Sénégal-Un maître coranique condamné pour homosexualité
Une sentence prononcée par le tribunal des flagrants délits de Dakar, a-t-on appris ce jour de Seneweb qui parle d’une information de Rewmi Quotidien.
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Une sentence prononcée par le tribunal des flagrants délits de Dakar, a-t-on appris ce jour de Seneweb qui parle d’une information de Rewmi Quotidien.
Présentée au procureur spécial près la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), elle a été placée en détention provisoire.
L’affaire a été examinée à la session criminelle du Tribunal de première instance de deuxième classe d’Abomey-Calavi le lundi 7 mars 2022.
L’exécution d’une peine judiciaire est supposée faire payer au bénéfice de la société, une dette causée par une violation de la loi. Elle ne peut pas se transformer en un instrument de déshumanisation.
Le Tribunal de première instance d’Abomey-Calavi a condamné à 10 ans de prison la femme reconnue coupable. En effet elle a mis fin à la vie de son bébé qui avait 09 mois. Le mari, lui, a été relaxé au bénéfice du doute.
En effet l’enseignant a été convoqué suite à une plainte des parents de l’élève. C’est le deuxième enseignant à être convoqué en une semaine pour une affaire similaire.
Alors que son avocat a plaidé la clémence, le juge a condamné son client à 15 ans de réclusion criminelle « pour matricide ».
Accusé de profanation de la bible, interpellé et transféré en prison depuis mars 2021, Wodedzou Kossi Edem, à l’état-civil, a été jugé et condamné à deux (2) ans de prison dont dix-huit (18) mois fermes.
Selon 24 Heures au Bénin qui a rapporté l’information, les deux amoureux ont été conduits au commissariat. L’enseignant a été mis en prison, après présentation au procureur de la république. Le temps de son procès.
Mercredi 16 février dernier, l’opposant Jean-Paul Oumolou était devant les juges de la Chambre d’accusation de la Cour d’appel. Hier mercredi, ces juges ont statué sur sa demande de libération provisoire.
Un Conseil Consultatif Foncier est désormais dans le tuyau du gouvernement togolais. Le Conseil des ministres du lundi 07 février, format villégiature à Kara, en a parlé. Selon le ministre de la Communication et des Médias, Prof Akodah Ayewouadan, la nouvelle institution, prévue par le nouveau code foncier et domanial en vigueur depuis 2018, sera un cadre de concertations réunissant toutes les parties prenantes autour du foncier dans le pays.
Poursuivis pour incitation de mineure à la débauche, les mis en cause sont placés en détention provisoire après présentation au procureur de la république près le tribunal de première instance de première classe de Cotonou.
Le guide religieux a administré 100 coups de fouet à une jeune femme au foyer. Elle était allée confesser d’avoir entretenu des relations sexuelles « hors mariages avec un homme », a-t-on appris de Media Guinée.
Arrêté le 24 septembre 2021 dans le cadre de l’affaire des sociétés de trading, le directeur de publication du quotidien ‘’Forum de la semaine’’ doit verser une caution de dix (10) millions pour recouvrer sa liberté.
A l’issue de la session criminelle qui a eu lieu le mardi 15 février 2022, le tribunal de première instance de première classe de Parakou a condamné à 7 ans de prison l’ancien régisseur pour meurtre.
Jugé lundi, le mis en cause, dont l’identité n’a pas été révélée par la source sous évoqué, a été condamné à 5 ans d’emprisonnement ferme pour « coups mortels », lit-on.
La Direction de la nationalité du ministère de la Justice se décentralise. Elle dispose désormais des relais dans plusieurs localités locales: chefs-lieux des régions et préfectures.
Le défenseur de West Ham est dans l’œil du cyclone. Il est coupable de maltraitance sur ses chats. Les associations protectrices d’animaux montent au créneau. Le joueur demande pardon.
La victime, une petite fille de 10 ans, selon les sources de 24 Heures au Bénin.
Selon des journaux en ligne béninois dont 24 Heures au Bénin, après présentation au procureur de la république Mesmin Kpodékon et 19 de ses adeptes sont placés sous mandat de dépôt.
Présenté à la Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme (Criet), le mis en cause, a-t-on appris du journal en ligne béninois, a été déposé en prison pour viol sur mineure en attendant la suite des enquêtes.
Arrêté par la gendarmerie, l’agresseur présumé affirme être possédé par des démons. Il a été déféré au parquet de Diourbel.
Les mises en cause ont été présentées au procureur de la république près le tribunal de première instance de première classe de Parakou.
Le 12 janvier 2022, le tribunal de première instance de Lomé, vidant un délibéré dans une affaire, a rendu une décision dont le dispositif crée une situation nouvelle avec des droits nouveaux à une partie et des préjudices à une autre. Serait-on en face du faux en écritures publiques ?
Les nommés Henri Adadé et Charles Anoumou, des militants de l’opposition, arrêtés en 2018 dans le cadre des manifestations de la Coalition des 14 partis politiques (C14), jugés et condamnés, sont désormais libres après qu’ils ont purgé leurs peines.
Conduit au commissariat, le mis en cause a nié les faits alors que l’enfant a déclaré avoir été déjà sodomisé plusieurs fois. Une thèse confirmée par les analyses médicales qui relèvent une pénétration anale.
Ces personnes, sont visés pour les délits de contrebande, de fabrication, transport, entreposage, importation illégale d’armes et de munitions, d’après toujours les sources sus évoquées.
La Cour de cassation de Rome confirme la condamnation de 9 ans de prison d’un ancien attaquant du club Milan AC, de nationalité brésilienne, pour viol d’une jeune femme albanaise.
Pendant que le débiteur est gardé à la police, trois de ses frères ayant appris la nouvelle « se sont présentés au commissariat avec l’argent dû en coupure de 10 mille Francs Cfa », a-t-on appris de la source sus évoquée.
David Ndaye, plus connu sous le nom de chef Nsabanga, membre influent de la milice Kamwina Nsapu dont le terrain d’activité principale est la province du Kasaï, a été arrêté et déféré en prison pour purger sa peine.
Holali Dzoumedor, président l’Association Alu Togo (2AT), a reçu une convocation l’informant de ce qu’il doit se rendre ce lundi 17 septembre 2021 au cabinet du 5è substitut du procureur de la Cour d’appel de Lomé.
Cette mesure concerne des personnes détenues pour vol simple, escroquerie, coups et blessures, d’après toujours la même source.
Jugée lundi, l’aide infirmière, selon ses propos rapportés par Dakaractu, a déclaré que le jour-là elle « était tellement pressée » au point qu’elle a dû oublier de payer pour les brosses à dents. « J’ai appris à être plus vigilante », a-t-elle ajouté.
L’interpellation et la détention des journalistes Ferdinand Ayité, Directeur de publication de L’Alternative et de Joël Egah, patron du journal Fraternité a provoqué une avalanche de condamnation des organisations de défense des droits de l’homme et de la liberté d’expression, sur le plan national et international. Parmi ces organisations, une s’est particulièrement battue pour la libération des deux journalistes. Il s’agit de Trace Foundation, basée aux Etats-Unis, dont la chargée de Communication et des Relations publiques, Mme Gigi O’Connell a fait des lobbyings à Washington.
Accusé de plusieurs viols, le défenseur international dort depuis quelques jours dans une nouvelle prison connue pour ses violences internes alors que certains assurent qu’il y sera plus en sécurité.
Reçu le 2 janvier dernier sur les plateaux de New World TV, le ministre en charge de la Communication, Prof. Akodah Ayewouadan s’est prononcé sur l’inculpation des journalistes Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou.
Les confrères Joël Egah et Ferdinand Ayité sont sortis de la prison civile de Lomé le 31 décembre passé. Ils sont placés sous contrôle judiciaire. Sur sa page Facebook, le Directeur de Publication du journal « L’Alternative » a fait une déclaration. Ferdinand Ayité se dit très déterminé à « être du côté de la vérité ». Lisez plutôt !
Les phraséologies –pour emprunter les propres termes du ministre de la Justice Pius Agbetomey- ne doivent plus détourner les regards de l’essentiel au sein du corps judiciaire. Les litiges fonciers ont toujours existé et existeront toujours.
Ce n’est plus un secret. Hier vendredi aux environs de 16 heures, les confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah ont recouvré leur liberté. Ils ont pu passer le réveillon de la Saint-Sylvestre avec leur famille.
Ce vendredi 31 décembre, la justice a décidé de leur mise en liberté provisoire. Les directeurs des journaux « L’Alternative » et « Fraternité », en effet sont placés sous contrôle judiciaire.
Les phraséologies –pour emprunter les propres termes du ministre de la Justice Pius Agbetomey- ne doivent plus détourner les regards de l’essentiel au sein du corps judiciaire. Les litiges fonciers ont toujours existé et existeront toujours. D’ailleurs, au commencement de la justice togolaise, était la justice du foncier. Et les deux premiers responsables ont plus intérêt à s’attaquer à la racine du mal plutôt qu’à se rivaliser en déclarations qui, au final, entretiennent le flou et se concentrent sur l’ombre plutôt que sur la proie, laquelle proie porte un nom : l’impunité au sein du corps judiciaire.
Cette organisation internationale de défense de la liberté de la presse et la protection des sources des journalistes demande la libération des deux journalistes demande la libération des deux patrons de presse.
TOGO/Conditions de détentions exécrables au Togo : Les prisonniers politiques saisissent le Représentant de l’ONU au Togo
Après avoir décrypté l’actualité sociopolitique nationale dans l’émission «L’autre Journal», diffusée sur la chaîne YouTube du journal L’Alternative, il était clair que les journalistes Joël Egah et Ferdinand Ayité sont rentrés dans l’œil du cyclone de deux ministres du gouvernement Victoire Tomegah-Dogbé. Convoqués par la Brigade de Recherches et d’investigations (Bri) de la Direction Générale de la Police Nationale, puis présentés au Procureur de la République, le Directeur de Publication de votre Journal FRATERNITE et celui du bi-hebdomadaire L’ALTERNATIVE sont accusés, entre autres d’outrage aux représentants de l’autorité publique.
L’information avait été relayée sur une chaîne radio, bien avant même que le magistrat ne soit informé par courrier comme quoi une procédure disciplinaire était enclenchée à son encontre.
Emission “La Voix du Peuple” du 23 décembre 2021 sur la radio Kanal K. Invités, Me Elom Koffi Kpadé, Avocat des journalistes et Me Raphaël Kpande-Adzaré, 2ème Porte Parole du Front Citoyen Togo Debout.
L’information avait été relayée sur une chaîne radio, bien avant même que le magistrat ne soit informé par courrier comme quoi une procédure disciplinaire était enclenchée à son encontre.
L’« Article 19 », une organisation sénégalaise de défense des droits de l’homme, déplore, dans une déclaration rendue publique, l’arrestation et la détention des deux confrères togolais.
Plaignant, non plaignant puis plaignant. Le rôle du ministre Kodjo Adédzé dans l’arrestation et la détention de Ferdinand Ayité et Joël Egah demeure toujours flou. La sortie du procureur de la République en rajoute à la cacophonie, signe d’une affaire montée de toutes pièces pour nuire à des voix dissidentes.
Me Raphaël Kpandé-Adzaré a réagi par rapport à la sortie du Procureur de la République Talaka Mawama, mercredi dernier sur l’affaire Ferdinand Ayité et cie. L’avocat récuse les arguments avancés par le ministre public pour justifier l’inculpation des trois confrères. Pour Me Raphaël Kpandé Adzaré, il s’agit tout simplement d’un règlement de compte. « Laissons Puis Agbétomey régler ses comptes à Ferdinand Ayité (…) et ne cherchons pas à accuser des pauvres journalistes », a-t-il écrit. Lisez plutôt !
Les jours s’égrènent et le séjour de nos confrères Ferdinand Ayité et Joël Vignon Egah interpellés et mis sous mandat de dépôt depuis le 10 décembre, se rallonge dans l’une des cellules de la Brigade de Recherche et d’Investigations (BRI) dans le cadre d’une procédure judiciaire alambiquée.
Il a fallu que le Ministre Pasteur Pius Agbetomey porte plainte contre nos confrères Ferdinand Ayité, Isidore Kouwonou et Joël Egah pour l’avoir critiqué dans une émission pour qu’on apprenne des choses sur son passé pas très joyeux.
Après six jours passés en détention, le procureur de la République, près le Tribunal de première instance de Lomé, Talaka Mawama a décidé, ce lundi 20 décembre 2021, de la mise liberté provisoire du jeune activiste qui reste sous contrôle judiciaire.
L’arrestation des journalistes Ferdinand Ayité de L’Alternative, Joël Egah de Fraternité et de l’activiste handicapé Fovi Katakou continue de susciter de la réprobation, même au-delà des frontières. Samedi 18 décembre, ce sont des organisations de la société civile qui ont fustigé ces faits et réclamé la libération de ces compatriotes. Ces organisations appellent « la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples à exhorter le Togo à se conformer à ses obligations légales en vertu des instruments internationaux et africains des droits de l’homme, tels que le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples ». Lire ci-dessous la déclaration conjointe rendue publique à cet effet.
Plaignant, non plaignant puis plaignant. Le rôle du ministre Kodjo Adédzé dans l’arrestation et la détention de Ferdinand Ayité et Joël Egah demeure toujours flou. La sortie du procureur de la République en rajoute à la cacophonie, signe d’une affaire montée de toutes pièces pour nuire à des voix dissidentes.
L’interpellation jeudi de Ferdinand Ayité directeur de publication du journal L’Alternative, puis vendredi de Joel Egah patron du quotidien Fraternité et de Isidore Kouwonou, rédacteur en Chef de l’Alternative, par le Service de Recherche et d’Investigation (BIR) dans le cadre d’une procédure judiciaire basée sur le code pénal en lieu et place du code de la presse, qui a ensuite été soldée par l’emprisonnement des deux premiers dans l’après-midi du vendredi surpassé, motive la rédaction de la présente tribune.
Le parlementaire Gerry Taama, demande la mise en liberté de Fovi Katakou. Intervenant sur l’arrestation de l’activiste, enfermé à la prison civile de Lomé, le président du Nouvelle Engagement Togolais a indiqué que ce dernier soit élargi “non pas à cause de son handicap” car dit-il “c’est un homme qui n’a jamais considéré son handicap physique comme un handicap à l’action”. Une demande formulée par l’opposant dans un nouveau post à travers lequel, il réclame également la libération des journalistes Ayité et Egah.
Si des enquêtes sont annoncées, c’est pour ne jamais finir. Rien ne se fait pour inquiéter les auteurs, co-auteurs et commanditaires de ces actes répréhensibles.
Nouvelle édition de l’émission “La Voix du Peuple” du 14 décembre sur la radio “Avulété”. Au menu du débat, l’inculpation des journalistes Ferdinand Ayité, Joel Egah et Isidore Kouwonou.
Après la sortie du Procureur de la République Talaka Mawama, mercredi nuit sur la TVT, l’avocat des confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou était ce jeudi matin sur les antennes de Taxi FM, dans l’émission Taxi Média Show. Me Elom Kpade s’est prononcé sur le dossier et a surtout relevé que la poursuite contre les journalistes n’est fondée sur aucune base légale. A l’en croire, tout tourne autour de l’appellation de YouTube comme réseau social alors que ni le code de la presse, ni même le code pénal sur la base duquel on poursuit les confrères, n’a défini ce qui est appelé réseau social. Voici la transcription de son intervention.