« Au cours de ces dix jours de deuil national, les drapeaux de l’Etat seront mis en berne sur toute l’étendue du territoire national et dans les ambassades de Côte d’Ivoire à l’étranger ».
Selon le CNSP, ces blessés participaient à un « regroupement spontané de manifestants » qui se sont massés à proximité d’une « chancellerie occidentale » dont « les services de sécurité ont tiré des grenades lacrymogènes et fait usage de leurs armes ».
Il a rencontré les putschistes, notamment le chef du Conseil National de Sauvegarde de la Patrie (CNSP) le Général Abdourahamane Tchiani, le président déchu Mohamed Bazoum, ainsi son prédécesseur Mahamadou Issoufou.
Cette décision est motivée par le souci « de préserver l’intégrité physique du président de la République et de sa famille, d’éviter une confrontation meurtrière entre les différentes forces qui au-delà de ces dernières pourrait provoquer un bain de sang (…) », lit-on.
Pendant ce temps, le ministre des Affaires étrangère, Hassoumi Massoudou a pris la parole sur Twitter. Se présentant comme le « Chef du gouvernement par intérim », il évoque une « tentative de coup de force » au Niger.
Le troisième vice-président de l’Assemblée nationale était, récemment, sur une radio publique à Lomé pour faire le bilan de la première session de l’année de l’Assemblée nationale. Occasion pour lui de revenir sur les engagements de l’Union des forces de changement (UFC).
Le pays de Sylvanus Olympio a connu du début des années 90 jusqu’aujourd’hui, au total, douze (12) chefs de gouvernement. « Lequel d’entre eux a vraiment travaillé pour le Togo ?», se demande le confrère Anani Sossou.
« L'enjeu est double. Il s’agit de préserver la démocratie et de ne pas permettre aux hommes qu’elle porte au pouvoir de s’amuser avec les règles du jeu quand et comme bon leur semble. »
Le parti politique, Nouvelle vision, n’a à peine que deux ans mais le président de son bureau directeur nourrit de très grandes ambitions pour son pays, le Togo.
Adrien Beleki Akouete, président de la Convergence patriotique panafricaine (CPP) depuis novembre 2020, a été reconduit à la présidence à l’issue d’un congrès statutaire organisé ce samedi 27 mai à Lomé.