace d’une grève pour réveiller les gouvernants ? Pendant qu’on brandit des trophées dans la lutte contre la pandémie du coronavirus au Togo, les populations se meurent dans un silence complice du gouvernement.
Idelphonse Akpaki n’est plus à présenter. Sur sa page Facebook, le journaliste s’interroge sur le crime qu’a commis Fovi Katakou, ce jeune activiste en situation de handicape. Le confrère demande aux autorités pourquoi les vrais assassins sont laissés en liberté tandis que les innocents sont jetés en prison ? Lecture.
Les suites de l’interpellation et de la détention vendredi dernier, des journalistes Ferdinand Ayité et Joël Egah, respectivement directeurs de publication du journal ‘L’Alternative et Fraternité, ne sont ni reluisantes ni glorieuses pour notre pays le Togo. Le monde des médias à l’international, des organisations les plus crédibles de défense des droits humains, des acteurs politiques au plan national se sont dressés comme un seul homme contre cet acte maladroit qui participe à nouveau sombrer davantage, l’image de ce petit pays de l’Afrique de l’Ouest.