Togo-Justice : Inspection générale ou le balayeur balayé
L’information avait été relayée sur une chaîne radio, bien avant même que le magistrat ne soit informé par courrier comme quoi une procédure disciplinaire était enclenchée à son encontre.
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L’information avait été relayée sur une chaîne radio, bien avant même que le magistrat ne soit informé par courrier comme quoi une procédure disciplinaire était enclenchée à son encontre.
Le président national du Mouvement Patriotique pour la Démocratie et le Développement (MPDD) a réagi par rapport à la libération de Fovi Katakou. Agbéyomé Kodjo exige l’annulation de la procédure judiciaire enclenchée contre l’activiste.
Mardi à Lomé, le diplomate américain Eric Stromayer a procédé au lancement du projet STEM (sensibilisation à la participation des élèves filles aux matières scientifiques).
Au Togo, les médias privés qui vivent principalement de ce qu’ils produisent, n’ont plus d’interlocuteurs-partenaires dont la couverture des activités ou la pub elle-même permettrait de renflouer les caisses.
Le Togo est à l’honneur ce mardi 21 décembre 2021 à l’Expo universelle 2020 à Dubaï aux Emirats Arabes Unis. La journée nationale du Togo a été ouverte ce jour par Mme le Premier ministre, Victoire Tomégah-Dogbé, au nom du chef de l’État, Faure Essozimna Gnassingbé.
Me Raphaël Kpandé-Adzaré a réagi par rapport à la sortie du Procureur de la République Talaka Mawama, mercredi dernier sur l’affaire Ferdinand Ayité et cie. L’avocat récuse les arguments avancés par le ministre public pour justifier l’inculpation des trois confrères. Pour Me Raphaël Kpandé Adzaré, il s’agit tout simplement d’un règlement de compte. « Laissons Puis Agbétomey régler ses comptes à Ferdinand Ayité (…) et ne cherchons pas à accuser des pauvres journalistes », a-t-il écrit. Lisez plutôt !
Les jours s’égrènent et le séjour de nos confrères Ferdinand Ayité et Joël Vignon Egah interpellés et mis sous mandat de dépôt depuis le 10 décembre, se rallonge dans l’une des cellules de la Brigade de Recherche et d’Investigations (BRI) dans le cadre d’une procédure judiciaire alambiquée.
Il a fallu que le Ministre Pasteur Pius Agbetomey porte plainte contre nos confrères Ferdinand Ayité, Isidore Kouwonou et Joël Egah pour l’avoir critiqué dans une émission pour qu’on apprenne des choses sur son passé pas très joyeux.
A l’invitation de l’Emir de Dubaï, Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, Faure Gnassingbé s’est rendu ce lundi 20 décembre 2021 à Dubaï où il préside demain la Journée nationale du Togo, à l’occasion de l’Exposition universelle Dubaï 2020 aux Emirats-Arabes-Unis.
L’arrestation des journalistes Ferdinand Ayité de L’Alternative, Joël Egah de Fraternité et de l’activiste handicapé Fovi Katakou continue de susciter de la réprobation, même au-delà des frontières. Samedi 18 décembre, ce sont des organisations de la société civile qui ont fustigé ces faits et réclamé la libération de ces compatriotes. Ces organisations appellent « la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples à exhorter le Togo à se conformer à ses obligations légales en vertu des instruments internationaux et africains des droits de l’homme, tels que le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples ». Lire ci-dessous la déclaration conjointe rendue publique à cet effet.
La communauté internationale ne cesse de réaffirmer sa solidarité et sa sympathie au peuple togolais suite à l’attaque terroriste du 8 décembre 2021 dans la région de Mopti qui a coûté la vie à sept casques bleus togolais de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA).
Plaignant, non plaignant puis plaignant. Le rôle du ministre Kodjo Adédzé dans l’arrestation et la détention de Ferdinand Ayité et Joël Egah demeure toujours flou. La sortie du procureur de la République en rajoute à la cacophonie, signe d’une affaire montée de toutes pièces pour nuire à des voix dissidentes.
L’artiste-peintre togolais, Éric Wonanu, expose depuis quelques temps à Lomé ses œuvres sous le thème : « a long way from home », ou la très longue marche du peuple noir. L’exposition a été visitée ce jeudi 16 décembre 2021, par Mme le Premier ministre, Victoire Tomégah-Dogbé.
J’aimerais à l’amorce de cette tribune, rappeler quelques fondamentaux qui gouvernent la vie et l’évolution de toute société humaine. La vie en effet, se caractérise fondamentalement par une dynamique permanente se fondant sur le principe de la transmission. Dans le cas d’espèce des humains, leur société n’évolue que sur la base de ce qui se transmet d’une génération à l’autre. Ainsi tout individu ne peut se prévaloir d’une culture, d’une identité ou d’une société que sur la base de ce qu’il recueille de ces entités et qui forge sa perception de la vie, ses convictions, ses vertus et valeurs etc.
L’interpellation jeudi de Ferdinand Ayité directeur de publication du journal L’Alternative, puis vendredi de Joel Egah patron du quotidien Fraternité et de Isidore Kouwonou, rédacteur en Chef de l’Alternative, par le Service de Recherche et d’Investigation (BIR) dans le cadre d’une procédure judiciaire basée sur le code pénal en lieu et place du code de la presse, qui a ensuite été soldée par l’emprisonnement des deux premiers dans l’après-midi du vendredi surpassé, motive la rédaction de la présente tribune.
Elle fait partie des magistrats ayant trop duré à leur poste. Cumularde, elle vient de sortir une information au moment où la vie chère étend ses tentacules dans tous les secteurs sociaux du Togo. Dans un ciel sans nuage, dame Kobauyah Kpatcha-Tchamdja vient de décréter la fin imminente de la validité du premier format du certificat de nationalité togolaise. De quoi remettre en cause l’apparente quiétude qui règne dans le pays.
Nouvelle édition de l’émission “La Voix du Peuple” du 14 décembre sur la radio “Avulété”. Au menu du débat, l’inculpation des journalistes Ferdinand Ayité, Joel Egah et Isidore Kouwonou.
Après la sortie du Procureur de la République Talaka Mawama, mercredi nuit sur la TVT, l’avocat des confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou était ce jeudi matin sur les antennes de Taxi FM, dans l’émission Taxi Média Show. Me Elom Kpade s’est prononcé sur le dossier et a surtout relevé que la poursuite contre les journalistes n’est fondée sur aucune base légale. A l’en croire, tout tourne autour de l’appellation de YouTube comme réseau social alors que ni le code de la presse, ni même le code pénal sur la base duquel on poursuit les confrères, n’a défini ce qui est appelé réseau social. Voici la transcription de son intervention.
La Ligue Togolaise des Droits de l’Homme (LTDH) en collaboration avec National Endowoment for Democracy (NED) organise ce jeudi 16 décembre à Kpalimé, un atelier de renforcement des capacités des journalistes et professionnels des médias sur la liberté de presse et de manifestation au Togo. Les travaux ont été ouverts ce matin par Me Célestin Agbogan, Président de la LTDH.
Les populations doivent-elles agiter la menace d’une grève pour réveiller les gouvernants ? Pendant qu’on brandit des trophées dans la lutte contre la pandémie du coronavirus au Togo, les populations se meurent dans un silence complice du gouvernement.
Idelphonse Akpaki n’est plus à présenter. Sur sa page Facebook, le journaliste s’interroge sur le crime qu’a commis Fovi Katakou, ce jeune activiste en situation de handicape. Le confrère demande aux autorités pourquoi les vrais assassins sont laissés en liberté tandis que les innocents sont jetés en prison ? Lecture.
Voici en partie, ce que Éric Zemmour, lui aussi journaliste et homme politique en France a osé dire du président d’une des Républiques les plus puissantes et les plus inspirantes pour les pays francophones d’Afrique :
Après les confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah, c’est au tour du confrère Isidore Kouwonou d’être auditionné par le doyen des juges d’instruction du tribunal de Lomé.
C’est presque devenu une tradition au ministère des Affaires étrangères, de l’Intégration régionale et des Togolais de l’extérieur. A chaque fin d’année, les agents qui ont fait preuve d’abnégation et d’engagement dans l’exercice de leur fonction au sein de ce ministère reçoivent un « Prix de l’excellence ». Cette année encore, la tradition a été respectée.
Les suites de l’interpellation et de la détention vendredi dernier, des journalistes Ferdinand Ayité et Joël Egah, respectivement directeurs de publication du journal ‘L’Alternative et Fraternité, ne sont ni reluisantes ni glorieuses pour notre pays le Togo. Le monde des médias à l’international, des organisations les plus crédibles de défense des droits humains, des acteurs politiques au plan national se sont dressés comme un seul homme contre cet acte maladroit qui participe à nouveau sombrer davantage, l’image de ce petit pays de l’Afrique de l’Ouest.
Dans un communiqué rendu public lundi, le Mouvement patriotique du 5 Octobre (MO5) a réagi par rapport à l’inculpation et la détention des journalistes Ferdinand Ayité, Joël Egah. L’organistion y a également évoqué le cas de l’activiste Fovi Katakou et exige par ailleurs, leur libération immédiate.
Les réactions fusent de partout suite à l’inculpation des trois confrères : Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou. Sur son compte Twitter, Me François Boko monte au créneau. L’ancien ministre dénonce une instrumentalisation de la justice togolaise à des fins de règlement de comptes.
Le conseil des ministres s’est réuni ce mardi 14 décembre 2021 sous la présidence du chef de l’Etat Faure Essozimna GNASSINGBE. Le conseil a examiné trois (03) projets de décret et écouté une (01) communication.
L’audition des confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah ce mardi au Tribunal de Lomé n’a rien donné. Les deux confrères sont toujours sous mandat de dépôt.
Dans un communiqué, le Syndicat National des Journalistes Indépendants du Togo (SYNJIT) dénonce l’acharnement de la justice togolaise contre les confrères journalistes Ferdinand Ayité et Joël Egah. Il plaide pour leur libération et la levée du contrôle judiciaire à l’encontre d’Isidore Kouwonou. Lecture.
Lundi, le ministre en charge de l’Administration territoriale, Payadowa Boukpessi s’est prononcé sur le litige territorial qui oppose les Maires Aimé Djikounou du Golfe 7 et Kossi Aboka du Golfe 5. C’était à l’occasion d’une réunion assistée par les deux protagonistes.
Le Ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration régionale et des Togolais de l’extérieur, S.E. Prof. Robert Dussey, a présidé, ce lundi 13 décembre 2021, la troisième réunion virtuelle du Haut Comité de la « Décennie des racines africaines et de la diaspora africaine ».
C’est désormais établi, Ferdinand Ayité directeur de publication du journal L’Alternative et Joel Egah, patron du quotidien Fraternité sont sous le coup d’un mandat de dépôt pendant que Isidore Kouwonou, rédacteur en Chef de l’Alternative, est sous contrôle judiciaire. Les deux premiers ont été conduits mardi pour être écoutés au fond du dossier initié sur la base d’une procédure judiciaire en lien avec le code pénal, en lieu et place du code de la presse. Ceci fait la suite à une mystérieuse plainte d’au moins un membre du gouvernement en l’occurrence, le ministre de la justice, garde des sceaux, patron du parquet. Ce dernier aurait piqué une vive colère contre les confrères qui, au cours d’une émission de la chaîne numérique l’Autre Journal, ont tenu des propos que le plaignant considère comme outrageants et diffamatoires à son encontre.
Les journalistes Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou sont actuellement devant le juge d’instruction. Tous les accès aux Tribunal de Lomé sont bloqués par les forces de l’ordre et de sécurité.
Les confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou seront de nouveau au tribunal ce mardi. Ils seront auditionnés ce matin par le juge d’instruction au fond du dossier dans lequel ils sont inculpés.
Dans un communiqué, le parti les Forces Démocratiques pour la République (FDR) s’est prononcé sur les mandats de dépôt décernés contre Ferdinand Ayité et Joël Egah et la mise sous contrôle judiciaire de Isidore Kouwonou. La formation politique de Me Apévon Dodji dénonce un acharnement contre ces journalistes et une instrumentalisation de la justice togolaise par le pouvoir en place. Lecture.
Le 8 décembre dernier, sept (7) soldats togolais de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) ont péri dans une attaque à Bandiagara au Centre du Mali. Dans un communiqué, l’Alliance Jeunesse et Développement (AJD) a exprimé son indignation. Elle a condamné avec la plus grande fermeté cette attaque qu’elle qualifie de barbarie. Bonne lecture!
Dans un communiqué, la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) monte au créneau et dénonce l’acharnement contre les journalistes Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou et l’activiste Fovi Katakou. Elle exige leur libération. Lecture.
Le forum de Dakar qui a connu une mobilisation record des acteurs du monde politique, diplomatique et des partenaires sociaux autour du thème des enjeux de stabilité et de l’émergence en Afrique dans le contexte post-covid, a pris fin mardi dernier.
Depuis le mois de juillet 2021, les responsables de l’Association des Victimes de la Torture au Togo (ASVITTO) ont initié une formation à l’endroit des acteurs communautaires sur les principes et valeurs des droits humains. A l’issue de cette formation qui a fait objet d’une tournée sur toute l’étendue du territoire, les responsables de l’ASVITTO formulent des recommandations aux autorités du pays. Bonne lecture.
Il y a deux ans, survenait la pandémie du coronavirus dans le monde. Dans un cafouillage à la mesure de la panique, les autorités togolaises ont depuis, pris des mesures pour, dit-on, endiguer le mal. Des mesures de privation qui se poursuivent. Mais en prenant du recul, les statistiques appellent-elles à autant de restrictions ? Le Togo est-il le pays le plus menacé ? Le coronavirus constitue-t-il la plus grave menace pour les populations ?
Le confrère Maxime Domegni n’est plus à présenter. Sur sa page Facebook, l’ancien Rédacteur en chef du journal “L’Alternative” réagit par rapport à la décision du Procureur de la République au sujet de ses amis et collègues: Ferdinand Ayité, Joel Egah et Isidore Kouwonou. Lisez plutôt!
Le journaliste Abdoul Akondo demande la libération des confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou.
L’affaire prend une autre tournure. Les confrères Ferdinand Ayité, Joel Egah et Isidore Kouwonou sont actuellement chez le Procureur de la République pour être écoutés.
Selon lui, ces montages permettent aux établissements financiers de diversifier leurs sources de financement, d’alléger leurs obligations réglementaires et leur bilan pour, in fine, prêter plus aux entreprises. Ils offrent également une diversité du coût rendement risque à même de répondre à différents profils d’investisseurs.
Ferdinand Ayité n’est pas le seul journaliste convoqué par la Brigade de Recherches et d’investigations (BRI). Les confrères Joel Egah et Isidore Kouwonou sont aussi convoqués.
Notre confrère et ami, Ferdinand Ayité a été interpellé jeudi par la brigade de recherche et d’investigation (BIR), sur plainte semble-t-il, de certaines personnes haut perchées de l’appareil directionnel de notre pays. Son binôme, Joël Egah avec qui il a co-animé l’émission incriminée, serait lui- aussi convoqué pour aujourd’hui vendredi dans le même bureau où le premier a été gardé la veille.
Ferdinand Ayité, Directeur de publication du journal “L’Alternative” est actuellement dans les locaux de la Brigade de Recherches et d’investigations (BRI) à Lomé.
Alors que des pays envisagent d’introduire l’obligation vaccinale dans le cadre de la lutte contre le nouveau coronavirus, les autorités doivent s’assurer que telles mesures respectent les droits de l’homme, a mis en garde mercredi Michelle Bachelet, la Cheffe des droits de l’homme de l’ONU, soulignant que la vaccination forcée n’était jamais acceptable.
Ce jeudi, la Chambre administrative de la Cour Suprême a annulé la décision de Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) relative à la suspension pour deux mois du journal “La Symphonie”.
En conférence de presse mercredi à Lomé, les responsables du Front Citoyen Togo Debout ont réagi par rapport à la situation sociopolitique actuelle du pays. Ils ont décrié le système judiciaire togolais, aujourd’hui devenu un véritable cancer pour les libertés individuelles et collectives. Lisez plutôt!
La campagne vaccinale contre la covid-19 est depuis entrée dans sa phase active au Togo. Le gouvernement compte utiliser toutes les stratégies possibles pour « obliger » la grande majorité des Togolais à se faire vacciner.
Le conseil des ministres s’est réuni ce mercredi 08 décembre 2021 sous la présidence du Chef de l’Etat Faure Essozimna Gnassingbé. Le conseil a examiné un (01) avant-projet de loi, deux (02) projets de décret et écouté une (01) communication.
Pendant longtemps, le constat général était qu’au sein de l’administration togolaise, la part léonine était réservée à une certaine région du Togo. On pensait que cette habitude était révolue et qu’une chance égale serait offerte à tout candidat qui ne devrait compter que sur ses connaissances intellectuelles. Mais que nenni !
Kéliba Amadou Kassimou est le septième détenu mort en détention dans l’affaire Tigre Révolution. Ce chiffre inquiétant n’est que la révélation de la bestialité de la politique sous le régime RPT/UNIR. Ce drame confirme également les allégations de tortures soutenues par les détenus, mais démontre les mauvaises conditions de détention.
C’est tout le Togo qui pleure le décès de l’artiste de la chanson Monia Tchangaï. Sur sa page Facebook, le député Gerry Taama lui rend un vibrant hommage. Le politique profite de l’occasion pour reposer le débat sur la situation des artistes originaires du Nord.
L’artiste togolaise de la chanson, Monia Tchangaï a définitivement quitté la scène. Elle est décédée ce mardi 07 décembre 2021 suite à une longue maladie.
Au Togo, les chiffres des grossesses en milieu scolaire sont constamment en hausse depuis quelques années. Parallèlement, les agressions sexuelles dans les écoles se multiplient. Devant ces faits graves qui jettent du discrédit sur la politique de promotion de la femme tambourinée par le gouvernement, la gent féminine au sein de l’exécutif et les femmes leaders d’opinion et autres patronnes d’Ong sont silencieuses.
Dans une de ses chroniques, Bruno Haden, Consultant en surveillance, documentation et rapportage des violations des droits de l’homme, donne son avis sur la liberté d’association au Togo. Lisez plutôt !
Ancien ministre de l’Intérieur dans le gouvernement de Transition de Joseph Kokou Koffigoh, Kokouvi Masseme vit en exil depuis 1991. En marge de la conférence de presse organisée par la collectivité Massémé le 27 novembre dernier sur le litige foncier à Akato Avoemé Massemekope, il a bien accepté parler de sa situation personnelle, de ses tribulations…Exil, tractations vaines de retour au pays, regrets sur la politique togolaise, décès et exil des jeunes togolais à cause de la lutte démocratique, envies de revenir au bercail, chagrins liés au litige foncier, état de non-voyant, reconversion en agriculture…Il a tout dit. Ci-dessous ses propos.