À Moscou, l’AES et la Russie annoncent une nouvelle ère de partenariat
Ce jeudi, les ministres des Affaires étrangères du Burkina Faso, du Niger et du Mali, membres de l’Alliance des États…
Le portail togolais par excellence!
Ce jeudi, les ministres des Affaires étrangères du Burkina Faso, du Niger et du Mali, membres de l’Alliance des États…
Après Bamako et Niamey, l’ancien président ghanéen John Dramani Mahama a conclu sa tournée dans les pays de l’Alliance des…
Les Nations unies ont dénoncé “la détention arbitraire” de l’ex-président nigérien Mohamed Bazoum et de son épouse Hadiza, renversés par…
Le général Assimi Goita, Président de la Confédération des États du Sahel (AES), a annoncé, mardi, que les nouveaux passeports…
Robert Dussey, ministre des Affaires étrangères du Togo, a une nouvelle fois réaffirmé l’intérêt du pays pour l’Alliance des États…
Les trois ministres en charge de la communication de la Confédération des États du Sahel (AES) ont dévoilé, lundi ,…
Le 26 décembre 2024, dans un communiqué officiel, la Commission de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest…
Le mardi 14 novembre, l’armée malienne a officiellement repris le contrôle de Kidal, une ville stratégique du nord du pays, qui était sous le pouvoir des séparatistes touareg depuis une décennie. La réaction du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), du gouvernement et du peuple nigérien ne s’est pas fait attendre, exprimant une immense joie dans un communiqué diffusé ce mercredi.
Après le putsch, la CEDEAO a pris de sévères sanctions contre le Niger, menaçant même d’une intervention militaire pour rétablir le président déchu dans son pouvoir. Le président ivoirien est l’un des fervents défenseurs de l’option radicale.
La Cour de justice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) a tenu lundi une audience concernant la plainte déposée par des avocats demandant la libération et le rétablissement dans ses fonctions du président déchu du Niger, Mohamed Bazoum.
Bien qu’il ait été décrété l’interdiction de toute transaction financière vers le Niger, après donc le renversement du régime Mohamed Bazoum, la BCEAO continuerait d’alimenter ledit pays.
Les coups d’Etats militaires successifs de ces trois dernières années dans la zone ouest-africaine ont le mérite de questionner le fondement de la CEDEAO ainsi que ses moyens d’actions. En ce qui concerne le Niger particulièrement, l’institution communautaire semble condamner à aller à la table de discussion avec les auteurs du coup d’Etat ayant emporté le président Mohamed Bazoum.
Le président de la Transition au Niger, Abdourahamane Tiani, est à la recherche de nouveaux soutiens financiers pour son pays. Confronté à un isolement sans précédent, du fait des lourdes sanctions imposées par la CEDEAO depuis août dernier, et de la suspension de l’aide occidentale au développement suite au renversement de l’ancien président, Mohamed Bazoum, et à la récente classification par les Américains de son acte comme étant un coup d’état, le Niger se trouve asphyxié de toutes parts. Il faut chercher des axes de respiration.
Le Secrétaire Permanent du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie, le Colonel Sahabi Sani, a reçu un don de 100 millions de Francs CFA de la diaspora nigérienne résidant au Togo le mercredi 11 octobre 2023. La diaspora a fait ce geste pour soutenir le CNSP face à la situation actuelle au Niger.
La consœur Samira Sabou est remise en liberté provisoire. L’information est tombée dans la soirée de ce mercredi 11 octobre à l’issue d’une audition à Niamey.
L’Algérie a pris la décision de suspendre sa médiation au Niger. Cette annonce a été faite par le ministère des Affaires étrangères le lundi 9 octobre. Le pays voisin du Niger a soulevé des préoccupations quant à la volonté réelle des autorités nigériennes.
« Au regard de ce qui précède, le gouvernement de la République du Niger rejette lesdites conclusions tout en réitérant sa volonté de préserver les liens d’amitié et de fraternité avec l’Algérie », a précisé la même source.
Je l’avais demandé à plusieurs reprises ici dans mes écrits. L’armée française doit quitter l’Afrique, car contrairement aux américains, les français ont la fâcheuse habitude à intervenir militairement dans les affaires internes des pays africains. Il faudra aussi évacuer les troupes au Gabon, Sénégal, Côte d’Ivoire et Tchad. Par les temps qui courent, la présence des troupes françaises dans un pays peut être un élément déclencheur de crise politique débouchant sur un coup d’état.
Si quelque chose doit retenir l´attention de ceux qui s´intéressent à l´actualité politique française en Afrique, c´est de l´annonce surprenante, faite par Emmanuel Macron hier soir sur le rappel immédiat de son ambassadeur et surtout de ses militaires d´ici la fin de l´année au Niger:
Le président a déclaré : “La France a décidé de ramener son ambassadeur et donc, dans les prochaines heures, notre ambassadeur avec plusieurs diplomates rentreront en France. Et nous mettons fin à notre coopération militaire avec les autorités de fait du Niger, car elles ne veulent plus lutter contre le terrorisme.”
Dans ce qui est convenu d’appeler affaire Stéphane Jullien, du nom du conseiller des Français de l’étranger basé au Niger, arrêté le 8 septembre et relâché après les pressions de Paris, figurent trois togolais. Eux sont toujours derrière les barreaux.
Paris annonce la libération de Stéphane Jullien, conseiller des français de l’étranger basé au Niger, interpellé, entre-temps, par les forces nigériennes.
« Si nous redéployons quoi que ce soit, je ne le ferai qu’à la demande du président Bazoum et en coordination avec lui. Pas avec des responsables qui aujourd’hui prennent en otage un président », a-t-il dit
Actuellement, le Niger abrite environ 1 100 soldats américains et 1 500 soldats français, tous engagés dans des opérations contre des groupes terroristes opérant dans cette région sensible.
Le gouvernement chinois a annoncé son engagement en tant que médiateur dans la crise politique qui secoue le Niger depuis le renversement du président Mohamed Bazoum il y a plus d’un mois. L’ambassadeur chinois au Niger, Jiang Feng, a tenu des pourparlers avec le Premier ministre de transition nigérien, Ali Mahamane Lamine Zeine, à Niamey, afin de discuter de cette initiative de médiation.
L´imbroglio de la crise nigérienne suite au coup d´état ayant démi Mohamed Bazoum n´en finit pas de faire des vagues. L´évènement à la Une ces dernières semaines dans ce pays du Sahel, est sans nul doute le bras de fer avec la France, ancienne puissance colonisatrice des pays francophones d´Afrique. Les nouvelles autorités du Niger avaient donné un délai de 48 heures à l´ambassadeur français pour quitter le pays.
Alors que le général-président, Abdourahamane Tiani, vient de célébrer son premier mois à la tête du Niger, les autorités françaises ne décolèrent toujours pas au sujet du renversement de leur protégé, le président, Mohamed Bazoum. Pour preuve, le Quai d’Orsay continue de revendiquer son retour au pouvoir en affirmant soutenir toute initiative menée par la CEDEAO, en particulier, l’intervention militaire évoquée depuis quelques semaines.
Le président français, Emmanuel Macron conduit la France à sa perte en Afrique car sa position paternaliste et arrogant vis-à-vis du Niger, un État souverain, sans la moindre humilité, conforte plutôt la junte au pouvoir et dresse sans en rendre compte, les Africains contre la France.
Emmanuel Macron, dès l’entame de son premier quinquennat, a indiqué qu’il entend rebattre les cartes de la diplomatie française en Afrique. Selon lui, « l’âge de la françafrique est révolu ». Il n’imaginait pas être pris au mot comme cela est le cas actuellement sur le continent.
Le jeudi 31 août 2023 à Ouagadougou, le président burkinabè Ibrahim Traoré a tenu une réunion avec une délégation russe dirigée par le vice-ministre russe de la Défense, Iounous-Bek Ievkourov, selon les informations de l’Agence d’information du Burkina.
La Commission de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a réagi ce soir à une information concernant un prétendu calendrier de transition proposé pour le Niger. “L’information, en français et prétendument relayée par l’AFP, est fausse et doit être traitée comme une fausse nouvelle.”
Air Senegal est chargée d’assurer le déplacement de 900 soldats ainsi que du matériel militaire vers la ville béninoise de Cotonou, qui pourrait potentiellement servir de base arrière pour les forces d’intervention de la CÉDÉAO.
Tout en rejetant tout sentiment de “paternalisme” et de “faiblesse” en Afrique, le président a été accusé par l’essayiste Thomas Deltombe, d’avoir affiché une certaine “arrogance” dans ses propos. Deltombe soulève également une incohérence dans la politique étrangère française en se demandant pourquoi un soutien à un coup d’État est manifesté dans certains cas et pas dans d’autres.
Un mois après le coup d’État au Niger qui a renversé le président démocratiquement élu, Mohamed Bazoum, le gouvernement militaire a émis l’ordre de départ pour l’ambassadeur français du pays.
L’état-major des forces armées françaises a contesté mardi une information diffusée par la radio officielle algérienne, démentant ainsi que l’Algérie ait refusé à la France l’autorisation de survoler son territoire pour une opération militaire au Niger.
Alors que le général Abdourahamane Tiani a indiqué que l’ordre constitutionnel sera rétabli à l’issue d’une transition d’une durée maximum de « trois ans », la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) lui dit non.
Suite au coup d’État survenu le 26 juillet dernier au Niger, les frontières entre ce pays et la plupart des membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CÉDÉAO) ont été fermées dans le cadre de sanctions. Cependant, cette décision suscite l’indignation chez les pays voisins.
Les chefs d’état-major des pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CÉDÉAO) ont clôturé vendredi les deux jours de réunion à Accra au Ghana, sur les prochaines étapes pour une possible intervention militaire au Niger, visant à “rétablir l’ordre constitutionnel”, des semaines après le coup d’État contre le président Mohamed Bazoum.
La menace d’intervention militaire semble s’éloigner et c’est une bonne chose. Que Tchiani entende raison et accepte le principe d’une transition où lui et Bazoum seront absents. Le pays souffre actuellement.
L’Algérie joint la parole à l’acte. Ayant déconseillé de régler le problème du Niger par une intervention militaire, elle annonce l’interdiction de son espace aérien aux avions militaires d’où qu’ils viennent et met en garde tous ceux qui tenteront de survoler son espace sans son accord pour une éventuelle attaque du Niger.
Nous nous sommes récemment offusqués, soulevés contre ces coups d’Etat incessants sur le continent africain. Et un terme à ces inconduites est voulu par tous les progressistes, notamment, les panafricains du MEPUS, de l’université de St Louis du Sénégal.
Dans une vidéo diffusée le 14 août 2023, Koné Seydou, plus connu sous le nom d’Alpha Blondy, artiste ivoirien et ambassadeur de la paix, a exprimé ses préoccupations quant à la situation politique au Niger. Il a souligné que préserver la paix au Niger représenterait une victoire majeure pour tout le continent africain.
L’ancien président nigérien Mohamed Bazoum fait face à des accusations de trahison lancées par l’armée, entraînant une réaction en chaîne au niveau international. Une délégation d’érudits islamiques tente de trouver une issue diplomatique à l’impasse avec les putschistes, tandis que l’ONU et la CEDEAO dénoncent les menaces de poursuites contre Bazoum.
La Conférence des Evêques du Togo (CET) suggère « la levée des sanctions imposées par la Communauté Economique Des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) » au Niger après le coup de force des militaires.
Au moins 54 personnes ont été appréhendées lors d’un rassemblement de soutien au président Mohamed Bazoum. La brève manifestation aurait eu lieu dans la capitale du Niger, Niamey, le dimanche 13 août 2023, malgré l’interdiction de la junte militaire.
La junte militaire est en train de mener deux guerres de grande intensité. Si celle contre la CEDEAO est en passe d’être gagnée grâce à l’appui du peuple nigérien et des Africains qui, échaudés par la destruction gratuite de la Libye, refusent toute intervention militaire au Niger, l’autre guerre, plus en sourdine, est menée par la France dont l’exclusion annoncée de ses 1.500 soldats, comme il y a deux ans au Mali, est analysée, à Paris, comme une véritable catastrophe nationale.
D’après les mêmes sources, le message du Chef d’état-major général des armées porte la mention « Urgence signalée ».
L’Office Togolais des Recettes a suspendu depuis le 1er Août dernier les transactions commerciales et de service de transit en provenance ou à destination du Niger, conformément aux décisions prises lors du sommet extraordinaire des Chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO la veille à Abuja.
Le président Faure Gnassingbé a joué un rôle déterminant dans la libération des 49 militaires ivoiriens. Il a donc de bons antécédents avec le pouvoir malien. Actuellement nous sommes dans une vraie impasse sur la crise nigérienne. Le général Tchiani et ses camarades sont dans une position jusqu’auboutiste, avec la mise en place de leur gouvernement. La Cedeao est dans l’impasse avec son option militaire. Il faut un médiateur qui puisse parler aux deux parties.
Selon des informations révélées par RFI (Radio France Internationale), une réunion des Chefs d’état-major des armées de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) est programmée ce samedi 12 août à Accra au Ghana suite à l’ordre d’activation et de déploiement de la « force en attente » reçu des Chefs d’Etats ce 10 Août 2023 sur la situation au Niger.
Dans un communiqué publié ce vendredi 11 août 2023, le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat a exprimé “son ferme soutien aux décisions de la CEDEAO sur le changement anti-constitutionnel au Niger.”
Il faisait partie de l’expédition africaine en Ukraine et en Russie dont l’objectif fut de restaurer la paix entre ces deux pays en conflit. Mais dès qu’il s’agit de ses proches voisins, Macky Sall semble perdre cette fibre pacifique, se déclarant prêt à une guerre inopportune au Niger.
L’organisation communautaire s’est une deuxième fois réunie en sommet extraordinaire ce 10 août 2023 à Abuja au Nigeria pour débattre de la crise nigérienne. De purement économique cette institution devient politique et outrepasse ses prérogatives.
L’ultimatum donné, jusqu’au dimanche 6 août au soir, par la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest aux militaires pour libérer le président Bazoum et rétablir l’ordre constitutionnel au Niger, sous peine d’intervenir militairement, a vécu. Celui de l’Union africaine court encore jusqu’au dimanche 13 août prochain. Un semblant de répit pour le CNSP, dirigé par le général Abdourahmane Tiani, ancien commandant de la garde présidentielle, qui se dit prêt à une “riposte immédiate” à “toute agression”.
A Abuja jeudi au Nigeria, les dirigeants de la communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest ont fait un pas vers une intervention militaire au Niger, visant le retour à l’ordre constitutionnel dans ce pays. Ils ont ordonné le déploiement de la force en attente de l’organisation régionale.
Le président de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Bola Tinubu du Nigéria, dirige actuellement un sommet extraordinaire à huis clos de l’organisme régional sur l’impasse politique en République du Niger. Les médias locaux rapportent la présence de certains présidents dont les pays ne sont pourtant pas membres du bloc ouest-africain.
Les peuples africains sont plus lucides et soucieux de l’indépendance totale du continent que leurs dirigeants. L’Afrique ne peut jamais avancer avec nos dirigeants actuels et leur comportement dans la situation du Niger vient encore consolider cette affirmation. Pourquoi j’ai dit cela ?
Les nouveaux dirigeants du Niger ont fermé son espace aérien à partir de ce dimanche 6 août 2023, jusqu’à nouvel ordre, invoquant la menace d’une intervention militaire du bloc régional après avoir ignoré le délai pour réintégrer le président déchu du pays.
Revenant sur le coup d’état au Niger dont il ne nous revient pas ici de discuter de la pertinence ou non, et parlant des condamnations de part et d’autre du coup de force, nous estimons qu’il y a hypocrisie. Car, au lieu de s’attaquer aux causes de la fièvre, on cherche à casser le thermomètre qui indique une température alarmante. Les coups d’état, qui ne sont pas forcément la meilleure solution, ont toujours une ou plusieurs causes.
Si ce dimanche 6 août, la junte militaire ne rétablit pas l’ordre constitutionnel au Niger, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) y déploiera une armée, une intervention militaire à laquelle le Tchad ne participera pas.