Togo- Municipales 2025 : la Cour suprême proclame les résultats définitifs, l’UNIR largement majoritaire
La Chambre administrative de la Cour suprême en République togolaise, réunie en son audience solennelle consacrée aux élections municipales, le…
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La Chambre administrative de la Cour suprême en République togolaise, réunie en son audience solennelle consacrée aux élections municipales, le…
À l’approche des élections municipales de 2025, le Maire sortant, Ayawli Kwaku, investi par le parti UNIR, dresse le bilan…
Le Togo s’enfonce dans une tension sourde. Un climat de peur s’installe, alimenté par des manifestations spontanées, une colère sociale…
Souvent, c’est quand on croit que tout est acquis que les pires problèmes surviennent. La vie est ainsi faite. À bien regarder les choses, la nouvelle Constitution de la 5ème République pourrait être un piège subtil qui peut se refermer à tout moment sur son initiateur.
Sans surprise, le parti au pouvoir au Togo, Union pour la République (UNIR), a largement dominé les premières élections sénatoriales…
Le Togo vit une période politique délicate avec une Assemblée nationale où l’Union pour la République (UNIR), le parti présidentiel, s’est taillé la part du lion, mais où les voix de l’opposition tentent de se faire entendre. A l’issue des élections législatives d’avril 2024, trois partis politiques de l’opposition (ADDI, ANC, FDR) et la DMP ont été crédités de sièges. Mais tous ne siègent pas. Certains dirigeants de l’opposition ont explicitement refusé de siéger, évoquant les conditions d’organisation des élections et des résultats qui ne reflètent pas le vote issu des urnes.
Lors d’une conférence de presse à Lomé mercredi, les responsables de la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP) ont vivement critiqué une initiative des députés UNIR à l’Assemblée nationale. Ces derniers tentent d’aligner le règlement intérieur de la nouvelle législature sur la nouvelle constitution, en ignorant les dispositions transitoires. Dans leur déclaration liminaire, la DMP a fermement dénoncé cette manœuvre qualifiée de « dessein funeste », affirmant qu’elle ne saurait être tolérée. Lecture.
La campagne électorale pour le double scrutin législatif et régional bat son plein au Togo. Mercredi, au CEG Djagblé, les cadres du parti UNIR-Zio ont organisé un grand meeting de mobilisation et de sensibilisation.
Depuis l’opération qualifiée de « coup de force » constitutionnel par plusieurs partis politiques et Organisations de la Société Civile ayant conduit à la totale dénaturation de la Constitution togolaise votée en 1992 par le peuple, la frange de partis politiques à l’Assemblée Nationale sous la bannière d’opposition au régime UNIR au pouvoir, est devenue particulièrement silencieuse. Ce vote aurait-il montré leur véritable statut politique ?
Le leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio s’insurge contre “l’instrumentalisation des élèves à des fins politiques”. Pour lui, ces vieilles méthodes héritées du temps du parti unique, montrent clairement que du RPT du Général Eyadéma à UNIR du fils, on est juste passé des parents aux enfants
L’Union pour la république (UNIR) a tenu son deuxième congrès statutaire ce lundi 26 février à Kara en prélude aux élections législatives et régionales. Une date qui fait polémique…
La ville de Kara, chef-lieu de la préfecture de la Kozah, accueille ce lundi 26 février 2024, le 2e congrès statutaire du parti Union pour le République (UNIR).
Depuis quelque temps, tous les édifices publics nouvellement construits sont pour la plupart peints en bleu et blanc, des couleurs qui représentent le parti au pouvoir UNIR. Et les nouveaux bâtiments scolaires publics ne sont pas épargnés. Par la suite quelques partis satellites ont commencé à emboiter le pas à UNIR.
Une campagne de sensibilisation, couplée d’installation des sections du parti au pouvoir au Togo, UNIR, se déroule actuellement en territoire ivoirien. Ce dimanche 16 juillet, c’était l’étape de Bonahouin, localité située dans la Région de l’Agnéby, dans le département d’Akoupé et dans la Sous-préfecture de Bécouefin.
A la demande de plusieurs acteurs politiques, les travaux du Cadre permanent de concertation (CPC) ont repris ce mercredi 5 juillet à Lomé. Avec pour menu principal, le recensement électoral dans la zone 1. Sena Alipui, le conseiller spécial de Dr Gilchrist Olympio fait ici le résumé de cette première journée.
«Voilà un parti qui ne représente même pas 10% de l’électorat et qui curieusement bombe le torse d’être le plus « grand parti » au Togo. Si ce n’est pas les fraudes et les braquages électoraux, si ce n’est pas les tripatouillages, les violences policières, les emprisonnements, les rapts, les assassinats, il y a longtemps que ce parti aurait disparu du champ politique au Togo.»
L’ex-ministre des Armées, Gnakade Marguerite n’est plus membre l’association des Jeunes Sans Frontières pour le Développement du Togo (JSFDT). Elle a été exclue du mouvement pour « manquements graves ».
N’en pouvant plus, les populations togolaises, victimes des répressions sauvages et des effets néfastes de la mal gouvernance, comme le népotisme et la corruption endémique, se sont peu à peu résignées, tirant quotidiennement le diable par la queue.
En dépit de leur divergence de vision sur la manière de gouverner le Togo, le parti politique au pouvoir, « UNIR » et les partis d’opposition se rejoignent sur un point : le culte de la personnalité qui se résume tout le parti en une seule personne.
Il s’agit ici d’un fait réel et indéniable. Les collaborateurs du Chef de l’Etat s’attèlent désormais à peindre en bleu tout ce qui peut tomber sous les yeux de celui-ci. Des arrêts sur images peuvent témoigner de ce fait qui tend à mettre les biens publics aux couleurs de « Unir ».
Autrefois très puissant dans le système politique aux affaires au Togo depuis plusieurs décennies, l’ancien ministre Tankpandja Lalle est décédé.
Le paysage politique togolais est maussade. Et c’est peu dire ! Toute la classe politique togolaise, autant le parti au pouvoir UNIR que ceux de l’opposition, se la coule douce en attendant les prochaines échéances électorales pour bluffer une population désenchantée.
Le parti présidentiel Union pour la République vient de perdre l’un de ses piliers. Il s’agit du Prof. Charles Kondi Agba.
Le parti présidentiel Union pour la République (UNIR) organise actuellement une vaste campagne d’opération gratuite de la cataracte sur toute l’étendue du territoire national. Dénommé “Opération zéro cataracte”, ce projet est une initiative personnelle du Chef de l’Etat Faure Gnassingbé en sa qualité du président du parti UNIR, soutenu par des partenaires indiens et français.
L’ancien ministre de la Santé, entre 2011 et 2013, a tiré sa révérence à l’âge de 74 ans, annoncent plusieurs médias locaux.
L’Union pour la République (UNIR), le parti au pouvoir, condamne « la violente attaque jihadiste menée contre nos forces de défense et de sécurité » dans la nuit du 10 au 11 mai au poste de sécurité de Kpinkankandi. Et appelle « redoubler de vigilance et resserrer les rangs autour de nos forces de défense et de sécurité pour le maintien de la paix » au Togo.
Le fait de s’inquiéter du fait qu’il n’existe pas d’opposition constructive dans notre pays, implique que l’existence d’une opposition constructive est un besoin vital pour une démocratie.
Il semblerait, selon toute vraisemblance, que Charles Kondi Agba, un des ténors de l’échelle de sagesse de UNIR, parti gouvernant notre pays, aurait fait une déclaration fracassante selon laquelle, il n’existerait pas ou plus, d’opposition constructive dans notre pays.
Parfois, vieillesse et sagesse riment en harmonie, mais cette fois, c’est plutôt avec maladresse que la paire se forme.
Après deux mois de séjour à Lomé et de retour en Allemagne, j´ai fait un triste constat sur le plan politique. C´est que les Togolais eux-mêmes se créent des obstacles et ceux-ci pourront profiter encore au régime en place, les années à venir. Ces obstacles sont à deux niveaux et ont tous, un dénominateur commun : l´égoïsme et l´indifférence généralisée. L´un est observé chez les leaders des partis politiques et le second au sein de la population chez les Togolais lambda qui, pourtant souffrent.
La dernière lettre de Jean-Pierre Fabre au ministre d’État Payadowa Boukpessi, menaçant de quitter la Concertation nationale entre acteurs politiques (CNAP) n’est pas du goût des responsables de l’Union pour la République (UNIR). Dans son message à l’occasion des deux ans des élections locales, le Secrétaire exécutif du parti présidentiel Atcholi Aklesso, revient sur ce sujet. Le député invite les responsables de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) au « sérieux ».
Depuis le 03 mai dernier, Faure Gnassingbé a bouclé l’an 1 de son 4ème mandat. Mine de rien, un enfant qui était au CPI (Classe Préparatoire Intégrée) à la mort de Eyadema devrait avoir son Baccalauréat cette année.