Les ministres de la Justice de l’AES renforcent leur coopération après le retrait de la CPI
Les ministres de la Justice du Burkina Faso, du Mali et du Niger se sont réunis les 29 et 30…
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Le président du Ghana, John Dramani Mahama, poursuit sa mission de médiation entre la Communauté économique des États de l’Afrique…
Près d’un mois après leur retrait officiel de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CÉDÉAO), le Mali,…
Les Nations unies ont dénoncé “la détention arbitraire” de l’ex-président nigérien Mohamed Bazoum et de son épouse Hadiza, renversés par…
Le Togo et le Niger se retrouvent ce vendredi 27 décembre à Bamako pour le match retour des éliminatoires du…
Le Togo et le Niger ont fait match nul (1-1) dimanche au stade de Kégué à Lomé, lors du match…
Lundi, la montée des eaux à Niamey révèle une situation préoccupante. Le fleuve Niger est sur le point de provoquer…
Depuis juin 2024, le Niger est confronté à de violentes pluies entraînant des inondations sévères. Ces intempéries ont causé la mort d’au moins 94 personnes, dont 44 par noyade et 50 à cause d’effondrements de bâtiments.
La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a réagi avec tristesse à l’attaque djihadiste qui a coûté la vie à 23 militaires nigériens dans la région de Tillabéri
C’est officiel avec effet immédiat. Les autorités de transition nigériennes rompent leur coopération militaire avec les Etats-Unis.
Le Niger a suspendu son accord militaire avec les États-Unis “avec effet immédiat”, selon le porte-parole militaire du gouvernement, le colonel Amadou Abdramane, portant ainsi un coup aux intérêts de sécurité américains dans la région.
Dans les relations internationales, l’estime et le respect sortent plus souvent gagnants, au jeu de la franchise, que l’hypocrisie ou la tête dans le sable.
Depuis l’annonce de l’annulation des sanctions contre le Niger, les autorités béninoises qui n’attendaient qu’une telle mesure ont vite fait de rouvrir les frontières avec le Niger. Cependant du côté nigérien, les barrières restent en place jusqu’à présent.
Samedi dernier, la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) lors d’un sommet extraordinaire, a décidé de lever les sanctions à l’encontre du Niger.
Une délégation ministérielle du Niger a récemment entrepris une visite de travail au Togo, du 12 au 15 février dernier. Sous la direction du ministre des Transports et de l’Équipement, Salissou Mahaman, cette mission s’inscrit dans l’objectif commun des Chefs d’État Faure Gnassingbé et Abdourahamane Tchiani de renforcer la coopération bilatérale entre les deux nations.
Cependant, sur la toile, des internautes expriment leur perplexité quant à cette visite du ministre togolais. Certains spéculent sur des discussions économiques, tandis que d’autres avertissent les autorités nigériennes de se méfier, déclarant que le Togo est “la base arrière logistique des basses besognes de la françafrique !”
Serait-ce une première tentative médiation suite à l’annonce de la sortie de la CEDEAO du Niger ? Lundi à Niamey, une délégation conduite par le ministre togolais de l’Administration territoriale a été reçue par les autorités de transition. Il n’a pas été indiqué si cette discrète rencontre, dont le contenu des discussions n’a pas été dévoilé, est à l’initiative de la CEDEAO ou du seul état du Togo.
Ali Mahaman Lamine Zeine se rend en Russie, à la tête d’une importante délégation. Le Niger est en difficulté financière, depuis le coup d’État, et sous embargo international. Il entend diversifier ses partenaires pour mieux développer son pays.
La France a fermé son ambassade au Niger mardi, pour incapacité de fonctionner depuis près de 5 mois. Une fermeture qui sonne la fin du bras de fer entre Niamey et Paris. Dans la capitale du Niger, l’on prône désormais la réciprocité.
Le Bénin a levé la suspension des importations de marchandises transitant vers le Niger par le port de Cotonou, a annoncé mercredi le directeur général du port dans un communiqué, après cinq mois de sanctions ouest-africaines appliquées en réponse au coup d’Etat survenu dans le pays sahélien.
Après avoir interrompu les importations vers le Niger en octobre 2023, le Port autonome de Cotonou (PAC) a officiellement levé cette suspension le mercredi 27 décembre 2023, malgré les sanctions imposées par la communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Dans ce contexte délicat, le directeur commercial du port, Kristof Van Den Branden, a fourni des éclaircissements sur les motifs de cette décision.
Les autorités de transition du Niger suspendent toute forme de coopération avec l’Organisation internationale de la Francophonie, l’OIF. Annonce faite à Niamey dimanche 24 décembre dans un communiqué du CNSP (Conseil national pour la sauvegarde de la patrie).
Suite à une publication de RFI ce dimanche 24 décembre 2023 concernant la médiation en cours pour la transition au Niger, les autorités nigériennes ont vivement réagi. La junte dément l’information selon laquelle les derniers entretiens entre la délégation de la CÉDÉAO et les autorités de transition du Niger auraient fixé une transition de 15 à 18 mois.
Les discussions officielles se poursuivront en janvier 2024. Entre-temps, il n’est pas exclu que le président togolais Faure Gnassingbé, qui s’est récemment discrètement rendu à Niamey, retourne sur place pour faire avancer les négociations.
Devant le parlement béninois ce jeudi 21 Décembre 2023, Patrice Talon a évoqué la situation du Niger, notamment sa position face au coup d’Etat qui évincé Mohamed Bazoum du pouvoir. Connaissant le désaccord de son opinion nationale à l’égard des sanctions prises contre le Niger, le Chef de l’Etat béninois semble se ramollir.
C’est une décision rare. Paris ordonne la fermeture de l’ambassade de France au Niger, montrant une fois de plus que les relations entre les deux pays continuent de se dégrader.
Les autorités militaires en place au Niger ont convenu d’un calendrier pour le retour à un régime civil et présenteront le plan au bloc régional, a annoncé jeudi le chef de la diplomatie togolaise, Robert Dussey, à la suite d’une réunion avec certains membres du gouvernement à Niamey.
Accusée d’incohérence par les putschistes nigériens pour avoir autorisé la participation des membres du gouvernement de Mohamed Bazoum à son dernier sommet malgré la suspension du pays de ses instances, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a émis un communiqué aujourd’hui, clarifiant la situation politique en République du Niger.
“Le Niger condamne fermement cette énième provocation, qui est de nature à saper tout effort diplomatique et négocier à la situation politique actuelle”, a martelé le Colonel Djibo dans un communiqué diffusé à la télévision nationale, tout en accusant la CEDEAO d’incohérence et de mépris pour les textes communautaires.
Vendredi, le Général Abdourahamane Tiani était à Lomé pour une visite de travail où il a discuté avec son homologue togolais Faure Gnassingbé. Cette visite intervient quelques semaines après une mission ministérielle nigérienne à Lomé.
Le général Abdourahamane Tiani, dirigeant de la République du Niger, est annoncé à Lomé, capitale togolaise, après avoir quitté Niamey vendredi, selon une annonce des autorités nigériennes. Accompagné d’une délégation ministérielle, il a pris son envol aujourd’hui pour rencontrer les dirigeants togolais. Cette visite, déclarée comme une “Visite de Travail et d’Amitié”, vise à renforcer les relations bilatérales entre le Niger et le Togo.
La Cour de justice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest doit rendre jeudi son jugement concernant le cas de Mohamed Bazoum. L’ancien président nigérien a déposé une plainte auprès de la juridiction de la CEDEAO pour séquestration et détention arbitraire.
Après le putsch, la CEDEAO a pris de sévères sanctions contre le Niger, menaçant même d’une intervention militaire pour rétablir le président déchu dans son pouvoir. Le président ivoirien est l’un des fervents défenseurs de l’option radicale.
La Cour de justice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) a tenu lundi une audience concernant la plainte déposée par des avocats demandant la libération et le rétablissement dans ses fonctions du président déchu du Niger, Mohamed Bazoum.
Le président béninois s’est empressé dans la foulée des sanctions imposées par la CEDEAO au Niger suite au coup d’Etat militaire de Juillet dernier, de fermer les frontières de son pays. Lesdites frontières toujours fermées, n’ont pu empêcher l’inauguration hier 1er Novembre 2023 d’un oléoduc géant reliant le Niger et le Bénin.
Bien qu’il ait été décrété l’interdiction de toute transaction financière vers le Niger, après donc le renversement du régime Mohamed Bazoum, la BCEAO continuerait d’alimenter ledit pays.
Les coups d’Etats militaires successifs de ces trois dernières années dans la zone ouest-africaine ont le mérite de questionner le fondement de la CEDEAO ainsi que ses moyens d’actions. En ce qui concerne le Niger particulièrement, l’institution communautaire semble condamner à aller à la table de discussion avec les auteurs du coup d’Etat ayant emporté le président Mohamed Bazoum.
Depuis le Coup d’Etat militaire ayant renversé le Président Mohamed Bazoum au Niger, suivi des sanctions décidées par la CEDEAO dont la fermeture immédiate des frontières et la suspension de toutes les transactions financières et commerciales avec le pays, près de 1000 camions provenant du Port de Cotonou sont bloqués à la frontière bénino-nigérienne.
Lors du « Forum de Lomé sur la Paix et la Sécurité » (Lomé Peace and Security Forum) tenu le week-end dernier dans la capitale togolaise, le Ministre nigérien de l’Intérieur, le Général de Brigade Mohamed Toumba, a été on ne peut plus clair sur une éventuelle intervention militaire de la CEDEAO. Pour le Ministre, cette opération signerait la fin de l’institution communautaire.
Le président de la Transition au Niger, Abdourahamane Tiani, est à la recherche de nouveaux soutiens financiers pour son pays. Confronté à un isolement sans précédent, du fait des lourdes sanctions imposées par la CEDEAO depuis août dernier, et de la suspension de l’aide occidentale au développement suite au renversement de l’ancien président, Mohamed Bazoum, et à la récente classification par les Américains de son acte comme étant un coup d’état, le Niger se trouve asphyxié de toutes parts. Il faut chercher des axes de respiration.
Selon un communiqué lu à la télévision nationale, hier jeudi 19 Octobre 2023, le président nigérien renversé par un coup d’Etat militaire aurait tenté de s’évader très tôt le matin avec plusieurs personnes de son entourage immédiat.
Le Secrétaire Permanent du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie, le Colonel Sahabi Sani, a reçu un don de 100 millions de Francs CFA de la diaspora nigérienne résidant au Togo le mercredi 11 octobre 2023. La diaspora a fait ce geste pour soutenir le CNSP face à la situation actuelle au Niger.
La consœur Samira Sabou est remise en liberté provisoire. L’information est tombée dans la soirée de ce mercredi 11 octobre à l’issue d’une audition à Niamey.
L’Algérie a pris la décision de suspendre sa médiation au Niger. Cette annonce a été faite par le ministère des Affaires étrangères le lundi 9 octobre. Le pays voisin du Niger a soulevé des préoccupations quant à la volonté réelle des autorités nigériennes.
Alors qu’Emmanuel Macron penchait en faveur d’une intervention militaire pour rétablir l’ancien président nigérien dans ses fonctions, l’option semble, deux mois plus tard, hypothétique. Et si tout s’était joué lors d’une « journée des dupes », le 26 juillet ? Révélations.
« Au regard de ce qui précède, le gouvernement de la République du Niger rejette lesdites conclusions tout en réitérant sa volonté de préserver les liens d’amitié et de fraternité avec l’Algérie », a précisé la même source.
Reporters sans frontières (RSF) a demandé lundi aux autorités du Niger la libération “sans délai” d’une journaliste nigérienne interpellée deux jours plus tôt, une arrestation dont le motif est encore inconnu.
Dans une interview diffusée sur la Télévision nationale nigérienne, le Général Abdourahamane Tiani s’est prononcé sur différents sujets brulants de l’actualité de son pays, évoquant les possibles relations qui pourraient désormais exister entre le Niger et la France dont l’Ambassadeur a finalement quitté Niamey comme l’exigeait la junte militaire.
« Il fallait sortir les poubelles sans que nos amis de la junte s’en aperçoivent », a-t-il relaté. « Il s’agissait de faire rentrer de la nourriture, de l’eau, là aussi en faisant preuve d’ingéniosité », a-t-il ajouté. « Très clairement, l’objectif était de me faire craquer, et donc de me faire sortir ».
L’ambassadeur de France au Niger, Sylvain Itté, dont le régime militaire au pouvoir exigeait l’expulsion depuis plusieurs semaines, a quitté Niamey tôt mercredi matin, ont indiqué une source diplomatique de l’ambassade française et une source proche du ministère de l’Intérieur nigérien.
Le président a déclaré : “La France a décidé de ramener son ambassadeur et donc, dans les prochaines heures, notre ambassadeur avec plusieurs diplomates rentreront en France. Et nous mettons fin à notre coopération militaire avec les autorités de fait du Niger, car elles ne veulent plus lutter contre le terrorisme.”
Le départ demandé des français du Niger marque t’il la fin de son hégémonie militaire et diplomatique en Afrique ? Paris a-t-elle définitivement perdu la partie au Sahel ? Maintenant que ses partenaires américains semblent avoir directement pris langue avec les différents régimes militaires du Mali, du Burkina Faso, de Guinée et du Niger, quel type de rapport Paris pourra t’il établir désormais avec ces pays qui étaient considérés comme ses zones d’influence exclusifs ?
Il appelle les dirigeants de la Cedeao à puisser « dans leur immense sagesse pour ne pas commettre une telle faute ».
Les institutions sous régionales que sont la CEDEAO, l’UEMOA, et la BCEAO, ont elles juridiquement le droit de saisir les avoirs du Niger, de bloquer ses approvisionnements terrestres, et d’envisager une opération militaire contre lui ? Ne violent elles pas de façon flagrante leurs propres textes ? Survivront-elles à ces décisions qui plombent l’intégration ? Et si le Mali, le Burkina Faso, le Niger en profitaient pour les quitter et créer leur groupe avec la Guinée ?
Il y a quelques jours, l’antenne départementale de l’Office Central de Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (OCRTIS) à Niamey a mis la main sur 210 briques de cannabis d’un poids de 175,831kg.
Le régime militaire issu d’un coup d’Etat au Niger a annoncé jeudi l’annulation de plus de 990 passeports diplomatiques détenus par des personnalités nigériennes et étrangères travaillant pour le pouvoir déchu, selon l’Agence nigérienne de presse (ANP, officielle).
Dans ce qui est convenu d’appeler affaire Stéphane Jullien, du nom du conseiller des Français de l’étranger basé au Niger, arrêté le 8 septembre et relâché après les pressions de Paris, figurent trois togolais. Eux sont toujours derrière les barreaux.
Les autorités françaises ont appelé ce mardi à la « libération immédiate » du Conseiller des Français de l’étranger installé au Niger, Stéphane Jullien. Ce dernier a été arrêté le 08 septembre dernier alors qu’il sortait de l’Ambassade de France, surveillée par la junte militaire au pouvoir à Niamey.
Depuis New-Dehli où il participe au sommet du G20, le Président français Emmanuel Macron a de nouveau désavoué le régime militaire qui conduit le Niger depuis le 26 Juillet dernier. Sa déclaration ne risque pas d’apaiser les tensions déjà très vives entre les deux pays.
« Si nous redéployons quoi que ce soit, je ne le ferai qu’à la demande du président Bazoum et en coordination avec lui. Pas avec des responsables qui aujourd’hui prennent en otage un président », a-t-il dit