Le ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’artisanat décide de la fermeture provisoire de quatre écoles publiques. Un arrêté ministériel l’annonce et mentionne la raison.
Au détour du conseil des ministres du vendredi 25 mars 2022 délocalisé à Gando dans la préfecture de l’Oti-Sud, le ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’Artisanat, Prof Komla Dodzi Kokoroko, a rencontré le corps enseignant de cette localité. Une réunion au cours de laquelle il a passé un message musclé à tous les enseignants du Togo qui sont menacés d’être « rafalés » si jamais ils suivent les mots d’ordre de grève qu’il qualifie de « chantages ».
Il n'est plus toléré de faire des activités économiques dans les espaces proches situés tout autour des établissements scolaires. C'est une décision du ministre de tutelle.
Oui, il faut condamner les propos du ministre Koloroko à Dapaong au nom de la nécessité du vivre ensemble. On peut avoir raison et être trahi par sa langue. Comme je ne cesse de le dire, il faut respecter nos enseignants.
Un audio circule avec persistance depuis quelques jours : il s’agit d’une nouvelle allocution du ministre Kokoroko face à un public qui applaudissait, apparemment acquis à sa cause.
Samedi dernier à Dapaong, le ministre des Enseignements primaire et secondaire, Prof. Dodzi Kokoroko a tenu des propos « graves » à l'endroit des enseignants togolais qui réclament de meilleures conditions de vie et de travail.
Le ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l'Artisanat, au cours d'une cérémonie de remise du matériel informatique à des lycées de Dapaong avertit que les enseignants grévistes vont être radiés de la Fonction publique.
Le confrère, aujourd’hui membre de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) donne son avis après qu’un élève, en classe de seconde au Lycée d’Adidogomé 2, a été exclu pour des actes de violences.
L’Exécutif lance simultanément des constructions et réhabilitations des salles de classe dans toutes les directions régionales de l’éducation, annonce une lettre du ministre de tutelle.
Ils étaient au total 1345 directeurs d'écoles du primaire et du préscolaire que le ministre en charge de ce secteur, également président de la grande université de Lomé, a cru opportun de relever de leurs fonctions.