Togo-Covid-19 : 1402 patients sous traitement
Deux-cent-soixante-dix-neuf (279) des 1238 personnes testées sont positives portant le nombre total de cas positifs à 27684
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Deux-cent-soixante-dix-neuf (279) des 1238 personnes testées sont positives portant le nombre total de cas positifs à 27684
Le leader du Parti national panafricain (PNP), Tikpi Atchadam, s’est prononcé sur la l’actualité sociopolitique qui prévaut au Togo et l’acteur politique n’y est pas allé du dos de la cuillère pour taguer, cette hypocrisie collective du peuple togolais à l’entame de chaque nouvelle année.
Deux-cent-vingt-cinq (225) des 1090 personnes testées sont positives portant le nombre total de cas positifs à 31390.
L’Archevêque de Lomé, Mgr Nicodème BARRIGAH-BENISSAN, s’est adressé aux fidèles chrétiens à l’occasion de la Journée Mondiale de la Paix, célébrée chaque 1er janvier. L’ administrateur Apostolique d’Atakpamé dans son message, s’est appesanti sur le « coronavirus sociopolitique » qui ronge le Togo tout en invitant ses concitoyens à retrouver le vrai sens du dialogue.
Quatre-cent-quatre-vingt-douze (492) des 1809 personnes testées sont positives portant le nombre total de cas positifs à 31165.
A voir et entendre les réactions des uns et des autres après la libération de Ferdinand Ayité et Joël Egah, on comprend aisément pourquoi notre patrie s’enlise.
Les phraséologies –pour emprunter les propres termes du ministre de la Justice Pius Agbetomey- ne doivent plus détourner les regards de l’essentiel au sein du corps judiciaire. Les litiges fonciers ont toujours existé et existeront toujours.
“Je crains qu’ils soient poussés dans les bras des usuriers pour boucler les fins de mois. Je ne pense pas que ce soit l’objectif que vous souhaitez atteindre.”
La CPP prône l’unicité d’action de l’opposition. C’est le vœu formulé par la Convergence patriotique panafricaine (CPP) à l’aurore de la nouvelle année. En tant que parti politique de l’opposition, la CPP dans son message de nouvel an, a invité ses pairs à l’unicité d’action. Car selon la formation politique de Adrien Beleki AKOUETE, “la gouvernance partagée a la vertu d’être inclusive et de créer une participation constructive”.
Sep-cent-quarante-sept (747) des 2248 personnes testées sont positives portant le nombre total de cas positifs à 30163.
Jour après jour, le pouvoir togolais se radicalise dans un terrorisme d’Etat qui sème la terreur et la désolation chez les populations, en emprisonnant à tout-va, en déshumanisant les Togolais !
Mercredi, le le ministre de la Sécurité et de la Protection Civile, Général Damehame Yark a communiqué l’interpellation de 49 personnes et la saisie divers objets après une descente des forces de défense et de sécurité dans le quartier Atiégou.
Le Togo fait de nouveau face à la flambée des cas de contamination du Coronavirus avec l’apparition du variant OMICRON . Une situation qui inquiète les autorités sanitaires du pays.
Sincèrement, je croyais que dans l’esprit de Noël, on allait libérer nos deux amis journalistes, surtout que l’outrage est supposé être commis contre des gens de Dieu.Finalement cette affaire dépasse l’entendement.
Comédie, Hypocrisie, Mesquinerie du régime Faure : La médiation togolaise impliquée dans le maintien de la paix au Tchad, Mali, Guinée…Pendant ce temps, la liberté d’expression à l’agonie au Togo
Lisons ensemble la phrase suivante que je viens de repérer dans les colonnes du journal français Le Monde qui parle ainsi du Togo: “Dans ce pays de l’Afrique de l’ouest, les organes de presse sont régulièrement suspendus par la haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) à la suite des critiques contre le pouvoir”.
Quatre-cent-vingt-un (421) des 1531 personnes testées sont positives portant le nombre total de cas positifs à 28925.
En avril 2012, on ne sait quelle mouche-tsétsé l’avait piqué, « Faurevi » s’était permis d’ouvrir la boîte de Pandore, affirmant qu’une minorité a fait main basse sur les richesses du pays.
Le Collectif International pour la Libération des Prisonniers Politiques au Togo (CILPPT) vient de rendre publique, la liste des détenus et prisonniers politiques au Togo. Ils sont plus d’une centaine sur la liste, ces personnes détenues arbitrairement, jugés et condamnés dans la controverse, placées abusivement sous contrôle judiciaire, morts en détention.
Desmond Tutu, « un nom à jamais gravé dans l’histoire ». Ce sont là, les mots du chef de l’Etat béninois suite au décès de l’archevêque Émérite anglican sud-africain.
Au-delà de nos responsabilités professionnelles et ce que nous représentons, nous sommes des humains. Nous partageons des souffrances et des amitiés. Et parfois nos cœurs ont besoin d’exprimer leurs ressentis. Mon silence a été professionnel.
Les coalitions des forces démocratiques de changement (certaines formations politiques de l’opposition et organisations de défense des droits humains) ont marqué de leurs empreintes la lutte populaire pour l’alternance politique au Togo.
« Ne constituent pas une cause d’exonération le fait d’avoir obéi aux ordres d’un supérieur ou d’une autorité publique en commettant les actes de torture et les autres mauvais traitements, ni le fait que ceux-ci aient été justifiés par des circonstances exceptionnelles, notamment un état de guerre, une menace de guerre, l’instabilité politique intérieure ou toute autre situation exceptionnelle ». Article 206, Loi N° 2015-10 du 24 novembre 2015 portant nouveau code pénal togolais.
« J’ai beau chercher, je ne trouve aucun argument qui justifierait que je me sente irremplaçable ou providentiel. Nous sommes 22 millions de Nigériens, pourquoi aurais-je l’arrogance de croire que nul ne peut me remplacer » (Mahamadou Issoufou)
Plusieurs cas d’incendies ont été enregistrés par les services de sécurité et de secours dans le pays. Une situation qui interpelle, le ministre togolais en charge de la Sécurité et de la Protection civile, le Gal Yark Damehame.
Le Togo n’est pas invité au sommet pour la démocratie organisé par le président américain, car plus personne ne s’y trompe. Tout le monde sait désormais que c’est une dictature qui sévit au Togo.
L’information avait été relayée sur une chaîne radio, bien avant même que le magistrat ne soit informé par courrier comme quoi une procédure disciplinaire était enclenchée à son encontre.
Trois-cent-huit (308) des 1461 personnes testées sont positives portant le nombre total de cas positifs à 27992.
L’Association Togolaise des Consommateurs (ATC), de la Ligue des consommateurs du Togo (LCT) et le Mouvement Martin Luther King (MMLK) se réjouissent de cette initiative de l’autorité qui a permis de démontrer scientifiquement et avec des données à l’appui, la non-conformité des services mobiles dans notre pays.
De père en fils[1], ce depuis 1967, le trait commun du système Gnassingbé, outre le fait de bénéficier de l’appui de la France politique et d’un patronat françafricain, repose sur la gouvernance de l’arbitraire, l’intimidation et le silence imposé aux voix de contestation du système. Les résultats se déclinent en nombre de morts, de blessés, de prisonniers, politiques ou pas, avec ou sans jugement, et surtout un renforcement nauséabond des privations des libertés et des droits des citoyens
C’est l’une des dispositions anti-Covid-19, annoncées pour cette fin d’année. Ceci, dans le cadre du renforcement de la riposte contre la pandémie en cette période festive.
Les sieurs Kodzo Adedze et Pius Agbetomey, avant d’être Ministres, sont Pasteurs. Ce qui suppose qu’ils sont familiers avec ce verset de Colossiens qui prêche le Pardon: “Supportez-vous les uns les autres, et, si l’un a sujet de se plaindre de l’autre, pardonnez-vous réciproquement. De même que Christ vous a pardonné, pardonnez-vous aussi” Colossiens 3:13.
Sanctions administratives, poursuites judiciaires, surveillance et maintenant la prison pour son directeur de publication… Ces dernières années, le bi-hebdomadaire togolais L’Alternative est la cible récurrente des autorités.
En cette période de fin d’année, l’Association togolaise des consommateurs (ATC), tire la sonnette d’alarme sur les produits avariés dans les marchés et supermarchés du pays.
La libération de Fovi Katakou, jeune activiste togolais est une bonne nouvelle. Il est devenu par la force de son engagement, le symbole du refus de la jeunesse à se soumettre à la dictature.
Rendant public un communiqué en date du 21 décembre 2021, la Dynamique Mgr Kpodzro dit prendre acte de la libération sous contrôle judiciaire de l’activiste Fovi KATAKOU. Elle félicite les populations togolaises qui ont contribué à son élargissement et exige encore une fois, la libération sans condition : des journalistes Ferdinand Ayité, Joël Egah ; des activistes dont Jean Paul Omoulou ; des acteurs politiques, en l’occurrence Paul Missiagbeto, Djimon Oré.
La ligue des consommateurs du Togo se dit préoccupée par les manquements dans le secteur aérien. Le cas des passagers nigérians, menottés à l’aéroport International Gnassingbé Eyadema pour avoir revendiqué un vol à l’heure où ils devraient le prendre pour la destination souscrite, a interpellé encore une fois l’organisation d’Emmanuel Sogadji. La ligue déplorant déplore le traitement qui a été réservé aux passagers concernés, elle invite les passagers concernés à explorer les voies d’une plainte contre les auteurs dans leur pays.
Plaignant, non plaignant puis plaignant. Le rôle du ministre Kodjo Adédzé dans l’arrestation et la détention de Ferdinand Ayité et Joël Egah demeure toujours flou. La sortie du procureur de la République en rajoute à la cacophonie, signe d’une affaire montée de toutes pièces pour nuire à des voix dissidentes.
Plus de 53% des Togolais vivent en dessous du seuil de pauvreté, selon le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). Ce taux s’élève à 76% dans la préfecture de l’Oti Sud. C’est considérable !
L’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) remet en cause, la qualité de service sur les réseaux de Togo Cellulaire et Moov Africa Togo.
Soixante-quatre (64) des 856 personnes testées sont positives portant le nombre total de cas positifs à 26742. Ces 64 personnes ont les âges compris entre 2 et 61 ans.
Le 11 décembre dernier, le Premier Ministre et le Ministre du Développement à la Base, de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes ont rencontré les jeunes du Grand Lomé à Amadahomé. Lors de cette rencontre dite « d’échange et d’information avec des jeunes », les jeunes ont eu droit à des discours mielleux sur les différents mécanismes mis en place par le gouvernement à leur profit.
Déclaration conjointe sur l’escalade de la répression contre les journalistes et les activistes de la société civile au Togo.
Le Togo est finalement devenu une tristesse infinie. Et un cauchemar sans fin pour une très grande partie de ses filles et fils.
Il n’y a pas de démocratie sans un parlement qui joue pleinement son rôle. En tant qu’institution chargée de contrôler l’action du gouvernement, il lui appartient de veiller à ce que les gouvernements rendent des comptes aux peuples.
La régression de la liberté de presse constatée au Togo, inquiète les professionnels des médias. Réunis à Kpalimé les 16 et 17 décembre 2021, dans le cadre du projet de la promotion des libertés d’expression et de manifestations en vue de l’instauration d’une véritable base démocratique au Togo’’, les journalistes participants ont sorti une déclaration. Ils y dénoncent les entraves à la liberté de presse et demandent la mise en liberté sans conditions des journalistes emprisonnés, Ferdinand AYITE et Joël EGAH.
Quarante-six (46) des 1123 personnes testées sont positives portant le nombre total de cas positifs à 26512.
Lorsqu’on se sent concerné par les enjeux de démocratie, de droits humains, de justice et des libertés, et qu’on décide de s’engager pour ces causes, le combat qu’on mène doit être le même partout. On ne peut pas soutenir la démocratie dans son pays et encourager la dictature ailleurs. Nous le déplorons, lorsque quelqu’un se comporte ainsi au détriment de notre pays.
Le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, Général Yark Damehame, s’est prononcé sur l’accident de circulation survenu mardi dans la préfecture de Tandjouaré, route Warkambou-Dapaong. Un drame qui a occasionné 12 décès et plusieurs blessés.
Le parlementaire Gerry Taama, demande la mise en liberté de Fovi Katakou. Intervenant sur l’arrestation de l’activiste, enfermé à la prison civile de Lomé, le président du Nouvelle Engagement Togolais a indiqué que ce dernier soit élargi “non pas à cause de son handicap” car dit-il “c’est un homme qui n’a jamais considéré son handicap physique comme un handicap à l’action”. Une demande formulée par l’opposant dans un nouveau post à travers lequel, il réclame également la libération des journalistes Ayité et Egah.
Si des enquêtes sont annoncées, c’est pour ne jamais finir. Rien ne se fait pour inquiéter les auteurs, co-auteurs et commanditaires de ces actes répréhensibles.
La recrudescence des cas d’accidents sur les routes togolaises inquiète la Ligue des consommateurs du Togo (LCT). Mardi, l’organisation a manifesté cette inquiétude à travers un plaidoyer.
C’était l’émoi au quartier Gbeyendzi (canton de Bè, Golfe 1) ce mercredi 15 décembre 2021. Les habitants ont été témoins d’un acte macabre d’un homme envers sa femme.
Après Jean-Paul Oumolou, après les journalistes Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou, voici Fovi Katakou qui vient d’être ravi par le pouvoir togolais. Le régime de Faure Gnassingbé continue sans surprise et sans aucune entrave son entreprise de musellement du peuple. Les figures razziées ont toutes en commun d’avoir de la visibilité sur les médias modernes et les réseaux sociaux difficilement contrôlables par l’oligarchie maffieuse qui a fait main basse sur le Togo.
La Conférence des Évêques du Togo suit de près la situation sociopolitique qui prévaut au Togo. Dans un nouveau communiqué, l’organisation se dit préoccupée par cette série d’arrestations de personnes observée dans le pays. Car selon les Évêques, elle crée dans “les familles et les communautés, la désolation et des rancœurs préjudiciables à la paix et à la cohésion sociale”. En quête permanente de la paix des cœurs, la Conférence plaide pour la libération des personnes interpellées.
Le Conseil des ministres a décidé ce jour que l’établissement de l’acte de naissance sera gratuit à compter de janvier 2022. C’est là une décision importante qui va dans le sens de la lutte que nous menons pour que chaque citoyen dispose gratuitement d’une carte nationale d’identité.
Demander une mise en liberté de Ferdinand Ayité et de Joël Egah répond pour moi à deux convictions personnelles. La première est que Ferdinand Ayité, comme d’autres journalistes, constitue un des piliers qui soutiennent notre démocratie vacillante. On peut aimer le directeur du journal l’Alternative ou le détester, mais on doit reconnaitre que son opiniâtreté et son enthousiasme font de lui une des sentinelles de la liberté de presse au Togo. Son engagement est total, et sa vigilance l’emporte souvent sur ses excès, qui existent aussi, comme chez nous tous.
Ce qui se passe aujourd’hui dans notre pays du point de vue de la persécution de tous ceux qui pensent autrement que ceux qui prétendent nous diriger, ressemble plutôt à de la panique. L’impression que tout observateur lucide pourrait avoir sur cette façon de montrer ses muscles de façon disproportionnée et désordonnée de la part du pouvoir togolais, est bien sûr le manque d’assurance au sein de l’autorité dirigeante.
Lettre ouverte à Monsieur Pius Kokouvi AGBETOMEY, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice et de la Législation.
Le Pacte Socialiste Pour le Renouveau (PSR) condamne fermement l’arrestation des journalistes Ferdinand Ayité, Directeur de publication du journal L’Alternative et de Joël Egah, Directeur de publication du journal Fraternité, placés sous mandat de dépôt pour propos mensongers. Pour la formation politique du Prof. Agrégé WOLOU Komi, cette situation traduit un “musèlement de la presse dans un contexte de violations croissantes des droits fondamentaux dans notre pays”. Aussi, dénonce-t-elle, la détention de l’activiste Fovi Katakou car selon ce parti de l’opposition, “la banalisation des détentions ternit l’image de notre pays et discrédite les institutions étatiques”. En conséquence, le PSR invite le gouvernement togolais à revenir sur le droit chemin. Un appel lancé par le Prof Wolou à travers un communiqué dont nous vous proposons lecture.