Crise au Niger-Une intervention militaire « serait une faute », selon l’ancien président Issoufou
Il appelle les dirigeants de la Cedeao à puisser « dans leur immense sagesse pour ne pas commettre une telle faute ».
Il appelle les dirigeants de la Cedeao à puisser « dans leur immense sagesse pour ne pas commettre une telle faute ».
Discret depuis le putsch qui a renversé son successeur à la tête du Niger le 26 Juillet dernier, l’ancien président Mahamadou Issifou est sorti de sa réserve a travers un entretien accordé à « Jeune Afrique ». Il expose son soutien à Mohamed Bazoum et n’exclut pas un recours à la force comme l’affiche la CEDEAO.
Au Burkina Faso, une mission d’information de la Cédéao s’est rendue ce mardi 4 octobre à Ouagadougou. Elle s’est entretenue avec les chefs coutumiers et religieux, qui ont assuré la médiation afin d’éviter un affrontement entre les militaires. L’autre rencontre s’est tenue avec le capitaine Ibrahim Traoré sur la suite du processus de transition pour un retour à l’ordre constitutionnel normal.
Des questions bilatérales, des sujets d’ordre sous-régional, etc., ont été abordé par le chef de l’État togolais, Faure Gnassingbé et…
Le Chef de l’État Togolais Faure Essozimna Gnassingbé a exprimé sa compassion au Niger suite à l’énième attaque qui a frappé le pays de l’Afrique de l’ouest
« La Fondation Mo Ibrahim vient de m’honorer. A travers moi c’est le peuple nigérien tout entier qu’elle honore. En son nom et au mien propre je l’en remercie », a écrit Mahamadou Issoufou dans un tweet.
Le tout corroboré par la décision de Mahamadou Issifou de ne pas briguer un 3e mandat à la tête du Niger. Conformément au texte fondamental du Niger.
Le Niger va bientôt adopter un Projet de nouvel Hymne National