"Nous voulons aussi des Dangote au Togo". C'est l'appel lancé par le journaliste Zeus Aziadouvo au chef de l'Etat togolais, Faure Gnassingbé, aperçu aux côtés du richissime homme d'affaires nigérian à l’inauguration de sa raffinerie. Le patron du quotidien Liberté dans son adresse au garant du fauteuil présidentiel déplore la situation socio-économique actuelle du Togo. Il l'invite de ce fait à œuvrer pour un retournement de situation.
Cela fait plus de cinq décennies que le régime togolais cherche à contrôler ou à emprisonner « Liberté ». Cela fait autant de temps que les Togolais défendent leur « Liberté », que ce soit celle d’association et d’opinion ou celle qui leur procure l’information quotidienne.
Le contexte dans lequel le quotidien privé qu’il a créé a été de nouveau suspendu pour trois (3) mois le pousse à rendre le tablier et quitter la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC).
Zeus Aziadouvo n’est plus à présenter. L’ancien Directeur de publication du quotidien « Liberté » n’est plus membre de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC).
Le confrère, aujourd’hui membre de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) donne son avis après qu’un élève, en classe de seconde au Lycée d’Adidogomé 2, a été exclu pour des actes de violences.
Dans quelques semaines (9 juin prochain), la mandature actuelle de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication sera à sa fin. D’ores et déjà, le processus de renouvèlement des membres est assez avancé. On annonce des candidatures de part et d’autres. Aussi, est-il possible de retrouver des membres de l’actuelle équipe sur la liste des candidats. Mais, ce ne sera pas le cas de Zeus Komi Azidouvo, qui après juste un mandat veut passer à autre chose.