Togo- Des précisions sur l’enlèvement de l’activiste béninois Steve Amoussou à Lomé
Le dimanche 25 août, le procureur de la République du Togo a apporté des éclaircissements sur l’enlèvement de l’activiste béninois…
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Le dimanche 25 août, le procureur de la République du Togo a apporté des éclaircissements sur l’enlèvement de l’activiste béninois…
Les Organisations de la Société Civile togolaise expriment une vive indignation suite à l’enlèvement nocturne de l’activiste béninois Steve Amoussou à Lomé, au Togo, le 12 août 2024. Amoussou a été capturé et transféré au Bénin sans mandat légal et aurait subi des violences et tortures.
Ce mardi 20 août 2024, le chroniqueur béninois Steve Amoussou, plus connu sous le nom de « Frère Hounvi », a été incarcéré, selon des sources médiatiques locales.
Dimanche dernier, à Cotonou, les partis d’opposition béninois ont tenu une conférence de presse commune, une première dans le pays, pour dénoncer l’arrestation au Togo du cyberactiviste « Frère Hounvi », connu pour ses critiques virulentes à l’égard du président Patrice Talon.
L’arrestation de Frère Hounvi a suscité une vive réaction de la part de cinq personnalités béninoises, dont d’anciens députés, qui dénoncent une « violation du droit international » par les autorités togolaises.
La communauté internationale et les défenseurs des droits humains sont sous le choc suite à l’enlèvement de Steve Amoussou, plus…
La tranquillité du quartier Adjagbo dans la Commune d’Abomey-Calavi a été brisée samedi soir par une découverte tragique. Le corps sans vie d’une jeune femme, étranglée et laissée sur une scène de crime macabre, a été retrouvé par les habitants aux alentours de 18 heures dans sa chambre.
Jeudi, la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) au Bénin a condamné un homme pour escroquerie en ligne.
Dans la commune de Nikki au Bénin, un féticheur a été arrêté pour avoir tenté de vendre un enfant pour…
Le président béninois, Patrice Talon, a pris deux décrets le 2 août, au lendemain de la fête nationale, pour gracier plus de 400 détenus de droits communs, dont 27 militants de l’opposition arrêtés et jugés suite aux violences électorales de 2019 et 2021. Toutefois, deux figures emblématiques de l’opposition n’ont pas été incluses dans cette mesure de clémence.