Arrêtés et placés en garde à vue depuis samedi dans le cadre de la grève, les trois responsables du Syndicat des Enseignants du Togo (SET), sont déposés à la prison civile de Lomé hier lundi. A ces derniers, il leur est reproché d’avoir incité les élèves à la révolte par des promesses, menaces, ordres ou tout signe de ralliement. Pour le leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio, le gouvernement togolais se sert de la terreur pour interdire les grèves sans passer par la loi. Dans un récent post, l’acteur politique demande la libération des personnes arrêtées.