À l'issue du double sommet des États membres de l'UEMOA et de la CEDEAO qui a eu lieu ce dimanche 9 janvier 2022 à Accra au Ghana, plusieurs sanctions ont été adoptées à l'encontre de la junte Malienne.
Plusieurs dirigeants ouest-africains ont débuté ce dimanche 9 janvier 2021, dans la capitale du Ghana, Accra, le Sommet extraordinaire des Chefs d'Etat des pays membres de l'UEMOA, après lequel aura lieu celui de la CEDEAO.
Les choses se précisent sur la réouverture des frontières terrestres dans l'espace de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), après leur fermeture pendant près de deux ans en raison de la pandémie de COVID-19.
Dans une nouvelle publication sur sa page Facebook, l'opposant Nathaniel Olympio parle de la Communauté Economique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). Le président du Parti des Togolais estime que l'institution sous-régionale doit surtout œuvrer pour concrétiser la volonté des peuples.
Le président guinéen de transition, le colonel Mamady Doumbouya, ne semble pas affecté par les sanctions que lui inflige le bloc ouest-africain, la CEDEAO.
Lors d'un sommet extraordinaire de la CEDEAO au Ghana, les chefs d'État ont mis davantage de pression sur les leaders militaires du Mali et de la Guinée.
Le président de la CEDEAO Nana Akufo-Addo a consulté les chefs d'Etat pour organiser d'urgence un nouveau sommet sur les développements au Mali et en Guinée
« Cette décision intervient après plusieurs mises en garde adressées à l’intéressé à travers sa hiérarchie. En conséquence, un délai de 72 heures lui est accordé pour quitter le territoire national », souligne le communiqué.
Au menu de cette rencontre qui a eu lieu jeudi dans l'après-midi au Palais Mohammed V, les échanges sur l‘évolution de la situation politique dans ce pays d'Afrique de l'ouest depuis le coup d'état du 05 septembre.
Le président Nana Addo Dankwa Akufo-Addo a déclaré que pour éviter les cas de coup d'État dans la sous-région, la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest, la CEDEAO, doit sérieusement envisager d'interdire les candidatures au troisième mandat présidentiel.