Togo- Coupures d’électricité à Lomé : La prison civile plongée dans des conditions de vie insoutenables
Cette semaine, plusieurs coupures d’électricité ont frappé la capitale togolaise, Lomé, laissant la ville sans courant pendant des heures. La…
Cette semaine, plusieurs coupures d’électricité ont frappé la capitale togolaise, Lomé, laissant la ville sans courant pendant des heures. La…
Le Garde des Sceaux, le ministre de la Justice et de la Législation laisse entendre qu’une nouvelle prison civile de Lomé sera érigée à Dalavé (Togo.
Le ministre togolais de la Justice, Pius Agbetomey, invite les nommés GAFO Kamaloudine et AKAKPO Komlan Mawuli, respectivement surveillants des administrations pénitentiaires à la prison civile de Lomé et d’Atakpamé à regagner leurs lieux de travail.
Des idées fusent d’un peu partout au sujet du manque de main-d’œuvre pas seulement au niveau agricole mais pour des travaux d’intérêt général.
Lorsque l’autisme semble la réponse des autorités face aux interpellations des citoyens, seul un électrochoc permet parfois de les faire sortir de leur léthargie.
Dans le but de contribuer à désengorger la prison civile de Lomé, la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH), avec le soutien de l’Association pour la prévention de la torture (APT), a organisé ces 7 et 8 avril des audiences correctionnelles spéciales au Tribunal de Lomé.
La Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) marque la célébration de la Journée internationale des droits de l’homme (JIDH) par une campagne de consultations et de soins gratuits aux détenus de la prison civile de Lomé.
Une panne du robinet prive les détenus d’eau depuis plusieurs jours. La citerne envoyée au sein de la prison civile de Lomé pour remédier à ce problème est mise à la disposition de ceux qui ont les moyens. L’eau y vaudrait de l’or.
Le président national du Front des Patriotes pour la Démocratie n’est pas encore tiré d’affaire. L’opposant Djimon Oré arrêté le 29 avril dernier, est actuellement détenu à la prison de Lomé.
Un prêtre vodou et une partie de ses disciples sont déférés à la prison civile de Lomé après un détour au Service central de recherches et d’investigations criminelles (SCRIC) de la Gendarmerie nationale.