Nigeria – 62ème sommet de la CEDEAO sans le Mali, le Burkina et la Guinée
La Communauté Economique Des Etats de l’Afrique de l’Ouest se réunit en sommet ordinaire ce dimanche 4 Décembre 2022 à…
La Communauté Economique Des Etats de l’Afrique de l’Ouest se réunit en sommet ordinaire ce dimanche 4 Décembre 2022 à…
La brigade de gendarmerie, le poste de police et la maison d’arrêt et de Correction ont été visés. L’attaque a été repoussée.
Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM), la branche d’Al-Qaïda au Sahel et dans une grande partie de l’Afrique de l’Ouest, s’est attribué le mérite de la dernière attaque contre les forces togolaises à la fin de la semaine dernière.
De sources médiatiques béninois citant un enseignant proche de la zone des combats, les échanges de tirs entre l’armée qui résiste et le groupe d’hommes armés non identifiés seraient en cours. Le bilan serait déjà d’un mort.
Selon un communiqué ce samedi de l’État-major général des armées, l’incident s’est produit « ce vendredi 25 novembre
2022 sur l’axe Bourzanga-Kongoussi lors du retour d’une mission d’escorte sur
Djibo », lit-on.
Les assaillants ont dû prendre la fuite devant la puissance de feu des militaires béninois. Si aucun bilan officiel n’est établi pour l’instant, le journal béninois en ligne, parle toutefois d’un militaire légèrement blessé.
Publiée mercredi, puis relayée sur les réseaux sociaux, l’information a très rapidement fait réagir le gouvernement du Faso qui a démenti formellement soutenant « avec force qu’il n’a jamais été question de déployer des troupes étrangères sur le sol burkinabé », lit-on.
Les échanges de tirs entre l’armée et les assaillants ont duré environ une heure. Le bilan fait état d’aucune victime humaine au sein de l’armée, souligne le journal béninois en ligne sans précision de ce qui en est du côté des assaillants.
À en croire l’alliance antiterroriste intergouvernementale de pays du monde musulman, la présence sur les réseaux sociaux des enfants les expose aux groupes terroristes.
À la fermeture des classes, le 31 mai 2022, le Burkina Faso « enregistrait 4 258 écoles fermées dans 47 de ses communes. Ces chiffres ont évolué en cette rentrée scolaire avec 4 609 écoles fermées dans 76 communes (données du 7 octobre 2022) pour cause d’insécurité du fait d’attaques terroristes », renseigne l’AIB.