Togo-Le Col Pidassa Pakayi porté à la tête du SCRIC
Le Colonel Pidassa Pakayi est catapulté à la tête du Service central de recherches et d’investigations criminelles (SCRIC) de la Gendarmerie nationale.
Le Colonel Pidassa Pakayi est catapulté à la tête du Service central de recherches et d’investigations criminelles (SCRIC) de la Gendarmerie nationale.
Le convoi militaire français en direction du Mali fait face à de nouvelles protestations dans une ville du Niger après avoir été retardé de plus d’une semaine par des manifestations au Burkina Faso, le gouvernement nigérien faisant état de deux morts et 18 blessés
« Le bâtiment est situé dans la commune Agoènyivé 2, à environ 22 km de la Direction Générale de la Police Nationale (DGPN-Lomé). En quittant l’échangeur d’Agoènyivé et en direction de l’ouest, sur la voie du grand contournement et avant le marché de AGOE-LEGBASSITO, le commissariat de police de Légbassito est situé à 400 m au sud-ouest de la Mairie de Légbassito en empruntant la voie dite « rue du Colonel BALI », à 200 m au sud du LYCÉE DE LEGBASSITO », souligne la note.
Cette opération fait suite à la signature en 2018 du protocole d’accord pour sécuriser le golfe de Guinée et les eaux de l’Afrique de l’Ouest.
Le Programme mis en œuvre par les Nations Unies s’est donc engagé à aider le Togo à développer ses capacités pour faire face aux menaces terroristes.
C’était avec des négociations et des coups de semonce «en l’air» que les militaires français ont pu éloigner les manifestants Burkinabè qui tentaient d’empêcher le passage des soldats à Kaya, au centre-nord du pays depuis samedi.
La même source souligne qu’il s’agit d’un véhicule d’occasion transporté par une navire ayant accosté au Port de Cotonou.
Le ministère de l’Economie maritime, de la Pêche et de la Protection côtière organise ce mardi 16 novembre un webinaire sur la sécurité et sûreté dans la zone portuaire.
Au moins deux civils ont été tués après qu’un attentat-suicide à la voiture piégée a frappé un convoi militaire de l’Union africaine (UA) près de la base militaire de Villa Baidoa à Mogadiscio, la capitale de la Somalie, ont rapporté jeudi les médias locaux.
Alors qu’ils voulaient passer de l’autre côté de la frontière, ils ont été aperçus par les forces de l’ordre présentes au niveau de la frontière.