Le marché du livre en Afrique est très faible, balbutiant au Togo. Dans ces conditions, il ne faut pas se faire des illusions, n’espérez pas y publier un livre pour gagner beaucoup d’argent. Il faut publier un livre pour transmettre la mémoire, pour marquer le temps et aussi, pour alimenter le petit marché du livre qui existe.
Acteur majeur de l’édition au Togo, Sébastien Vondoly fait le bilan d’une décennie d’existence des Editions Continents qu’il a fondée et qu’il dirige depuis lors. Si aujourd’hui cette jeune maison est capable de produire « entre 25 et 35 ouvrages par an », ses ambitions sont aussi « grandes (qu’) innombrables ». Dans cette interview, le journaliste-écrivain brosse tout dans un optimisme qui invite à le lire plutôt.
Gnimdewa Atakpama, homme politique, a lu « Poétesse de Dieu » (Editions L’Harmattan, 302 pages), un roman de David Kpelly, écrivain, enseignant et activiste politique vivant aujourd’hui à Bamako. Il en fait un résumé à la fois simple et captivant.
Ahmed Esso-wavana Adoyi, ex-Commissaire des impôts de l’Office togolais des recettes (OTR), vient de sortir de l’imprimerie avec l’ouvrage « Du brin à la graine » dans lequel il des conseils aux jeunes.
"Vient de paraître, sous la plume inspirée de Sami Tchak, un ample roman, Le continent du Tout et du presque Rien, dont le titre séduit et intrigue tout à la fois".
Bercé dans sa tendre enfance dans des contes, cet écrivain togolais publie un livre dans lequel il plonge les lecteurs dans des leçons de vie qui se transmettent de génération en génération dans l’espace culturel du sud du Togo.