Le directeur de publication de « Symphonie » va répondre ce mercredi 3 novembre à une convocation de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) à son siège à Lomé.
Le Directeur de publication de l'hebdomadaire togolais The Guardian réagit suite à la suspension de parution de son journal, pour quatre mois, par la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC). Le confrère donne ici les détails de ce qui s'est réellement passé.
After, L'Alternative, L'indépendance Express and others, it is the weekly "The Guardian" which is the subject of suspension by the Togolese authorities, as usual, the media personnel in Togo are opposed to this umpteenth decision.
‘’The Guardian », une parution hebdomadaire est suspendue, pour une durée de quatre mois, par la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) à cause des articles sur le pass sanitaire.
Il est désormais proscrit la diffusion « de la publicité des tradithérapeutes, des produits de la médecine traditionnelle et des médicaments » sur les radios et télévisions.
Le récent Conseil des Ministres du Togo a abordé la modification de la loi organique N°2018-029 du 15 novembre 2018. Une loi régissant la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC).
Dans quelques semaines (9 juin prochain), la mandature actuelle de la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication sera à sa fin. D’ores et déjà, le processus de renouvèlement des membres est assez avancé. On annonce des candidatures de part et d’autres. Aussi, est-il possible de retrouver des membres de l’actuelle équipe sur la liste des candidats. Mais, ce ne sera pas le cas de Zeus Komi Azidouvo, qui après juste un mandat veut passer à autre chose.
Le 05 Février 2021, aux termes de l’audition du Directeur de Publication du Bi hebdomadaire l’Alternative devant la Haute autorité de l’Audiovisuel et de...
Le bras de fer entre L’Alternative et le ministre en charge de l’Urbanisme Me Koffi Tsolenyanu, n’est pas encore fini. Même suspendue pour 4 mois de parution, le bihebdomadaire continue de « déranger ».
L’indignation de l’opinion, des organisations internationales et de la presse française notamment Médiapart avait, en son temps, essoufflé ses ardeurs zélateurs. Mais ne dit-on pas "chassez le naturel, il revient au galop ?".