Togo- Fonciers à Agbélouvé et Gamé-Séva : Violation des arrêts de justice, deux personnes mises en cause, indignations et appel
A Agbélouvé dans la commune de Zio 2, et Gamé-Séva Zio 3 au Sud Togo, un litige foncier tranché par…
A Agbélouvé dans la commune de Zio 2, et Gamé-Séva Zio 3 au Sud Togo, un litige foncier tranché par…
A Agbélouvé dans la commune de Zio 2, au Sud Togo, un litige foncier tranché par des jugements et une décision de la Cour suprême continuent toujours par être bafoués, ignorés et remis en cause par certaines personnes, qui par leurs actes et interventions, se hissent au-dessus des lois et juridictions compétentes du pays.
Au Togo, les litiges fonciers sont devenus monnaie courante. Le phénomène prend des proportions inquiétantes. Surtout quand des personnes n’ayant vraisemblablement aucun droit de propriété sur des terres se prévalent de leur appartenance aux forces armées togolaises pour s’en accaparer. C’est ce qui se passe actuellement à Adétikopé-Tonoukouti, une localité située à 15 km du centre-ville au nord de Lomé.
Le 14 avril dernier, cela faisait 19 ans qu’un procès-verbal de conciliation a été signé entre les protagonistes au village de Kossi-Agbavi concernant la propriété foncière de la localité et le patronyme Kossi-Agbavi. Aux termes de ce procès-verbal, le sieur Kouleahano Amémélio Koffi et les autres membres de la famille Abotchi se sont engagés à ne plus s’immiscer dans le reste des parcelles de terrain appartenant à la collectivité Kossi-Agbavi.
Le plus vieux litige foncier d’Akato (Golfe 7) impliquant la collectivité Massémé n’est pas prêt de connaitre une fin. Livrée à elle-même dans la lutte contre « les pirates fonciers », l’entité en horde de bataille alerte désormais sur une situation qui est en train de virer en un drame sans précédant.
« Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit et l’obéissance en devoir » (Jean Jacques Rousseau). Que ce soit dans les agglomérations ou aux périphéries des villes togolaises, nombreux sont les citoyens victimes soit de la voracité de juges sans moral ni conscience, ou alors du silence destructeur de l’Etat togolais lui-même.
Que ce soit dans les agglomérations ou aux périphéries des villes togolaises, nombreux sont les citoyens victimes soit de la voracité de juges sans moral ni conscience, ou alors du silence destructeur de l’Etat togolais lui-même.
Vendredi dernier, la localité de Badja-Agoudja a été ameutée par un incident qui rappelle l’insécurité qui règne dans le pays. Alors qu’il s’est rendu dans son champ, le sieur Yao Nomenyo a été victime d’une tentative d’assassinat par des hommes armés de machettes. D’après les informations, ce n’est pas la première fois qu’on attente à sa vie. Le 23 mars 2015, alors qu’il s’était rendu dans son champ, il a été violenté. Sa main gauche a été amputée. « C’est au même endroit qu’on a tenté de me tuer », raconte-t-il.
Le litige foncier opposant la collectivité Massémé à celle d’Avoussou dans le village d’Akato, un conflit, vieux de plus de 30 ans connait désormais une autre phase. C’est ce qu’a fait savoir l’ancien ministre de l’intérieur du gouvernement Koffigoh, Kokouvi Massémé lors d’une conférence de presse tenue le vendredi 09 septembre 2022.
Double vente, harcèlement, intimidation…Ces mots sont ceux désignés par dame Vicentia Abra Ayissou, qui a été vraisemblablement victime des subterfuges de la collectivité Fianyo. Un litige foncier en cours dans la localité d’Adétikopé au lieudit Tonoukouti (préfecture du Golfe).