Mali–La Cedeao aboie, Assimi Goïta et son gouvernement passent
Les Chefs d’Etats de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) réunis à Abuja pour le 62ème…
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Les Chefs d’Etats de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) réunis à Abuja pour le 62ème…
Ces trois Etats de l’Afrique de l’Ouest sont actuellement dirigés par des militaires ayant arraché le pouvoir par des coups d’Etats. Le Mali et le Burkina-Faso ont d’ailleurs connu deux coups d’Etats successifs. Pourtant l’approche de la CEDEAO à l’égard de ce trio sur leur situation politique commune n’est pas la même. Cette curieuse attitude de l’institution suscite des interrogations.
Le 22 septembre, les Soudanais proclament à leur tour leur indépendance en dehors de la fédération du Mali mais conservent le nom de Mali pour leur nouveau pays, la première constitution du Mali est datée de ce jour…
Dans une interview accordée à VOA, le ministre des Affaires étrangères du Mali Abdoulaye Diop fait un tour d’horizon des sujets chauds du moment. Des relations avec la France et la Russie aux tensions avec la Côte d’Ivoire, en passant par Wagner, la Cédéao… aucun sujet tabou.
L’arrestation a eu lieu jeudi après-midi. Les militaires ont été libérés ce vendredi en début d’après-midi sans qu’aucune charge n’ait été retenue contre eux. L’ambassade et le consulat de France au Mali ont fermé leurs portes pour la journée.
L’affaire des « mercenaires » ivoiriens est loin de connaitre son épilogue. Mercredi, les autorités ivoiriennes ont dénoncé ce qu’elles qualifient par « une prise d’otage ». Elles exigent la libération « sans délais » des 46 militaires détenus au Mali. Mais du berger à la bergère, le gouvernement de la Transition du Mali a réagi à cette dénonciation. Dans un communiqué, le gouvernement de Goïta précise qu’il ne cèdera à aucun « chantage et intimidation ».
Mardi à Lomé, le Groupe de Soutien à la Transition au Mali (GST-Mali) a tenu sa 3eme réunion. A la fin de cette rencontre, la délégation malienne conduite par Abdoulaye Diop n’a pas caché sa satisfaction.
À Lomé, le chef de la diplomatie malienne a insisté sur les progrès accomplis dans le sens d’un retour des civils au pouvoir, tout en martelant une nouvelle fois le discours d’une souveraineté recouvrée.
La troisième réunion du groupe de suivi et de soutien à la transition au Mali (GST-Mali) s’ouvre à Lomé ce 06 septembre 2022. En prélude à cette rencontre, le Chef de l’Etat, Faure E. Gnassingbé, a reçu lundi soir la délégation malienne conduite par le ministre des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop.
Le Conseil de sécurité a décidé, mardi dernier, de reconduire jusqu’au 31 août 2023 les sanctions énoncées par la résolution 2374 (2017) concernant le Mali et de proroger jusqu’au 30 septembre 2023 le mandat du Groupe d’experts prévu par le même texte.
Dans un communiqué le Réseau de la Coordination de la Diaspora Togolaise Indépendante (RCDTI) et Collectif pour la Vérité des Urnes – Togo – Diaspora (CVU-Togo-Diaspora) dézinguent le régime de Faure Gnassingbé. Les deux organisations exigent une clarification de la médiation du patron de Lomé II au Mali.
Le bras de fer entre le Mali et la France se poursuit. La prochaine bataille de la guerre diplomatique qui oppose ces deux pays se jouera peut-être à New York.
Voici en effet pourquoi je soutiens les gouvernants actuels du Mali. D’abord j’ai une pleine souvenance de la brûlure politique qui caractérisait le Mali en 2020, non-seulement avec le terrorisme et le djihadisme qui ont pris les 80% du territoire, mais aussi, avec l’ébullition politique marquée par des sorties massives des maliens dans les rues pour contester le régime d’IBK qui accumulait des arriérés de salaires au sein de l’administration publique, volait les élections et éprouvait d’énormes difficultés pour assumer les charges régaliennes de l’État.
Le président de la Transition du Mali, Assimi Goïta a reçu lundi à Bamako le Chef de la diplomatie togolaise Prof. Robert Dussey. L’arrestation des soldats ivoiriens, la réussite de la transition et le retour à l’ordre constitutionnel au Mali étaient au cœur des échanges.
Dans le cadre des relations de fraternité africaine et de coopération entre le Togo et le Mali, Prof. Robert DUSSEY, Ministre des Affaires Etrangères, de l’Intégration Régionale et des Togolais de l’Extérieur, a effectué, le jeudi 07 juillet 2022, une visite de travail à Bamako.
L’organisation intergouvernementale ouest-africaine « regrette » une décision des militaires au pouvoir au Mali intervenue pendant que « les négociations se déroulent encore, en vue de parvenir à un consensus. »
« La durée de la transition est fixée à 24 mois, pour compter du 26 Mars 2022 conformément à l’article 22 de la loi no 2022-001 du 25 février pour révision de la charte de la transition », indique le communiqué signé le colonel Assimi Goïta, président de la transition, faisant office de chef de l’État.
Le Togo n’en finit plus d’être au centre des attentions. Et pour cause : celui qui en est le premier dirigeant, Faure Gnassingbé, a donné le 4 mai dernier son OK pour être le médiateur dans la crise politique au Mali, à l’heure où la junte militaire est l’objet de pressions pour rétablir un régime civil.
Le Togo pourrait-il jouer les médiateurs entre le Mali et la communauté internationale ? C’est en tout cas la demande des autorités maliennes de transition. Mercredi 4 mai, une délégation conduite par le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, a achevé une visite à Lomé au cours de laquelle il a demandé au Togo de « soutenir l’effort de dialogue malien avec la communauté internationale », et de « prendre des initiatives de facilitation ». Demande à laquelle les autorités togolaises ont répondu favorablement. Mais l’initiative est, pour le moment, strictement bilatérale.
Au Mali, le Togo accepte une médiation auprès des institutions internationales et régionales
Le Colonel Assimi Goïta, le président de la transition malienne, et Faure Gnassingbé, le chef de l’Etat togolais, se concertent…
Jeudi 24 mars 2022, la cour de justice de l’UEMOA, sans attendre de statuer sur le fond des requêtes formulées le 15 février passé par un collectif d’avocats agissant au nom et pour le compte de l’État du Mali, visant la levée ou la suspension des inimaginables sanctions économiques et financières prises illégalement, le 09 janvier dernier par la conférence des chefs d’État de la CEDEAO, a, comme l’on pouvait s’y attendre, ordonné le sursis à exécution de celles-ci, après avoir acté la recevabilité desdites requêtes.
La délégation de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, dépêchée le 18 mars dernier à Bamako pour négocier avec les autorités maliennes, une durée raisonnable de la transition, a, après deux jours de discussions, quitté la capitale malienne bredouille, sur une note d’échec, sans aucun consensus.
Si l’Africain a vraiment développé une expertise, c’est celle du bavardage parfaitement inutile, de la diversion qui consiste à ergoter autour d’un sujet sans jamais se rendre capable de trancher d’un trait.
La Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a invité le président de la transition malienne, Assimi Goïta, à prendre part à sa session extraordinaire ce vendredi 25 mars 2022, à Accra, au Ghana.
Ils sont nombreux ces Africains, leaders d’opinion, à exprimer leur solidarité envers le peuple malien. Certains vont jusqu’à désavouer les lourdes sanctions prononcées par la CEDEAO contre Assimi Goïta et son gouvernement de transition. C’est le cas de l’opposant Agbéyomé. Dans un communiqué, celui qui se réclame « président légitime des Togolais » dit apporter son « soutien indéfectible » au peuple malien et l’exhorte à poursuivre son combat contre le djihadisme… Bonne lecture.
Dans un communiqué lundi, la junte militaire au pouvoir en Guinée et déjà suspendu par la CEDEAO de ses instances rappelle qu’elle n’a « été associée à la décision du quatrième sommet extraordinaire des Chefs d’État de la CEDEAO, en date du 09 janvier 2022, relative aux sanctions prises contre la République sœur du Mali ».
A l’invitation du Prof. Robert Dussey, ministre des Affaires étrangères, de l’intégration régionale et des Togolais de l’extérieur de la République togolaise, Abdoulaye Diop, ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale du Mali, a effectué une visite de travail à Lomé, du 07 au 09 novembre 2021.
Dans une réaction sur Twitter, l’opposant togolais Nathaniel Olympio pense qu’il ne faut pas se précipiter pour organiser les élections à la date prévue.
Le Ghana a accueilli ce dimanche 30 mai 2021, un sommet extraordinaire de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) sur la crise au Mali en l’occurrence le récent coup d’Etat où le chef de la junte, le Colonel Assimi Goïta est désigné chef de la transition malienne.
Au Mali, l’on en vient à la case départ. Le lundi 24 mai dernier, au lendemain de la publication du nouveau gouvernement, l’armée a resurgit. Le Président et le premier ministre de la Transition ont été « déchargés de leurs fonctions. Un énième putsch qui remet au goût du jour, plusieurs questions géostratégiques et politiques.
La diplomatie togolaise est très active sur le Sahel à travers son implication dans la crise malienne. Entre la réunion consacrée la semaine dernière à la crise qui au Mali et la visite annoncée de Faure Gnassingbé à l’Elysée, Robert Dussey fait le tour de l’Europe. Objectif, rassurer les partenaires du Togo et faire du lobbying sur l’implication du chef de l’Etat dans la lutte contre le terrorisme. Une thématique qui suscite beaucoup d’intérêts, de Berlin à Moscou en passant par Paris.
Faure Gnassingbé veut “aider les Maliens à réussir (leur) transition”
La rencontre se tient lundi 8 mars 2021 à Lomé. Des officiels maliens, des ministres des pays de la CEDEAO, du G5 Sahel, ainsi que des partenaires Mali seront présents au rendez-vous de Lomé.