Le Syndicat des praticiens hospitaliers du Togo (SYNPHOT) déplore les propos attribués au ministre Bouraïma Kanfitine Tchede-Issa clarifie et lui demande de donner des explications.
Harcèlements sexuels dans les hôpitaux. C'est le nouveau dossier qui éclabousse le secteur de la santé au Togo. Mais le Syndicat national des praticiens hospitaliers du Togo (SYNPHOT) a décidé de combattre ce fléau. Si les victimes sont encouragées à parler, elles ne sont pas aussi à l'abri de menaces et d’intimidations de la part de leurs bourreaux (sic).
« Les contextes de garde, des contextes journaliers où peut-être que vous êtes invitée à aller faire un compte rendu d’une activité ou d’une surveillance (…) Il y a des fois des attouchements, même des fois des questions, des paroles déplacées où il y a même de l’insistance...», a-t-il souligné.
Le harcèlement sexuel en milieu hospitalo-université est une réalité. Le Syndicat National des Praticiens Hospitaliers du Togo (SYNPHOT) compte plancher sur le sujet le 8 mars prochain.
L’information ayant le plus défrayé la chronique la semaine dernière, a sans doute été la récurrence des plaintes de harcèlement sexuel, de violence et de viols des étudiantes en sciences de la Santé et des femmes agents de la santé.
Comment endiguer ce phénomène qui s’est développé chez des praticiens hospitaliers en général, et particulièrement au CHU Campus ? La vente parallèle de médicaments au vu et au su de tout le monde, de jour comme de nuit est devenue une gangrène dont les victimes sont ceux-là même à qui ces produits sont revendus, les malades et leurs accompagnateurs.
Le SYNPHOT lance un programme de rénovation de la Maison de la Santé. Il s'agit d'un projet hissé du haut des neuf (9) ans d'existence de la Maison de la Santé. Le Syndicat National des Praticiens Hospitaliers du Togo (SYNHOT), organisation porteuse de l'initiative a révélé la maquette et le coût des travaux ce mardi à Lomé.
Le Syndicat national des praticiens hospitaliers du Togo (SYNPHOT) affirme que l’homme arrêté par la Force du groupe mixte de surveillance antit-covid-19 (GMS), pour falsification de pass vaccinal n’est pas un médecin.
Condamnant l’acte qu’il qualifie de « déplorable », le SYNPHOT souligne que la personne arrêtée est « un étudiant de l’École Nationale de Formation Sociale de l’UL (ENFS) en stage d’un mois et de passage au service de vaccination pour une semaine. »
Le cas des agents contractuels du secteur sanitaire inquiète le Syndicat national des praticiens hospitaliers du Togo (SYNPHOT) en matière de conditions de travail. L’organisation syndicale exige des directions régionales et préfectorales de la santé que ce personnel soit déclaré à la CNSS et à l’INAM.