Depuis l’annonce de l’annulation des sanctions contre le Niger, les autorités béninoises qui n’attendaient qu’une telle mesure ont vite fait de rouvrir les frontières avec le Niger. Cependant du côté nigérien, les barrières restent en place jusqu’à présent.
La Commission de discipline de la Fédération togolaise de football (FTF) a sanctionné le club Tafass FC après les incidents survenus au cours d’un match de championnat de D3 contre JSD.
Le Conseil de Sécurité des Nations-Unies s’est réuni ce 30 Août afin de délibérer sur une résolution rédigée par la France et les Emirats Arabes Unis visant à prolonger d’un an le dispositif en vigueur à l’encontre de huit individus accusés de mettre en péril l’accord de paix de 2015 au Mali. La Russie y a opposé son véto.
Le Directeur Général de la Police Nationale, Col. Yaovi Okpaoul, avait prévenu qu’à partir de ce lundi 28 Août, l’opération casque obligatoire pour les passagers des motos passerait à la phase des sanctions. Un imposant dispositif policier est visible ce matin au niveau des principales artères de la ville de Lomé.
C’est une des conséquences des sanctions de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) à l’encontre du Niger, suite au Coup d’État qui a renversé le président élu Momhamed Bazoum, le 26 juillet.
Une file d’environ 600 véhicules à Malanville, au Bénin. Chargés de marchandises, ils peinent à atteindre le Niger, leur destination. Le Bénin ayant fermé sa frontière avec son voisin, en application des sanctions décidées par la CEDEAO contre les militaires ayant pris le pouvoir à Niamey.
Trois fois candidat à l’élection président (2011, 2016 et 2020), Seyni Oumarou président de la formation politique MNSD Nassara, principale alliée du parti au pouvoir PNDS Tarayya (donc de Mohamed Bazoum), juge « inacceptables et insupportables » les mesures envisagées par les deux organisations ouest-africaines.
L’université de Kara, la seconde université publique du Togo, n’échappe à la tension latente qui règne au sein des universités du pays. Après le Conseil de discipline convoqué pour auditionner le doyen de la faculté de droit de l’Université de Lomé, conseil avorté in extremis, c’est un autre enseignant de l’Université de Kara qui est sanctionné pour ses « écrits ».