Togo – Après 15 jours de grève de la faim, Abdoul Aziz Goma interpelle Faure Gnassingbé depuis sa cellule
Quinze jours après le début de sa grève de la faim, Abdoul Aziz Goma, détenu à la prison civile de…
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Quinze jours après le début de sa grève de la faim, Abdoul Aziz Goma, détenu à la prison civile de…
Depuis le 27 août dernier, plusieurs détenus politiques à la prison civile de Lomé ont entamé une grève illimitée de…
Ce sont nos confrères de l´hebdomadaire «La Dépêche», dans leur parution N° 1236 du 27 août 2025, qui annoncent la…
À la suite des manifestations pacifiques des 5 et 6 juin 2025, plusieurs citoyens, dont un médecin, une sage-femme et…
Dans un communiqué en date du 7 février 2025, le Comité d’Action contre l’Impunité et la Torture (CACIT) a salué la tenue des assises judiciaires relatives aux détenus en lien avec la situation socio-politique au Togo. L’organisation a exprimé des préoccupations concernant les conditions de détention et la longueur des délais avant les procès. Elle a réitéré son appel en faveur de la libération des détenus ou, à défaut, pour un procès équitable dans des délais raisonnables, soulignant la nécessité d’une grâce présidentielle pour certains et une réforme du système judiciaire.
«La comparution des prisonniers politiques militants de la C14 devant une cour d’assises les 3 et 4 février 2025 est…
La Cour d’assises de Lomé a rendu son verdict cette semaine, en condamnant 14 individus arrêtés lors des manifestations de 2018. Dix d’entre eux ont écopé de 10 ans de réclusion pour complot contre la sécurité intérieure de l’État et groupement de malfaiteurs, tandis que quatre autres, toujours en fuite, ont été condamnés à 20 ans de prison, accompagnés de mandats d’arrêt internationaux.
Le 12 janvier dernier, le cyberactiviste togolais, Sitsopé Sokpor, dit “Affectio”, a été arrêté dans des circonstances qui, selon les…
La libération des prisonniers dits “politiques” continue d’être une des principales revendications de l’opposition au Togo. Selon plusieurs acteurs de…
Ce 2 décembre 2024, journée commémorative de l’abolition de l’esclavage, l’Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO) attire…
Dans un communiqué, le front “Touche Pas à Ma Constitution” salue l’intervention de l’eurodéputé néerlandais Fernand Kartheiser, qui a adressé…
Le Ministre Secrétaire Général du gouvernement Christian Trimua a déclaré récemment dans une émission qu’il n’y a aucun détenu politique…
Dans son premier édito du 3 juin 1993 paru dans son journal L’indépendant, le journaliste burkinabè Norbert Zongo a dressé…
Lors de son passage dans l’émission Le Talk, diffusée sur Global Africa Telesud, le ministre Christian Trimua a déclaré qu’il…
Dans un geste politique fort, European Left, une coalition influente au Parlement européen, vient de prendre position en faveur de…
Le front « Touche Pas À Ma Constitution » a exprimé son indignation face à l’interdiction d’une journée de prière…
Une délégation du front « Touche pas à Ma Constitution » était ce vendredi matin au Ministre des Droits de…
Lors d’une conférence de presse tenue ce lundi, Nathaniel Olympio, porte-parole du front « Touche Pas A Ma Constitution », également leader du Parti des Togolais a affirmé l’engagement de son organisation à libérer les prisonniers politiques actuellement détenus dans le pays.
Lundi 12 août 2024, date marquant la célébration de la Journée Internationale de la Jeunesse, le Front « Touche Pas à Ma Constitution » a lancé une campagne de grande envergure avec pour objectif : « Togo sans prisonniers politiques ». Une initiative visant à attirer l’attention sur la situation critique des prisonniers politiques au Togo.
Dans un communiqué de presse en date du 26 Février 2024, la Coalition de la Diaspora Togolaise pour l’Alternance et la Démocratie (CODITOGO) exhorte le Chef de l’Etat togolais Faure Gnassingbé à emboiter le pas à ses pairs de la CEDEAO en libérant les prisonniers politiques.
En conférence de presse samedi à Lomé, le président du parti « Les Démocrates » a exprimé son inquiétude par rapport aux prisonniers politiques du pays. Nicodème Habia promet de faire pire qu’un « grève de la faim » pour obtenir leur libération.
Les 46 soldats ivoiriens condamnés le 30 décembre 2022 à 20 ans de réclusion criminelle par un tribunal de Bamako, ont été finalement graciés par les autorités maliennes.
Pour cette nouvelle année qui s’annonce , Prof Togoata APEDO-AMAH souhaite la mise en liberté de tous les prisonniers politiques et d’opinion. L’universitaire togolais à travers un nouveau post, tacle le régime togolais qui selon lui a visiblement peur d’une opposition démocratique libre.
La question des prisonniers politiques préoccupe l’opposant Nathaniel Olympio. En cette période de fête de Noël, le vœu ultime du président du Parti des Togolais est de voir tous les détenus politiques du pays libérer.
Le Professeur Ayayi Togoata APEDO-AMAH, dénonce les querelles picrocholines de l’opposition politique togolaise dont le jeu stérile est contreproductif pour la défense des intérêts du peuple togolais qui subit de plein fouet une crise sociale très dure. Il suggère de fédérer les énergies dans une lutte commune pour la libération des nombreux prisonniers politiques qui peuplent les prisons du Togo.
Le sort des “prisonniers d’opinion” préoccupe le leader du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio. Dans un post en date du 17 décembre 2022, il exige la libération de ces derniers en car dit-il : “On ne peut pas faire de l’exercice du pouvoir, l’incarnation d’une brutalité excessive”.
Maintes fois, les autorités togolaises ont été sommées de fermer définitivement la prison civile de Lomé. Raison, ce cachot ne répond pas aux standards internationaux. Seulement, le gouvernement togolais n’en a cure.
Prisonniers politiques jusqu´à ce que mort s´ensuive? Un tel titre n´aurait pas été exagéré, vu la situation lamentable dans laquelle se débattent beaucoup de nos compatriotes, hommes et femmes, depuis plusieurs années, contre la solitude, la maladie, les conditions de détention et surtout contre l´incertitude du sort que leur réservent les tenants du pouvoir politique au Togo.
L´information inattendue tombe jeudi dernier dans la soirée sur les réseaux sociaux: une grâce présidentielle serait accordée à des prisonniers qui pourraient immédiatement quitter les différentes maisons d´arrêt sur toute l´étendue du territoire togolais où ils purgeaient leurs peines.
Dans un communiqué, la Coalition de la diaspora togolaise pour l’alternance et la démocratie (CODITOGO) dénonce le parjure et l’abus d’autorité du Procureur général Blaise Essolisam Poyodi et demande la libération des nommés ALFA Ibrahim, SEBABE GUEFFE Tchah et BOUKARI Abdoul Razak arbitrairement maintenus en détention à la prison civile de Lomé.
Les 49 militaires ivoiriens arrêtés à Bamako dont une grande partie issue des forces spéciales, vont être libérés. Cette affaire d’Etat a empoisonné pendant plusieurs semaines les relations entre Bamako et Abidjan. Les autorités de la transition au Mali ayant accusé la Côte d’Ivoire de « tentative de déstabilisation par un pays tiers ».
Editorial du 06 septembre 2022 de radio Avulete. Au menu, la médiation du chef de l’Etat Faure Gnassingbé dans la brouille diplomatique entre Mali et Côte d’Ivoire. Le confrère Sylvain Amos revient sur le rôle de “bon samaritain” joué par Lomé dans le cadre de la libération des 3 soldats ivoiriens.
On le voit très actif dans le règlement de l’actuellement brouille diplomatique entre le Mali et la Côte d’Ivoire. Le chef de la diplomatie togolaise, Prof. Robert Dussey, puisqu’il s’agit de lui, est en train de jouer toutes les cartes possibles pour obtenir la libération des 49 mercenaires (sic) ivoiriens interpellés le 10 juillet à l’aéroport de Bamako par les « éléments » du Colonel Assimi Goïta, Président de la Transition du Mali.
Dans cette tribune, Mm Mary Lawlor, rapporteuse spéciale des Nations unies sur les défenseurs des droits de l’homme se prononce sur la détention « arbitraire » du sieur Abdoul Aziz Goma par le régime de Faure Gnassingbé. Elle exige sa libération.
«La terreur n’assied pas l´autorité sur une base solide; le meilleur moyen d’assurer la paix dans un pays repose plutôt sur sur le pardon et le respect de la vie des autres, de leurs biens et de leurs coutumes…» Amadou Hampâté Bâ. Le mardi 14 juin 2022 fut célébrée pour la deuxième fois dans le monde la journée internationale du procès équitable. Une occasion pour nous de nous pencher sur la dramatique situation des droits de l´homme au Togo.
Un collectif d’associations et de mouvements de la société civile, adressent une lettre ouverte au Président de la République, à la Première Ministre, et à la Présidente de l’Assemblée Nationale du Togo, en regard de l’aggravation de la précarité de millions de togolaises et togolais, de la crise qui secoue le secteur de l’enseignement et de la situation des prisonniers politiques. Lecture!
Prof Togoata Apédo-Amah tient à la libération des détenus politiques et d’opinion au Togo. Dans une nouvelle réaction sur sa page Facebook (Meta), l’universitaire tacle le régime pseudo “démocratique” de Faure Gnassingbé.
Après leur lettre ouverte adressée au chef de l’Etat, Faure Gnassingbé, pour exiger la libération des prisonniers politiques au Togo, Nicodème Habia et Ouro-Djikpa Tchatikpi ont animé une conférence de presse mardi à Lomé. Ces deux acteurs politiques ont dressé un tableau sombre de la situation sociopolitique du Togo, caractérisée par la cherté de vie et la restriction des espaces de liberté par le régime en place. « Les risques d’implosion ou d’explosion à l’instar du 05 octobre 1990, du 12 juin 2012 ou du 19 août 2017 sont palpables », ont-ils averti dans leur déclaration liminaire. Ils exhortent les tenants du pouvoir à des mesures d’apaisement, notamment la libération de tous les détenus politiques et d’opinion du pays. Lisez plutôt !
Dans une récente interview réalisée par le confrère Togoscoop.info, Claude Améganvi, le secrétaire général du Comité national pour la libération de tous les prisonniers politiques, est revenu sur la question des détenus politiques. Pour l’acteur politique, dire qu’il n’y a plus de prisonniers politiques est une leurre et il semble déterminé à exploiter “toutes les voies” pour obtenir leur libération.
Au Bénin, la France est en train de faire pression sur le président Patrice Talon pour libérer l’opposante Reckya Madougou. Dans une réaction, Professeur Apédo-Amah Togoata tire sur Emmanuel Macron. L’universitaire se demande pourquoi l’Elysée ne fait pas la même pression sur Faure Gnassingbé pour exiger la libération des prisonniers politiques au Togo. Lecture
Au Togo, ils sont plus d’une centaine dans les geôles du régime. La liste des prisonniers politiques s’allonge.
« Ne constituent pas une cause d’exonération le fait d’avoir obéi aux ordres d’un supérieur ou d’une autorité publique en commettant les actes de torture et les autres mauvais traitements, ni le fait que ceux-ci aient été justifiés par des circonstances exceptionnelles, notamment un état de guerre, une menace de guerre, l’instabilité politique intérieure ou toute autre situation exceptionnelle ». Article 206, Loi N° 2015-10 du 24 novembre 2015 portant nouveau code pénal togolais.
10 décembre, journée internationale des Droits de l’Homme, plusieurs pays de par le monde commémorent cette journée en jetant un regard sur la situation des Droits de l’Homme en leur sein.
Au Togo, le nombre de prisonniers politiques ne cesse de grimper. Il suffit de consulter les rapports des organisations internationales et nationales de défense des droits humains pour s’en rendre compte.
Dans un communiqué adressé au peuple togolais et au régime de Faure Gnassingbé, des organisations des Togolais de la diaspora conscientes de la situation sociopolitique du pays, dénoncent les violations systématiques des droits humains au Togo et exigent la libération des prisonniers politiques. Lecture.
Kéliba Amadou Kassimou est le septième détenu mort en détention dans l’affaire Tigre Révolution. Ce chiffre inquiétant n’est que la révélation de la bestialité de la politique sous le régime RPT/UNIR. Ce drame confirme également les allégations de tortures soutenues par les détenus, mais démontre les mauvaises conditions de détention.
La Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) met « le Tout Puissant » au cœur de sa lutte politique au Togo. Pour obtenir la libération des prisonniers politiques du pays, notamment celle de Jean-Paul Oumolou, elle invite les Togolais à la prière.
« C’est avec tristesse, colère et indignation que, dans la matinée de ce mardi 23 novembre 2021, le Comité pour la libération de tous les prisonniers politiques du Togo a appris le décès du prisonnier politique KELIBA Amadou Kassimou, détenu au Cabanon du CHU-Tokoin où il est hospitalisé depuis le 3 octobre dernier ».
Dans une nouvelle publication sur sa page Facebook, Prof. Apédo-Amah Togoata s’inquiète de la situation de Djimon Oré, l’opposant arrêté le 29 avril devant sa femme et ses enfants, accusé et condamné à 2 ans de prison ferme par la justice togolaise.
À qui le tour? Une interrogation que nous avons voulu volontairement choquante et révoltante. Il est naturel qu’après la mort de quelqu’un, peut importe si on le connaît ou pas, on ne demande pas qui sera le suivant sur la liste. Mais vu le caractère politique inhumain qui sous-tend l’arrestation, la torture, la détention dans des conditions inhumaines de citoyens innocents qu’on laisse mourir à petit feu, le lecteur pourrait aisément comprendre le fait que nous avions choisi de choquer.
Lors d’une conférence de presse jeudi à Lomé, le Coordonnateur du Comité pour la libération de tous les prisonniers politiques du Togo, le Prof David Dosseh a dressé un tableau sombre de la justice togolaise.
Dans cet article intitulé : « Togo : Etat de terreur sur fond de saccage des droits humains », écrit par Sena Afeto (ASTM) et Prof. David Dosseh (FCTD) et paru dans le journal luxembourgeois Brennpunkt (N°313 de mai 2021), qui se veut un magazine critique sur le développement, les deux acteurs de la société civile abordent la problématique de violations de droits de l’homme au Togo…Lecture.
Au Togo, la lutte contre la pandémie Covid-19 fournit bien des prétextes pour restreindre les libertés publiques et les droits fondamentaux. Une situation que dénonce Nathaniel Olympio, président du Parti des Togolais.
Tous presque nus, on nous amena à la Gendarmerie Nationale en face de la BTCI à Lomé. Arrivés là en pleine nuit, devant une mini-villa clôturée, on nous avait tous fait asseoir le dos contre le mur, les armes bien pointées sur chacun de nous par un certain nombres d´autres agents bien cagoulés qui attendaient juste de recevoir l´ordre pour tirer sur nous. Je voyais ma mort en face. Que faire?
En détention sans procès équitable à la gendarmerie Togolaise depuis 2017, une soixantaine de prisonniers politiques commencent à perdre la vue et 05 d’entre eux sont morts selon le MPL.
A entendre Thomas N’soukpoé, le prophète Esaïe Dékpo a été jeté en prison, pour avoir révélé sa prophétie à la place publique