Togo-Ferdinand Ayité et Joel Egah toujours sous mandat de dépôt
L’audition des confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah ce mardi au Tribunal de Lomé n’a rien donné. Les deux confrères sont toujours sous mandat de dépôt.
L’audition des confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah ce mardi au Tribunal de Lomé n’a rien donné. Les deux confrères sont toujours sous mandat de dépôt.
Dans un communiqué, le Syndicat National des Journalistes Indépendants du Togo (SYNJIT) dénonce l’acharnement de la justice togolaise contre les confrères journalistes Ferdinand Ayité et Joël Egah. Il plaide pour leur libération et la levée du contrôle judiciaire à l’encontre d’Isidore Kouwonou. Lecture.
Les journalistes Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou sont actuellement devant le juge d’instruction. Tous les accès aux Tribunal de Lomé sont bloqués par les forces de l’ordre et de sécurité.
Les confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou seront de nouveau au tribunal ce mardi. Ils seront auditionnés ce matin par le juge d’instruction au fond du dossier dans lequel ils sont inculpés.
Selon Amnesty International, l’interpellation et l’arrestation des journalistes togolais Ferdinand Ayité et Joël Egah constituent “une atteinte à leur droit à la liberté d’expression”. Voici la publication de cette ONG sur le sujet.
Le tribunal de Versailles condamne la star congolaise de la rumba à 18 mois de prison avec sursis. Il doit en outre s’acquitter d’une lourde amende. Il lui est reproché la séquestration de certaines de ses anciennes danseuses.
« Nous avons suivi avec passion les récentes événements sur l’inculpation des journalistes Ferdinand Ayité et Joël Egah. Sans toutefois chercher à commenter et à s’immiscer dans la procédure judiciaire, nous plaidons pour une clémence en faveur des deux journalistes », demande Innocent Kagbara à travers un post sur sa page Facebook.
Le journaliste Abdoul Akondo demande la libération des confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou.
Pour le porte-parole du Mouvement Martin Luther King (MMLK), cette décision de la Cour suprême du Togo est « un véritable camouflet et un cuisant échec pour l’organe de régulation qui a longtemps fait de la sanction sa première attribution ».
Selon Le Tabloid, toutes les audiences prévues sur ce 9 décembre sont annulées. Une demande du corps des avocats et du corps judiciaire dans son ensemble qui tiennent à rendre hommage à l’ancien avocat Me Yawovi Agboyibo décédé en mai 2020 à Paris. Et, qui sera inhumé le 11 décembre prochain dans son village.