Togo : La révolution populaire qui chasse le tyran
Togo, Bénin, Côte d’Ivoire, Congo, Mali, Burkina, Niger, Afrique du Sud, Égypte, Tunisie, Libye sont des pays qui ont connu un mouvement populaire et qui ont fait chasser le tyran du pouvoir.
Le portail togolais par excellence!
Togo, Bénin, Côte d’Ivoire, Congo, Mali, Burkina, Niger, Afrique du Sud, Égypte, Tunisie, Libye sont des pays qui ont connu un mouvement populaire et qui ont fait chasser le tyran du pouvoir.
À l’occasion du 65ᵉ anniversaire de l’indépendance du Togo, plusieurs organisations de la société civile et partis politiques d’opposition dénoncent…
Face à ce coup d’Etat qui est initié, la Cour constitutionnelle se tait, comme d’habitude. Les magistrats n’ont sans doute pas la trempe de leurs collègues du Sénégal qui ont recadré récemment le président Macky Sall et lui ont enjoint de respecter la Constitution.
Séquestré à Lomé en octobre dernier lors d’une mission d’enquête « sur la violente répression post-électorale qui s’est abattue sur le mouvement démocratique togolais, et sur un courrier apocryphe prétendument envoyé par l’Elysée à M. Gnassingbé le 25 mars 2020 », les avocats d’Agbéyomé Kodjo portent plainte à Paris contre le régime de Faure Gnassingbé
Le moins qu’on puisse dire de la politique diplomatique de Faure Gnassingbé est qu’elle est énormément gesticulatoire. Malgré cela, le territoire togolais est rarement foulé par les leaders ou chefs d’Etats des grandes puissances occidentales contrairement aux pays voisins qui suscitent de l’intérêt.
L’épidémie des coups d’Etat qui sévit en Afrique de l’Ouest avec son lot de passions et de conjectures, s’est répandue depuis ce matin du 30 août 2023 en Afrique centrale, avec les militaires qui ont pris d’assaut Gabon 24 télévision, la chaine nationale, pour annoncer le renversement du régime dynastique d’Ali Bongo Ondimba et la dissolution de toutes les institutions. Pour justifier leur pronunciamiento, les militaires évoquent, entre autres, la mal gouvernance, la corruption, les détournements et surtout les élections truquées. Quelques heures avant, à 4 h du matin, pendant que le peuple gabonais dormait encore, le président de la commission électorale au Gabon s’est invité à la télévision nationale pour proclamer vainqueur, Ali Bongo Ondimba, président du PDG, vainqueur à 64,27% contre le principal challenger Albert ONDO-OSSA, crédité de 30,77%, alors que selon plusieurs sources, il serait en réalité le vainqueur de ce scrutin.
Les restrictions liées aux libertés d’expression et d’association au Togo inquiète le leader du parti des Togolais, Nathaniel Olympio. L’acteur politique intervenant sur le sujet se demande quelle sera la prochaine cible qui sera neutralisée après les partis politiques et la société civile, et précédemment les journalistes.
« Au rythme où ça va, les Gnassingbe vont encore diriger le Togo pour un moment », affirmait comme une prémonition Jean-Marc Four de Franceinfo. Après les 38 ans de règne absolu du père et les quatre mandats en cours du fils, les Togolais vont devoir encore supporter pour longtemps la dynastie Gnassingbé. Qui a fait duTogo, notre nation, la terre de nos Aïeux, la plus vieille dictature en Afrique.
S’achemine-t-on vers l’interdiction de partis politiques de l’opposition ? La question a suscité une réaction du leader du Parti des togolais, Nathaniel Olympio. Sur sa page Facebook, l’opposant au régime de Faure Gnassingbé a clairement indiqué que “Une chose est certaine, le pouvoir ne veut plus de certains partis dans le paysage politique”. A l’en croire, cette condition ne fera que faciliter davantage la construction de la lutte citoyenne.
19 août 2017, 19 août 2022. Voici cinq (05) ans jour pour jour que Tikpi Atchadam a fait une percée remarquable sur la scène politique et déclenché un mouvement de contestation porteur d’espoirs les plus fous. Mais tel qu’apparu, Tikpi Atchadam a disparu de la circulation, comme un OVNI (objet volant non identifié). Laissant nombre de Togolais sur leur soif, avec un sentiment de goût d’inachevé.
Dans un courrier, l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) dénonce les “alibis politiciens” utilisés par le préfet Hodabalo Awaté pour interdire ses meetings prévus les 03 et 31 juillet dernier à Agoè-Nyivé. Alors qu’au même moment, les manifestations du régime sont autorisées dans le pays. L’ANC condamne fermement ces entraves posées par les pouvoirs publics au libre exercice des activités des partis politiques de l’opposition.
Devant la presse vendredi, la conférence des présidents de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) s’est prononcée sur l’actualité socio-politique et sécuritaire du pays. Face aux grands maux qui rongent actuellement le pays, la DMK invite le régime en place à un sursaut patriotique. Aux Togolais qui rêvent de l’alternance depuis plus de 50 ans, elle les exhorte à dépasser leurs rancœurs légitimes pour poursuivre la lutte.
La manifestation prévue de la Dynamique Monseigneur Kpodzro (DMK) le 25 juin à Bè-Kodjindji (dans le Golfe 1) n’a pas reçu le quitus des autorités togolaises. Pour une nouvelle fois, cette manifestation a été reconduite.
« Un chef d’état qui pense qu’il doit forcément rester au pouvoir, et qu’il est le seul garant de la prospérité et de la stabilité de son pays est un leader qui a échoué » (Barack Obama). Le président Patrice Talon a pris langue avec son prédécesseur Thomas Boni Yayi avec qui il a discuté des questions d’intérêt national. Notamment le coût de la vie, la sécurité, la paix, etc.
C’est la question taraude bon nombre d’observateurs, surtout que maintenant au Togo, les manifestations politiques sont systématiquement interdites par le régime.
L’Economist Intelligence Unit (EIU) a publié son rapport 2021 sur la démocratie dans le monde. Le Togo est classé dans la catégorie des régimes autoritaires.
La restriction de liberté publique continue au Togo. Après les manifestations publiques des partis politiques et de la société civile réduites à leur portion congrue, le pouvoir de Gnassingbé Faure s’en prend aux Organisations Non Gouvernementales (ONG).
Dans une lettre ouverte, Francis Pedro Amuzun de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) saisit le Secrétaire Général des Nations-Unies, António Guterres sur la situation sociopolitique togolaise. « Les malheurs du Togo se comptent par milliers et ce, dans le silence ou l’inaction des Nations Unies », a déploré Francis Pedro. Lisez plutôt!
« Le prince ne doit pas craindre de n’avoir pas une population nombreuse, mais de ne pas avoir une juste répartition des biens » (Nicolas Machiavel)
Il semblerait, selon toute vraisemblance, que Charles Kondi Agba, un des ténors de l’échelle de sagesse de UNIR, parti gouvernant notre pays, aurait fait une déclaration fracassante selon laquelle, il n’existerait pas ou plus, d’opposition constructive dans notre pays.
En conférence de presse mercredi à Lomé, les responsables de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) en ont tiré les conséquences juridiques et politiques de la décision rendue par la Cour de Justice de la CEDEAO dans l’affaire opposant Agbéyomé Kodjo à l’Etat togolais. Dans la foulée, Mme Adjamagbo-Johnson et ses camarades sont également revenus sur la vie chère au Togo et le bras de fer entre les enseignants et le gouvernement. “Nous n’en pouvons plus ! Les togolais n’en peuvent plus !”, a pesté la DMK. Lisez plutôt!
Amnesty International vient de rendre public son nouveau rapport sur la situation des droits humains dans le monde. Un chapitre a été consacré aux violations des droits humains au Togo. L’ONG décrit le caractère autoritaire du régime de Faure Gnassingbé. Lecture!
En audience ce jeudi à Accra, la Cour de la CEDEAO a jugé l’affaire de la présidentielle de février 2020 qui oppose le candidat Agbéyomé à l’Etat togolais. Elle a statué en faveur du champion de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK).
Au Togo, le régime en place ne donne aucun répit aux acteurs de la société civile jugés proche de l’opposition. Prof. David Dosseh du Front Citoyen Togo Debout (FCTD) en fait partie.
Ce mardi 15 mars 2022 a lieu à Lomé la deuxième réunion du Cadre Permanent de Concertation (CPC) initié par le régime de Faure Gnassingbé. Mais le Comité d’action pour le renouveau (CAR) ne participe pas aux travaux.
L’information est diffusée par les canaux officiels de la République togolaise. Le 08 mars 2022 va démarrer le recensement de la diaspora togolaise. «Cher compatriote de la diaspora, le moment est venu pour vous faire recenser afin de mieux vous servir. Faites vous recenser », a tweeté Robert Dussey, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration régionale et des Togolais de l’extérieur.
Nouvelle édition de l’émission “La Voix du Peuple” de ce mercredi 09 février 2022. Sylvain Amos et ses invités débattent de l’actualité sociopolitique du Togo, notamment l’arrestation des membres de la diaspora.
Le pouvoir de Faure Gnassingbé continue de s’acharner contre les militants du Parti National Panafricain (PNP). Des militants de cette formation politique de l’opposition ont été enlevés dans la nuit d’hier jeudi à vendredi.
Invitée à une autre phase de discussions entre acteurs politiques qui s’ouvre ce vendredi 21 janvier à Lomé, la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) a décliné une fois encore l’offre. Dans un communiqué, ce regroupement de partis politiques met en doute la sincérité du pouvoir pour trouver des solutions à la grave crise politique que traverse le Togo.
Décédé le 8 janvier 2022, le juriste français Charles Debbasch, ministre-conseiller de Faure Gnassingbé, a été inhumé vendredi 14 janvier dans sa France natale sans que personne ne lui ait rendu hommage. Et comme si cela ne suffisait pas, c’est sa maison ici à Lomé qui a été mise sous scellés.
Après leur lettre ouverte adressée au chef de l’Etat, Faure Gnassingbé, pour exiger la libération des prisonniers politiques au Togo, Nicodème Habia et Ouro-Djikpa Tchatikpi ont animé une conférence de presse mardi à Lomé. Ces deux acteurs politiques ont dressé un tableau sombre de la situation sociopolitique du Togo, caractérisée par la cherté de vie et la restriction des espaces de liberté par le régime en place. « Les risques d’implosion ou d’explosion à l’instar du 05 octobre 1990, du 12 juin 2012 ou du 19 août 2017 sont palpables », ont-ils averti dans leur déclaration liminaire. Ils exhortent les tenants du pouvoir à des mesures d’apaisement, notamment la libération de tous les détenus politiques et d’opinion du pays. Lisez plutôt !
Dans une réaction sur sa page Facebook, Nathaniel Olympio revient sur la loi fondamentale du Togo, notamment les dispositions qui protègent juridiquement le chef de l’Etat et les membres du gouvernement. « Il est urgent que le législateur se penche sur la question pour que le parallélisme des formes nous rende tous égaux devant la justice », a souligné l’opposant. Lecture.
Dans un communiqué, le Réseau de la Coordination de la Diaspora Togolaise Indépendante (RCDTI) et le Collectif pour la Vérité des Urnes – Togo – Diaspora (CVU-Togo-Diaspora) se prononcent sur la situation sociopolitique du pays. Ces deux associations invitent les Togolais à réorienter la lutte pour dégager le régime de Faure Gnassingbé. Lecture.
C’est visiblement la lecture que fait le président du Parti national panafricain (PNP), Tikpi Atchadam. Dans une récente intervention, l’instigateur du soulèvement populaire du 19 août 2017 dit voir à travers les dérives du pouvoir, la “peur”. A l’en croire, le régime a atteint le paroxysme.
« Un coup se prépare contre le chef ». Au 228, cette seule phrase suffit pour que tout le pays soit en état de siège. Ou il suffit qu’elle soit prononcée par un citoyen lambda ou un activiste proche de l’opposition pour qu’il soit interpellé manu-militari pour une destination inconnue.
Plus les années passent et plus Faure Gnassingbé qui a fait le choix de s’éterniser au pouvoir comme son géniteur, sombre dans des dérives autoritaristes. Opposants, activistes, journalistes sont impitoyablement traqués, arrêtés et jetés en prison sans autres formes de procès. A la manœuvre, le Service central de recherches et d’investigations criminelles (SCRIC), la Brigade de recherches et d’investigations (BRI), des polices politiques de Faure Gnassingbé et bras obscurs des FAT, et la justice, le bras armé du régime.
Comédie, Hypocrisie, Mesquinerie du régime Faure : La médiation togolaise impliquée dans le maintien de la paix au Tchad, Mali, Guinée…Pendant ce temps, la liberté d’expression à l’agonie au Togo
Depuis la rocambolesque arrestation aux allures d’un kidnapping de notre compatriote de la diaspora suisse et membre influent de la DMK (Dynamique Monseigneur Kpodzro) Jean-Paul Oumolou le 04 novembre 2021, beaucoup de Togolais, aussi bien au pays que dans la diaspora se sont exprimés dans la presse comme à travers les réseaux sociaux pour dénoncer un acharnement du régime de dictature contre tous ceux qui pensent autrement et demander sa libération.
Les coalitions des forces démocratiques de changement (certaines formations politiques de l’opposition et organisations de défense des droits humains) ont marqué de leurs empreintes la lutte populaire pour l’alternance politique au Togo.
« Ne constituent pas une cause d’exonération le fait d’avoir obéi aux ordres d’un supérieur ou d’une autorité publique en commettant les actes de torture et les autres mauvais traitements, ni le fait que ceux-ci aient été justifiés par des circonstances exceptionnelles, notamment un état de guerre, une menace de guerre, l’instabilité politique intérieure ou toute autre situation exceptionnelle ». Article 206, Loi N° 2015-10 du 24 novembre 2015 portant nouveau code pénal togolais.
10 décembre, journée internationale des Droits de l’Homme, plusieurs pays de par le monde commémorent cette journée en jetant un regard sur la situation des Droits de l’Homme en leur sein.
Le Togo n’est pas invité au sommet pour la démocratie organisé par le président américain, car plus personne ne s’y trompe. Tout le monde sait désormais que c’est une dictature qui sévit au Togo.
Après la sortie du Procureur de la République Talaka Mawama, mercredi nuit sur la TVT, l’avocat des confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou était ce jeudi matin sur les antennes de Taxi FM, dans l’émission Taxi Média Show. Me Elom Kpade s’est prononcé sur le dossier et a surtout relevé que la poursuite contre les journalistes n’est fondée sur aucune base légale. A l’en croire, tout tourne autour de l’appellation de YouTube comme réseau social alors que ni le code de la presse, ni même le code pénal sur la base duquel on poursuit les confrères, n’a défini ce qui est appelé réseau social. Voici la transcription de son intervention.
Dans une nouvelle publication sur sa page Facebook, Prof. Apédo-Amah Togoata s’inquiète de la situation de Djimon Oré, l’opposant arrêté le 29 avril devant sa femme et ses enfants, accusé et condamné à 2 ans de prison ferme par la justice togolaise.
Les associations et mouvements fantoches de soutien au jeune doyen continuent de pousser comme des champignons. Nos frères de la diaspora ne sont pas en reste. Apparemment c’est chaud là-bas, alors chacun cherche un moyen pour continuer à lécher les doigts.
26 Novembre 2016 – 26 Novembre 2021. Voilà exactement 5 ans que le parti les Forces Démocratiques pour la République (FDR) a fait son entrée sur la scène politique togolaise. Dimanche, pour marquer ce jubilé de bois, le Bureau national de cette formation politique de l’opposition et les présidents des fédérations se sont réunis à Lomé pour dresser le bilan de ces 5 ans d’existence du parti et projeter de nouvelles perspectives.
Tino Agbelenko Doglo n’est plus à présenter. L’activiste togolais à l’origine des mouvements du 05 octobre 1990 se prononce sur l’arrestation arbitraire de Jean-Paul Oumolou.
Depuis la présidentielle de 2020, l’on assiste à des interpellations tous azimuts des leaders et responsables politiques. Le dernier cas en date est celui de l’activiste Jean-Paul Oumolou. Dans une réaction sur sa page Facebook, Nathaniel Olympio invite les forces démocratiques de l’opposition à aller au-delà des dénonciations.
L’activiste Jean-Paul Oumolou, arbitrairement interpellé le 4 novembre dernier par la soldatesque du régime, a été finalement placé sous mandat de dépôt. Au total, quatre chefs d’accusation ont été retenus contre lui.
Dans une réaction sur sa page Facebook, l’universitaire Prof. Togoata Apédo-Amah parle des détenus politiques au Togo et de la haine partisane qui ronge l’opposition togolaise de l’intérieur. Il est « temps que les forces démocratiques mettent au pas les trublions en leur sein et relancent une mobilisation générale autour de la libération ici et maintenant sans condition de nos prisonniers politiques », a-t-il souligné. Bonne lecture!
Arrêté à Lomé depuis une semaine, l’opposant Jean-Paul Oumolou est toujours en garde à vue. Jusque-là, aucune charge n’est retenue contre lui. Les partis politiques de l’opposition et la diaspora réclament sa libération.
Dans un entretien avec le confrère “L’Interview Info”, Naboudja Bouraïma, Porte-parole de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) revient sur l’arrestation arbitraire du sieur Jean-Paul Oumolou. A en croire Naboudja, la DMK compte utiliser tous les moyens pour mettre la pression sur le régime et obtenir la libération de son militant, J-P Oumolou, actuellement détenu dans les locaux du Service Central de Recherche et d’Investigation Criminelle (SCRIC).
L’interpellation arbitraire du sieur Jean-Paul Oumolou fait réagir bon nombres d’acteurs politiques de l’opposition togolaise. Dans un communiqué, Nicodème Habia du parti “Les Démocrates” exige la libération sans condition de J-P Oulomou et de tous les autres détenus politiques du pays.
Arbitrairement arrêté jeudi à Lomé, Jean-Paul Oumolou est actuellement détenu au Service Central de Recherche et d’Investigation Criminelle (SCRIC). Dans un communiqué, la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) dresse le film du kidnapping du sieur Oumolou. Elle exige sa libération immédiate. Lisez plutôt !
Le régime de Faure Gnassingbé n’en a pas encore fini avec les membres de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK). Il vient d’arrêter un des collaborateurs de l’opposant Agbéyomé.
L’opposant togolais, Nathaniel Olympio, dans un post en date du lundi 1er novembre 2021, a appelé les leaders d’opinion à relancer la lutte politique. Ceci, en amont aux élections régionales, prévues au cours de l’année 2022. Deux événements dont leur importance est en téléchargement au Togo, a annoncé le leader du Parti des Togolais.
Dans un communiqué en date du 31 Octobre 2021, la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) livre la décision de la Cour de la Justice de la CEDEAO relative au différend opposant l’opposant Gabriel Agbéyomé Kodjo à l’Etat Togolais. Lisez plutôt!
Les responsables de la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) ont animé une conférence de presse ce mercredi à Lomé. Mme Adjamagbo-Johnson et ses collaborateurs se sont prononcés sur les derniers sujets de l’actualité sociopolitique du pays. De la conclusion de la CNAP à l’affaire de Ornella Laine, en passant par la gestion de la crise sanitaire au Togo et le cas des détenus politiques. Dans sa déclaration liminaire, la DMK invite tous les Togolais à se mobiliser comme un seul homme pour soutenir la réclamation de la victoire du peuple portée par la DMK. Lecture!
Devant la presse lundi à Lomé, les responsables du Parti des Togolais se sont prononcés sur l’actualité sociopolitique du pays. De la CNAP (Concertation nationale entre acteurs politiques) à l’affaire Mèche Amina, en passant par la vie chère au Togo.
Voilà un régime de père en fil qui s’est approprié le Togo qu’il régente comme une épicerie familiale depuis 54 ans. Le père qui a régné pendant 38 ans, a failli sur toute la ligne. Il a mis ses tares et incompétences sur le dos de la grève générale de 1993 et la rupture de la coopération internationale.