Togo- Interview- Nathaniel Olympio: « Le régime togolais est en train de préparer les conditions de sa propre chute »
Dans cette interview accordée au confrère “Liberté” dans sa parution N°3965 du vendredi 15 Novembre 2024, le président du Parti…
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Dans cette interview accordée au confrère “Liberté” dans sa parution N°3965 du vendredi 15 Novembre 2024, le président du Parti…
Le Comité d’Action pour le Renouveau (CAR) a officiellement lancé, ce week-end, sa rentrée politique 2024-2025, sous le thème :…
COMMUNIQUE DE LA CDPA-BT J’ai lu avec une intense émotion le texte qui a accompagné l’annonce du décès de Martin…
Dans une interview accordée à Republicoftogo.com à l’occasion du 33e anniversaire de l’Alliance des démocrates pour le développement intégral (ADDI), son président, Tchabouré Aimé Gogué, évoque les défis et les succès limités de l’opposition togolaise.
«…Personne, parmi tous ceux qui se disent de l’opposition vraie, qui souhaitent et cherchent à tout prix le départ de…
Nathaniel Olympio, le président du Parti des Togolais (PT), intervenant récemment sur les ondes d’une radio privée a exhorté ses collègues de l’opposition au Togo à reconnaître leurs erreurs après 30 ans d’échec politique.
Le leader du mouvement ‘Bâtir le Togo’, Jean Yaovi Dégli, tout comme ses collègues de l’opposition critique vivement l’actuelle équipe gouvernementale, la qualifiant de pléthorique et de stagnant.
Dans cette tribune libre, Ricardo Agouzou, conseiller municipal de la commune Kozah 1, examine le rôle crucial de la presse…
Dans cette interview accordée au confrère lesnouvellesdafrique.info, le président du Parti des Togolais, Nathaniel Olympio, commente les derniers développements de…
Depuis plusieurs années, l’opposition togolaise semble peiner à raviver la flamme populaire qui avait marqué les premières vagues de contestation politique au Togo. La difficulté à mobiliser le peuple soulève des questions cruciales sur l’avenir politique du pays.
Ce samedi, Dr James Amaglo, vice-président des Forces Démocratiques pour la République (FDR) et maire de la commune du Golfe…
En visite à Lomé, la Secrétaire générale du Commonwealth, Mme Patricia Scotland, a rencontré une délégation des leaders politiques de…
Ça fait plus de trois décennies que ça dure, la lutte contre le régime de dictature Gnassingbé, menée par des…
Des organisations de la société civile ont tenu un grand meeting hier dimanche 26 mai à Lomé, plus précisément à Bè-Kondjindji pour dénoncer la nouvelle constitution promulguée le 6 mai dernier par le chef de l’Etat Faure Gnassingbé. Jean-Pierre Fabre, le président de de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) et Paul Dodji Apevon des Forces Démocratiques pour la République (FDR) ont assisté à cette manifestation.
Même avec seulement cinq députés à l’hémicycle, Mme Adjamagbo-Johnson est fermement convaincue que l’opposition pourra mener le combat face à la majorité écrasante d’UNIR, qui détient 108 sièges. La députée de la DMP semble lancer un appel à ses « collègues » de l’opposition, notamment de l’ANC et des FDR, les invitant à regagner leurs sièges au parlement pour poursuivre la lutte.
Devant la presse mardi à Lomé, les responsables de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) ont dénoncé les nombreuses irrégularités observées lors du double scrutin du 29 avril dernier. Bourrages d’urnes, violences, manipulations des résultats… Ce sont, entre autres, les faits relevés par Jean-Pierre Fabre et ses collaborateurs au cours de ce qu’ils appellent une « mascarade électorale ». Lire la déclaration liminaire de la conférence presse.
Dans une note réponse au Col. Awaté Hodabalo, ministre en charge de l’Administration territoriale, les responsables de ANC, ADDI, PSR, FCTD et FDR maintiennent leurs manifestations de protestation contre le changement constitutionnel, prévues ces 12 et 13 avril prochains à Lomé. Lecture
Comme un dernier coup avant de rendre leur tablier, les députés de la législature 2018 – 2023 ont procédé au changement complet de ce qui reste de l’esprit de la Constitution adoptée en référendum par le peuple togolais en 1992. Le moment choisi pour opérer une telle opération n’est certainement pas anodine quand on sait que des élections sont prévues dans moins d’un mois.
Depuis que le bruit court que les députés du régime, en fin de mandat depuis le 31 décembre 2023, orchestrent en catimini un charcutage de la Constitution à l’Assemblée nationale, l’opposition, la vraie, dans son ensemble, n’a pas manqué de hausser le ton pour dénoncer la forfaiture. À en croire les indiscrétions, des concertations sont en cours pour former un bloc afin de faire barrage à ce nouveau coup d’État constitutionnel du régime.
Dr. Albert Kate a abordé la question ce week-end lors de l’émission « Avis de la diaspora » sur la chaîne YouTube « Afro Web Tv ». Il a partagé ses réflexions et analyses sur la situation sociopolitique actuelle au Togo, offrant ainsi des éléments de réponse.Dr. Albert Kate a abordé la question ce week-end lors de l’émission « Avis de la diaspora » sur la chaîne YouTube « Afro Web Tv ». Il a partagé ses réflexions et analyses sur la situation sociopolitique actuelle au Togo, offrant ainsi des éléments de réponse.
Dans une déclaration, des organisations de la société civile se prononcent sur l’actualité sociopolitique togolaise. Elles alertent la communauté internationale sur le danger permanent qui pèse sur l’intégrité physique et la vie des populations, des opposants et des défenseurs des droits humains.
Le 20 avril prochain, les Togolais seront dans les urnes pour exercer leur devoir civique. Même si l’opposition exprime des réserves quant à la transparence de ce double scrutin régional et législatif, elle réfute toute option de boycott.
Au Togo, le chronogramme officiel des élections législatives et régionales annoncé la semaine dernière suscite une vague de réactions des partis politiques, surtout de l’opposition.
La Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP) ne boycottera pas les prochaines élections législatives et régionales, malgré les irrégularités qui entachent le processus. Dans un communiqué, elle lance un appel urgent aux populations afin qu’elles se mobilisent et se préparent à aborder les futures échéances avec la conviction.
Le découpage électoral pour les prochaines législatives fait toujours polémique. Lors d’une conférence de presse tenue ce samedi 10 février 2024 à Lomé, les responsables de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) ont exprimé leur indignation face à la répartition “arbitraire” des sièges parlementaires. Ils ont également dénoncé le manque de transparence entourant le processus électoral et ont fait part de leur préoccupation quant au montant du cautionnement requis pour les législatives.
La manifestation prévue ce week-end à Lomé par la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP) a été empêchée en raison du déploiement massif des forces de l’ordre au point de départ à Bè Gakpoto et à plusieurs endroits stratégiques de la ville.
Dans une déclaration conjointe, des partis politiques de l’opposition dont la plupart sont des anciens membres de la C14, lèvent le ton et demande à Faure Essozimna Gnassingbé, d’ouvrir un cadre de discussions très inclusif, impliquant tous les acteurs de la vie sociopolitique, afin de plancher sereinement et efficacement sur les conditions devant conduire à la tenue d’élections libres, fiables et transparentes, mais aussi à l’assainissement du climat politique par la libération des prisonniers d’opinion, le retour des exilés politiques. Lire.
Les togolais ne sont toujours pas situés sur la date exacte des prochaines échéances électorales en vue d’élire les députés et les gouverneurs des régions. Pourtant le parti au pouvoir Unir est déjà en mobilisation électorale alors qu’en ce moment leurs adversaires politiques se tiraillent sur la tenue ou non desdites élections.
Dans une interview accordée à la chaine YouTube “Togovision”, Nicodème Habia du parti “Les Démocrates” revient sur l’actualité sociopolitique togolaise en Mina (langue locale).
Les partis d’opposition du Togo, à défaut de faire preuve d’efficacité pour parvenir à l’alternance à la tête du pays, sont tout de même très prompts à sortir des idées, les unes plus ingénieuses que les autres. Cela ressemble finalement à un concours de la meilleure idée politique comme la dernière proposition du CAR (Comité d’Action pour le Renouveau) pour des élections générales en 2025.
Au Togo, les scrutins législatifs et régionaux auront lieu vers la fin du premier trimestre de l’année 2024. Devant les médias mercredi à Lomé, Nicodème Habia de « Les Démocrates » a laissé entendre que son parti n’ira pas à ces élections couplées.
L’opposant Djimon Oré fait partie des 352 détenus graciés en fin mars dernier par le chef de l’Etat. Dimanche, une messe d’action de grâce a été célébrée en son honneur.
Les leaders de la Dynamique pour la Majorité du Peuple étaient devant la presse mercredi à Lomé. Ils sont revenus sur la situation sociopolitique et sécuritaire du pays. Dans leur déclaration liminaire, Mme Adjamagbo-Johnson et les siens ont exprimé leur vives préoccupations au sujet des irrégularités, du flou total et de l’opacité qui entourent ce processus électoral enclenché. Lecture.
Les 28 et 29 juillet prochain, le parti politique de l’opposition Forces démocratiques pour la République (FDR) organisera un nouveau congrès à Lomé.
Dans une tribune, trois acteurs politiques, notamment Tchagnao Ouro-Akpo, Jean Kissi et Tchatikpi Ouro-Djikpa lancent un appel à toutes les forces de l’opposition à s’unir pour sauver le pays. « Nous, de l’opposition devons faire notre examen de conscience suivi d’acte de contritions internes, enterrer tous nos égos surdimensionnés au vestiaire et nous retrouver dans un seul bloc démocratique pour sauver ce pays », ont-ils écrit. Lisez!
Le courant ne passe toujours pas entre la DMP et l’ANC. La hache de guerre n’est encore enterrée. L’ex-chef de file de l’opposition continue d’exiger de ses collègues, des excuses publiques.
«La malhonnêteté de nos dirigeants au zénith! Il y a quelques jours, l´UFC préparait son congrès. C´est le ministre Boukpessi qui informe Elliot Ohin que son président Gilchrist Olympio lui a envoyé une lettre de report. Le ministre Ohin demande à avoir copie de la lettre, et voilà Boukpessi qui dit que pour des raisons administratives, il ne peut pas lui remettre copie. Contacté, Gilchrist dit n´avoir pas écrit à Boukpessi. Pour rappel, quelques jours avant, le CAR a tenu son congrès terminé en queue de poisson grâce à des mains noires du pouvoir. C´est ça la démocratie au Togo? Difficile pour un pays de se développer quand il est dirigé par des gens malhonnêtes sans foi ni loi qui n´ont pas honte.» (Un citoyen togolais désabusé)
Le président du MCD (Mouvement citoyen pour la démocratie et le développement) a été ferme sur la question. L’opposition togolaise ne prend pas de l’argent du pouvoir.
Le parti au pouvoir, Union pour la république (UNIR) semble préoccupé par l’état actuel de l’opposition togolaise qui est visiblement divisée.
Dans une interview accordée au confrère de la chaîne YouTube “Togovision”, Maman Taméa (Kouevi Ayelé à l’Etat civil) se prononce sur la situation sociopolitique du pays. Sans langue de bois, elle invite l’opposition à taire les querelles intestines pour affronter ensemble le régime.
Les congrès qui sont des périodes de mobilisation, de réflexion et éventuellement de renouvellement des bureaux des partis politiques, se multiplient au niveau de l’opposition togolaise. En observant ce qui se déroule, il faut dire que ces congrès deviennent de véritables tests démocratiques au sein même des partis de l’opposition afin de voir si ces leaders peuvent admettre l’alternance à la tête de leur formation.
Intervenant sur la prorogation du recensement dans la zone 2 sur sa page Facebook, le leader du Nouvel engagement togolais (NET), Gerry Taama a salué la démarche de la CENI. Mais, l’acteur politique est toutefois réservé face aux dysfonctionnements relevés au cours du processus d’enrôlement et interpelle l’opposition.
Il ne faut surtout pas croire que le Ministre d’Etat, Payadowa Boukpessi, a retourné sa veste politique pour intégrer un parti d’opposition. Il reste et demeure membre inconditionnel du parti « Unir ». Mais en sa qualité de Ministre de l’Administration Territoriale, de la Décentralisation et du Développement des Territoires, il est devenu le meilleur « allié » des opposants au sein de certains partis d’opposition du pays.
À l’aube des élections locales vers début Août 2017, le leader d’opinion de la diaspora Togolaise aux États-Unis, Dr Albert Kate avait prédit que la décentralisation seule serait insuffisante pour assouvir la soif des populations et particulièrement dans le contexte du Togo où l’opposition pratique “l’isolement du pouvoir.” L’ex délégué du Haut Conseil des Togolais de l’Extérieur (HCTE-USA) revient sur le sujet pendant que les togolais se préparent cette année 2023 pour les régionales, les législatives déjà présentées au peuple comme énième solution miracle pour un lendemain meilleur au peuple
Il s’agit d’un appel lancé par le président du Pacte socialiste pour le renouveau (PSR) professeur Komi Wolou à ses pairs de l’opposition. L’acteur politique souhaite que l’entité mette fin aux querelles intestines. Un vœu que l’opposant a formulé lors de son discours de clôture du congrès organisé par son parti le weekend dernier. Congrès au cours duquel, prof Wolou est reconduit à la tête du PSR.
Dans une interview accordée au confrère « Togo-Visions », Togbui Dagban Ayivon candidat en course pour la présidence du CAR, se met en retrait. La tête couronnée jette l’éponge. Il en donne les raisons.
En conseil des ministres ce lundi 8 mai 2023, le ministre d’Etat, ministre chargé de l’Administration territoriale, Payadowa Boukpessi a rendu compte du déroulement du recensement électoral démarré depuis le 29 avril 2023 dans la zone 1.
Ainsi le peuple saisira-t-il d’un œil infaillible le détail infini et l’ensemble des formes d’une force de propositions capable des possibles dans une posture crédible. Faute de quoi, il [le peuple ] soupçonnera toujours des jeux d’ombre, et son oreille percevra les bruits sourds de petits arrangements et de petites compromissions du genre les 30 millions qui ont laissé de grandes imprégnations noires dans les esprits, et des rumeurs confuses quant à la netteté des intentions.
Des partis d’opposition togolais parlent plus souvent d’alternance, et surtout depuis les élections de 2020. La CDPA-BT, quant à elle, utilise le terme alternatif,c’est-à-dire le régime politique alternatif au régime militaire despotique mis en place depuis août 1967.S’agit-il ici d’une question de style, de langage pour marquer sa différence avec les autres partis d’opposition ?
Nous devons nous montrer exemplaires dans les partis d’opposition face au régime en place et ne pas toujours faire la même chose que ce qu’on reproche aux détenteurs du pouvoir. Quand j’ai vu l’image que le Congrès du Parti CAR de feu Agboyibo, qui devrait aboutir au choix du président du parti, nous a livrée, alors je me demande s’ils sont encore mieux placés dans ce CAR pour reprocher quoi que ce soit au parti au pouvoir dans le désir de s’éterniser au pouvoir? On doit toujours donner un bel exemple à l’adversaire politique.
En dépit de leur divergence de vision sur la manière de gouverner le Togo, le parti politique au pouvoir, « UNIR » et les partis d’opposition se rejoignent sur un point : le culte de la personnalité qui se résume tout le parti en une seule personne.
Le Comité d’Action pour le Renouveau (CAR) a tenu son cinquième congrès statutaire ce dimanche 30 avril à Lomé. Seulement, les travaux dudit congrès n’ont pas abouti.
S´agissant de la participation ou non aux prochaines élections législatives, nous avons notre petite idée que nous avons déjà exprimée à plusieurs reprises en d´autres occasions. Nous disions que, que ce soit le camp des opposants favorables à la participation, que celui des irréductibles qui ne veulent pas en entendre parler, personne n´a actuellement la baguette magique pour chasser le régime de dictature et arriver à la démocratie.
Si on s’en tient à cette définition de la folie, on peut dire que les opposants au régime militaire togolais sont tous…fous, puisque de part et d’autre de la ligne de démarcation que constituent les élections, les uns et les autres répètent la même chose en espérant un résultat différent.
En vue d’obtenir un apaisement social et les meilleures conditions d’organisation des prochaines élections législatives, les membres de la Dynamique pour la Majorité du Peuple (DMP) soumettent une plateforme revendicative au régime en place. Dans un communiqué, la DMP compte mobiliser toutes les forces démocratiques du pays autour de cette plateforme afin de faire pression sur le pouvoir et obtenir satisfaction.
Intervenant dans l’émission “La Voix du Peuple” sur radio Avuleté, Prof. Aimé Tchabouré Gogué, président de l’Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI) donne son appréciation du processus électoral en cours.
L’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) n’est plus dans la logique de former une quelconque coalition pour aller aux élections. Le parti compte affronter les prochaines régionales et législative tout seul.
Sauf changement de programme de dernière minute, les élections régionales et législatives auront lieu cette année 2023 au Togo. La machine du processus est mise en route avec l’installation de la CENI et ses démembrements. Et du 29 avril au 3 juin prochains, aura lieu l’opération de recensement sur toute l’étendue du territoire. Dans un communiqué, le Mouvement du Peuple pour la Liberté (MPL) de Pascal Adjamagbo appelle les Togolais à se mobiliser pour avoir leur carte d’électeur. Lecture !
Face à une féroce dictature, l’opposition togolaise se révèle enfin: une Ligue Mineure de Paresseux incapables de faire face à la réalité de la situation du Togo.
«…A moins d’un retournement de situation, à moins d’un miracle, la majorité les Togolais iront remplir leurs devoirs d’honnêtes citoyens dans les urnes. Mais est-ce l’urgence, est-ce ce qui préoccupe les Togolais empêtrés plus que jamais dans la gadoue d’une crise économique toujours aussi dévastatrice? Pourquoi cet acharnement à privilégier le politique au détriment du social…?»Voilà un extrait du journal «Le Correcteur» de mars 2023