Vidéo : Des officiers filmés demandant de l’argent aux passagers
Des agents d’immigration ont été filmés alors qu’ils demandaient de l’argent pour permettre l’entrée illégale au Ghana à travers la frontière avec le Togo.
Des agents d’immigration ont été filmés alors qu’ils demandaient de l’argent pour permettre l’entrée illégale au Ghana à travers la frontière avec le Togo.
Lundi dernier, un togolais Victime d’une transaction frauduleuse, a alerté la Police régionale d’Accra (Ghana). Cette alerte a induit l’ouverture d’une enquête par l’institution qui a abouti au démantèlement d’un réseau de 37 malfrats dont 2 ghanéens et 35 ressortissants étrangers.
Les suspects, composés de 27 Burkinabés, quatre Togolais et quatre Nigérians, seraient entrés illégalement au Ghana et auraient également été arrêtés avec deux Ghanéens
Les autorités côtières du Togo, du Bénin et du Nigeria ont été encore une fois alertées à accroître la surveillance «pour aider à intercepter le bateau pirate».
Le chef de l’Etat a reçu en déjeuner les membres du staff technique de la sélection nationale de football et leur a dit de tout faire pour remporter la prochaine Coupe d’Afrique des nations (CAN) qui aura lieu en hiver au Cameroun.
Triste sort pour un conducteur de corbillard qui a trouvé la mort dans un tragique accident au Ghana alors qu’il transportait un cadavre. Les deux corps sont déposés à l’hôpital St Anthony de Drobo.
Le Service de l’immigration du Ghana a arrêté 33 citoyens des pays d’Afrique de l’Ouest y compris des Togolais qui auraient illégalement entré dans le pays.
Il a également déclaré aux journalistes que l’enfant vivait avec sa mère au Togo alors qu’il demeure au Ghana depuis un certain moment, d’où son désir d’avoir un certain contrôle sur l’enfant.
Des têtes et des queues démembrées de dauphins ont été retrouvées le long de la plage d’Axim, sur la côte ouest du Ghana, ce qui a amené les autorités à soupçonner que le reste des corps avait été pris pour la consommation.
Les militants du Togoland occidental estiment qu’ils continuent leurs lutte pour l’indépendance, malgré “l’orchestration” de l’État ghanéen pour l’étouffer.