Si 60 ans après l’indépendance, pour venir à bout de 1000 Djihadistes, l’armée malienne a eu besoin d’avoir pendant 9 ans sur son sol toutes les armées de l’Union Européenne pour l’aider et sans y parvenir, c’est bien la preuve qu’il y a quelque chose qui n’a pas marché. Ou tout au moins que le modèle d’Etat construit par la France en Afrique ne peut pas répondre aux besoins primaires de sécurité, encore moins, de prospérité de la population.
En tant qu’organisation dédiée à la protection des droits des consommateurs, nous sommes conscients de l’importance des services financiers dans la vie quotidienne des individus. Les institutions financières jouent un rôle crucial dans l’économie et dans la vie de millions de
consommateurs dans notre pays.
La Communauté Economique des Etat de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a pris des positions extrêmes, jusqu’à menacer, surtout publiquement, le Niger d’une intervention militaire pour rétablir le président Mohamed Bazoum dans ses fonctions, après le coup d’Etat du 26 juillet dernier. Déjà, en ne mettant pas en exécution sa menace, la CEDEAO s’est davantage affaiblie. En dehors de la sortie de la Mauritanie il y a vingt-quatre ans, c’est une première de voir trois pays quitter simultanément l’organisation. Surtout que cela se passe au moment où le Sahel fait face au défi sécuritaire qui s’étant désormais aux pays côtiers pendant que les grandes puissances accentuent leurs convoitises dans la sous-région
Le cas Togo dont seulement 8 % de la population sont couvertes depuis 2012 inquiète à plusieurs niveaux à partir du décret N°2023-096/PR en date du 4 octobre 2023 fixant les taux, montants et modalités de recouvrement dues au titre de l’AMU. Pour l’essentiel, on retient que qu’à compter du 1/1/2024, les cotisations sociales à la CNSS, passent de 21,5% à 31,5%, soit 10% supplémentaire pour l’assurance maladie universelle obligatoire. L’employé supportera 9% et l’employeur 22,5%. Autrement dit, les 10% de l’AMU sont supportés à part égale par l’employé et l’employeur. Dans les détails, les charges sociales pour l’employeur qui étaient de 17,5% passent à 22,5 % soit une augmentation de 5% pour l’AMU et l’employé passe de 4% à 9 % soit 5% de plus pour l’AMU.
Le Togo croise les raquettes avec l’Indonésie ce samedi 03 et dimanche 04 février à Lomé. L’équipe nationale de tennis est dans la semaine décisive des préparatifs pour réaliser l’exploit historique.
Continuer à célébrer l’attentat de Sarakawa comme au temps du Général Eyadema pose un problème. La rupture annoncée par le chef de l’Etat est donc un leurre. Et le phosphate auquel serait lié le fameux attentat de Sarakawa du 24 janvier 1974, n’apporte plus grand-chose au budget de l’Etat.
Ces élections (législatives et régionales) n’ont pas été organisées dans les 30 jours précédant l’expiration du mandat des députés. Il faut donc constater un non-respect de la Constitution, ce qui relève de l’unique responsabilité du Premier Ministre et de son Gouvernement. Le fait de rester en fonction en attendant la prise de fonction de leurs successeurs ne confère aucun droit, encore moins de légitimité ni aux députés du parlement, ni au gouvernement, ni à Faure Gnassingbé pour légiférer sur le processus électoral à venir alors que le pouvoir autocratique a disposé, au cours de son quatrième mandat illégal, de cinq ans pour le faire.