Togo- Liberté d’expression : Un journaliste togolais saisit le Vatican
En exil en France depuis 2022, le journaliste togolais Ferdinand Mensah Ayité a écrit une lettre poignante au pape Léon…
Le portail togolais par excellence!
En exil en France depuis 2022, le journaliste togolais Ferdinand Mensah Ayité a écrit une lettre poignante au pape Léon…
«… c’est connu que quelqu’un «qui veut noyer son chien l’accuse de rage». Et dans un pays comme le Togo…
The Togolese authorities have reportedly leveled serious accusations against investigative journalist Ferdinand Ayité and Commander Olivier Amah, both currently exiled in France. They are alleged to be involved in a conspiracy against state security and acts of terrorism.
Le régime en place au Togo a lancé de sérieuses accusations contre le journaliste d’investigation Ferdinand Ayité et le commandant…
Après la mise sous mandat de dépôt de Françoise Agba, la veuve de l’homme d’affaire togolais décédé en exil, ainsi…
Togo’s leading investigative newspaper, L’Alternative, has made a triumphant return as a website, thanks to support from Reporters Without Borders (RSF). The publication had been forced to shutter its operations a year ago when its publisher and editor fled the country.
Suspendu provisoirement pour des raisons bien connues de tous, le journal d’investigations, d’informations et d’analyses “L’Alternative” va reprendre du service. Cette-fois, il ne paraitra plus sous format papier, mais plutôt en ligne.
En parcourant cette enquête bien fouillée, on a une idée réelle de ce qu’est le logiciel espion Pegasus. Depuis le déclenchement de ce scandale mondial, plusieurs pays indexés ont cessé d’utiliser ce logiciel. Mais le Togo de Faure Gnassingbé, non. La survie de son pouvoir et son projet de règne à vie l’oblige à mettre la plupart des citoyens sous surveillance y compris ses propres collaborateurs. Au cœur de ce dispositif ultra sécuritaire Israël.
Il faut absolument déterminer l’origine de cet incendie et rendre justice à ces valeureuses femmes qui ont tout perdu. Les enquêtes des incendies des marchés de Kara et Lomé n’ont jamais conduit aux vrais auteurs.
Reçu sur Africa Radio, le Directeur de Publication du journal d’investigation “L’Alternative” se prononce sur la situation sociopolitique du Togo. Ferdinand Ayité revient sur le Prix international de la liberté de la presse 2023, à lui décerné par le Comité pour la protection des journalistes.
En exil depuis quelques mois, le journaliste togolais Ferdinand Ayité a été honoré hier à New York en recevant le Prix international de la liberté de presse de CPJ Africa pour son journalisme d’investigation audacieux au Togo. La réaction de l’ambassade des États-Unis d’Amérique au Togo ne s’est pas fait attendre, saluant cet exploit sur les réseaux sociaux.
La 31e édition du prix Reporters sans frontières (RSF) pour la liberté de la presse se tiendra le 28 novembre 2023 à Bruxelles. L’Alternative, un journaliste d’investigations, est nominé dans la catégorie du « Prix de l’indépendance ».
Jeudi 16 Novembre 2023 au cours d’un dîner au Glasshouse (660 Twelfth Avenue) à New York, le Comité pour la protection des journalistes rendra hommage à des journalistes courageux du monde entier. Quatre journalistes extraordinaires de Géorgie, d’Inde, du Mexique et du Togo recevront le Prix international de la liberté de la presse 2023.
Les dirigeants togolais sont incapables de respecter les dispositions constitutionnelles votées par eux-mêmes. En l’absence d’institutions fortes et de contrepouvoir, tout se limite finalement à la volonté d’un seul homme qui décide au gré de ses humeurs. On se retrouve finalement avec des institutions hémiplégiques.
Le Directeur de publication du bihebdomadaire L’Alternative est en exil en France. Tout un stratagème a été mis en place afin que Ferdinand Ayité puisse quitter le territoire national. Une personne particulièrement l’a aidé. Comment ? La réponse dans ce posting de l’intéressé lui-même.
Recevoir des soins médicaux adéquats au Togo est un luxe que quelques minorités peuvent se payer. Système fragile, complètement à genoux, infrastructures datant de mathusalem, manque de personnel soignant, manque de financement… Tel est le contenu du dossier médical du secteur de la santé au Togo.
Ferdinand Ayité est lauréat du prix international de la liberté de la presse décerné par le Comité pour la protection des journalistes (CPJ). Aujourd’hui exilé en France, le patron de L’Alternative dédie cette distinction à ses confrères togolais.
Lauréat du Prix international de la liberté de la presse 2023, décerné par le Comité pour la protection des journalistes, le confrère Ferdinand Ayité, Directeur de publication du journal « L’Alternative », dans une interview, dédie son prix à l’ensemble de la presse togolaise.
Journalists from Georgia, India, Mexico and the Togolese Ferdinand Ayité will be honored in November at the 2023 International Press Freedom Awards, which celebrate brave reporters around the world.
Sur sa page Facebook, le confrère Ferdinand Ayité se rappelle ses débuts. Lorsque lui, Maxime Domegni et Isidore Kouwonou avaient décidé de lancer « L’Alternative » en 2010. Aujourd’hui lauréat du « Prix international de la liberté de la presse 2023 », le Directeur de Publication du bihebdomadaire rend hommage à ses collègues, et donne de l’espoir aux fidèles abonnés et lecteurs du journal.
Le Comité pour la protection des journalistes rendra hommage à quatre journalistes extraordinaires de Géorgie, d’Inde, du Mexique et du Togo en leur décernant le Prix international de la liberté de la presse 2023.
Le Comité pour la protection des journalistes rendra hommage à quatre journalistes extraordinaires de Géorgie, d’Inde, du Mexique et du Togo en leur décernant le Prix international de la liberté de la presse 2023.
From his place of exile, the Togolese journalist, Ferdinand Ayité makes revelations about the state of his family in the West African nation. According to the journalist prosecuted by the country’s authorities, his family has been constantly intimidated and harassed since he left Lomé.
Sur sa page Facebook, le journaliste Ferdinand Ayité fait des révélations. Le Directeur de publication de “L’Alternative” indique que depuis qu’il a quitté le pays, sa famille fait permanemment objet d’intimidation et de harcèlement. Lisez plutôt!
Depuis quelques jours, circule sur les réseaux sociaux un lien appartenant à un groupe WhatsApp dénommé « Je suis Ferdinand AYITE, Je suis le journal L’Alternative ». Ce groupe invite les gens à l’adhésion.
Condamnés à trois (03) ans de prison ferme, (3) millions d’amende avec mandat d’arrêt a été délivré contre eux, les journalistes Ferdinand AYITE et Isidore KOUWONOU, respectivement Directeur de Publication et Rédacteur en Chef du bihebdomadaire togolais d’investigation L’ALTERNATIVE seront de nouveau jugés le jeudi 11 mai 2023.
Un autre chapitre du feuilleton « chasse aux journalistes critiques » au Togo, notamment Ferdinand AYITE et Isidore KOUWONOU contraints de fuir leur pays, va probablement s’ouvrir la semaine prochaine. La Cour d’Appel de Lomé a envoyé une citation à prévenu à l’avocat des deux journalistes qui sont appelés à comparaître par-devant cette juridiction le jeudi 11 mai 2023.
10 avril 2008- 10 avril 2023. Ce fait 15 ans jour pour jour que le journal d’investigation, d’analyse et d’information “L’Alternative” pose son empreinte indélébile dans le paysage médiatique togolais. L’aventure n’a pas été de tout repos. Même loin du pays, Ferdinand Ayité, fondateur et directeur de publication du bihebdomadaire, rend un hommage à l’équipe qui a permis de maintenir “ce navire à flot” durant ces 15 années de dur labeur.
La condamnation des journalistes Isidore Kouwonou et Ferdinand Ayité dans l’affaire les opposants aux ministres-pasteurs du gouvernement togolais, continue de susciter des réactions.
Dans une affaire sans tête ni queue, qui semble ne correspondre à aucune logique, deux journalistes ont été condamnés par le tribunal de Lomé à trois ans de prison fermes, la semaine dernière. Une première depuis de nombreuses années mais qui entre dans une succession de faits qui font craindre le pire pour la presse locale. Mais faut-il vraiment s’inquiéter pour les médias qui constituent, avec les partis et mouvements d’opposition, le socle de la résistance dans un pays longtemps autoritaire ?
Au Togo, faut-il vraiment s’inquiéter pour les médias qui constituent, avec les partis et mouvements d’opposition, le socle de la résistance dans un pays longtemps autoritaire ?
Nouvelle édition de l’émission “La Voix du Peuple” sur la radio Avuleté. Le confrère Sylvain Amos et ses invités de marque se prononcent sur la condamnation des deux journalistes Ferdinand Ayité et Isidore Kouwonou par la justice togolaise.
«…Cette condamnation inique qui n’est que l’épilogue d’un long acharnement sur des journalistes indépendants qui ne font que leur travail d’enquête sur les dessous de la gouvernance scandaleuse du pays, indique aussi le niveau de cruauté de ceux qui, malgré le mystérieux décès, presqu’un an jour pour jour, de l’une de leurs proies, en l’occurrence le regretté Joël EGAH, Directeur de publication du journal FRATERNITE, n’ont pas eu la décence de mettre fin à leur chasse contre des journalistes, Ferdinand, Isidore et Joël…» (La Rédaction de L´Alternative, 16 mars 2023)
Leur mise en examen pour outrage à l’autorité en décembre 2021 leur vaut une condamnation à 3 ans de prison ferme. Un mandat d’arrêt international a été lancé contre les deux hommes, qui ne sont pas au Togo.
Le jugement rendu le 15 Mars dernier dans l’affaire dite « des deux ministres du gouvernement » contre Ferdinand AYITE, Isidore KOUWONOU et feu Joël EGAH a mis à jour la volonté manifeste de museler la presse togolaise à travers une pénalisation de faits liés à l’exercice du métier de journaliste. Depuis, fusent de partout des condamnations de cette décision judiciaire.
« Ils auraient dû manger l’argent de la CAN ou de la route Lomé Anfoin. Ils seraient libres en ce moment ». C’est la vanne lancée par le député Gerry Taama, pour critiquer la lourde sentence prononcée par la justice togolaise contre les deux journalistes, Ferdinand Ayité et Isidore Kouwonou, dans l’affaire qui les oppose aux deux « ministres-pasteurs » du gouvernement togolais.
Un mandat d’arrêt international a été émis contre deux journalistes condamnés par contumace au Togo pour “outrage à l’autorité”. Reporters sans frontières (RSF) dénonce une décision arbitraire et demande que ce mandat international ne soit pas exécuté.
A l’instar de plusieurs partis politiques du Togo, sept (07) organisations de presse du Togo réagissent sur la lourde condamnation à des peines de prison de leurs confrères Ferdinand AYITE et Isidore KOUWONOU. C’est à travers ce communiqué portant une date visiblement manuscrite.
Le mouvement Lumière pour un Développement dans la Paix (LDP) s’insurge contre les lourdes peines infligées à Ferdinand Ayité et Isidore Kouwonou, deux responsables du journal l’Alternative. Dans un communiqué rendu public vendredi, l’organisation exige l’abandon des poursuites contre les journalistes dans le dossier qui les oppose au ministère public et interpelle le chef de l’Etat togolais.
Dans un communiqué de presse rendu public ce 17 Mars 2023, Amnesty International demande une annulation pure et simple des lourdes condamnations prononcées par la justice togolaise contre les journalistes Ferdinand AYITE et Isidore KOUWONOU. En voici le contenu
Dans une déclaration, la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) s’est prononcée sur les condamnations des journalistes Isidore Kouwonou et Ferdinand Ayité. Consternée, elle dénonce une instrumentalisation de la justice pour museler la presse togolaise critique. La DMK demande la fin du harcèlement judiciaire contre les deux journalistes et l’annulation de ce jugement inique contre ces derniers. Lecture.
Les autorités togolaises doivent annuler la condamnation prononcée le 15 mars 2023 contre les journalistes Ferdinand Ayité et Isidore Kouwonou, a déclaré aujourd’hui Amnesty International.
Un nouveau coup de massue sur la tête de la presse togolaise. C’est ce qu’il se passe avec la condamnation de deux journalistes à la prison ferme ce 15 mars 2023. Ferdinand Ayité, directeur de publication et Isidore Kouwonou, rédacteur en chef, deux dirigeants du bihebdomadaire « L’Alternative », sont frappés par une décision de justice leur ouvrant les portes de la prison pour 36 mois.
Au lendemain d’un procès ultra rapide ayant abouti à une condamnation de son Directeur de publication Ferdinand AYITE et de son Rédacteur en Chef Isidore KOUWONOU à 36 mois d’emprisonnement ferme, la rédaction du bihebdomadaire « L’Alternative » a apporté des précisions sur les non-dits et les clair-obscurs de cette affaire qui émeut le monde des médias.
Togo- Le journal « L’ALTERNATIVE trouvera une alternative pour continuer par informer ses lecteurs »
Le procès des confrères Isidore Kouwonou et Ferdinand Ayité s’est tenu ce mercredi 15 mars au Palais de justice de Lomé. Un mandat d’arrêt a été lancé contres les deux journalistes.
Les journalistes Ferdinand Ayité et Isidore Kouwonou sont jugés par le Tribunal de première instance ce mercredi 15 mars 2023 dans l’affaire qui les oppose au ministère public.
Nouvelle édition de l’émission “La Voix du Peuple” du 11 mars 2023. Les invités du confrère Sylvain Amos se prononcent sur la situation du Directeur de Publication Ferdinand Ayité.
Dans un entretien accordé aux confrères de TogoInfos, Me Raphael Kpande-Adzare s’est prononcé sur les raisons qui auraient pu pousser le patron du bihebdomadaire togolais L’Alternative à « se mettre à l’abri » évitant de se présenter à la convocation du Service Central de Recherches et d’Investigations Criminelles (SCRIC) du Togo.
Une fois encore, un Togolais des plus audacieux, des plus tenaces dans la quête de justice sociale, Ferdinand Ayité, vient d’être contraint à l’exil. Mais les Togolais qui connaissent le régime qui les régente ne sont nullement pas surpris. Une fois encore, un Togolais des plus audacieux, des plus tenaces dans la quête de justice sociale, Ferdinand Ayité, vient d’être contraint à l’exil. Mais les Togolais qui connaissent le régime qui les régente ne sont nullement pas surpris.
Dans un communiqué, le Patronat de la Presse Togolaise (PPT) réagi au harcèlement judiciaire dont sont victimes les confrères Ferdinand Ayité et Isidore Kouwonou. Le PPT interpelle le ministre en charge de la Protection civile à situer l’opinion sur le cas de Ferdinand Ayité, porté disparu depuis quelques jours. Il l’invite à assurer sa sécurité et son intégrité physique.
Le journal d’investigation, d’information et d’analyse « L’Alternative » ne sera plus disponible dans les Kiosques pendant les prochains jours. Le bihebdomadaire suspend provisoirement sa parution.
La Dynamique Monseigneur Kpodzro (DMK), dit dans un communiqué, être « très préoccupée par cette nouvelle de la persécution du journaliste Ferdinand AYITE ».
Le samedi 04 mars, le journaliste d’investigation et patron de L’Alternative quitte Lomé pour se rendre à Cotonou pour “une raison personnelle” selon son témoignage que nous avons recueilli.
Porté disparu depuis dimanche, le confrère Ferdinand Ayité se porte bien, à en croire son avocat, Me Elom Kpadé.
Le procès des journalistes Ferdinand Ayité et Isidore Kouwonou (et Joël Egah, lui, décédé mais également convoqué) est finalement reporté au 15 mars prochain sur demande de l’avocat des accusés.
Les autorités togolaises devraient abandonner toutes les poursuites judiciaires contre les journalistes Ferdinand Ayité et Isidore Kouwonou et leur permettre de travailler sans être harcelés ou menacés d’arrestation, a déclaré lundi le Comité pour la protection des journalistes.
Accra, March 6, 2023–Togolese authorities should drop all legal proceedings against journalists Ferdinand Ayité and Isidore Kouwonou and allow them to work free from harassment or threat of arrest, the Committee to Protect Journalists said Monday.
Le rapport de la Cour de la Compte sur la gestion scandaleuse des fonds de riposte et de solidarité Covid-19 suscite des commentaires. Le sujet est au menu de l’émission « L’Autre Journal » dans son N°139 (première partie).
La presse togolaise est en danger. C’est d’ailleurs une lapalissade. Pas besoin d’être un observateur avisé pour s’en rendre compte.