Selon le site local d’informations 24 Heures au Bénin qui cite une information du journal Le Potentiel, les deux suspects arrêtés le jeudi 16 juin 2022 « ont été écoutés sur procès-verbal ».
On sait quand débute l’insécurité terroriste, mais nul ne peut en prévoir la fin. Et il faut, juste, une réelle confiance en soi pour prétendre circonscrire ce fléau à une échéance prévisible.
Depuis le matin, la presse togolaise faisait état d'une nouvelle attaque terroriste repoussée par l'armée togolaise dans le nord du pays. L'information a finalement été confirmée par le porte-parole de l'armée togolaise, le Lieutenant-colonel Soussou Samah.
En conseil des ministres ce 13 juin, le gouvernement togolais a décidé de prendre un projet de décret instaurant dans toute la région des savanes l'état d'urgence sécuritaire.
Selon l’AIB, l’armée a indiqué avoir tué 20 assaillants et capturé 03 autres lors des combats.Quatre gendarmes ont également perdu la vie durant l’assaut, selon les informations.
Dans un élément sonore d´un peu plus d´une minute circulant sur la messagerie whatsapp samedi 04 juin 2022, on pouvait entendre les cris de douleur, de supplication d´un homme, apparemment en train d´être maltraité par un agent des forces de l´ordre. Les paroles du policier ou du gendarme qui frappait le malheureux inconnu pouvaient nous renseigner que le supplicié aurait versé de l´eau sur un policier pour se venger du fait que ce dernier ne lui aurait rien donné après avoir essuyé sa voiture. L´agent de la force publique qui ignorait les cris de supplication et continuait à infliger les mauvais traitements à sa victime, n´a pas pas manqué, par ses menaces, de relier l´acte de sa victime du jour au grave incident au grand marché de Lomé d´il y a deux jours qui avait coûté la vie à un gendarme togolais.
Le ministère en charge de la Défense du Ghana annonce que les services de renseignement suspectent le déplacement de jihadistes sur la frontière togolo-ghanéenne.
Les dirigeants africains se réunissent à Malabo, en Guinée équatoriale ce vendredi, pour deux sommets alors que le continent fait face à des crises humanitaires, au terrorisme et à des coups d'État militaires.
Le carnage est survenu au niveau du pont Singou. Un premier bilan fait état de 50 civils tués, a indiqué jeudi le gouverneur de la Région de l’Est dans un communiqué.
Au lendemain de la première attaque terroriste menée contre le pays, le président togolais a décidé d’envoyer des renforts non loin de la frontière burkinabè et d’accélérer les projets sociaux.