Togo- Ferdinand Ayité sur l’arrestation Felix Kadanga
L’arrestation de l’ex-chef d’état-major le Général Félix Kadanga suscite toujours des commentaires. Le sujet est au cœur de l’émission « L’autre Journal » N°135 (la troisième partie).
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L’arrestation de l’ex-chef d’état-major le Général Félix Kadanga suscite toujours des commentaires. Le sujet est au cœur de l’émission « L’autre Journal » N°135 (la troisième partie).
Maintes fois, les autorités togolaises ont été sommées de fermer définitivement la prison civile de Lomé. Raison, ce cachot ne répond pas aux standards internationaux. Seulement, le gouvernement togolais n’en a cure.
Dans l’affaire qui oppose le journal L’Alternative à Fabrice Adjakly, le fameux petrolegate donc, la Cour d’appel de Lomé confirme le jugement de la première instance.
Le confrère Ferdinand Ayité n’est plus à présenter. Dans l’émission “L’Autre Journal” N°103, la 3ème partie, publiée sur sa chaîne YouTube, le Directeur de publication du bihebdomadaire d’investigation “L’Alternative” se prononce sur la situation sociopolitique actuelle du pays.
L’affaire de détournement de fonds dans l’importation du pétrole, du nom de « Pétrolegate », était devant la Cour d’appel de Lomé hier jeudi. Après plusieurs reports dus à diverses raisons, le dossier a été bien retenu et le débat sur le fond a eu lieu, pour la toute première fois. L’audience était présidée par le juge Etsè Komi Séna, assisté des juges Kondo et Ayim, avec comme Procureur Général le juge Kokou Toké.
On aura tout vu au Togo. Ce vendredi 4 mars 2022, le bihebdomadaire d’investigation L’Alternative était à sa parution N°1011. « EPP Kodjoviakopé II : Dalles fissurées et bombées, risque d’écroulement sur les écoliers », affiche le journal à sa une. Mais très vite sur les réseaux sociaux, des internautes, apparemment membres d’un parti politique du pays, s’en prennent à Ferdinand Ayité et son équipe. Sans avoir lu le contenu de l’article, ils reprochent aux confrères d’avoir osé écrire sur l’état de délabrement avancé du bâtiment de cette école primaire publique qui se trouve dans le Golfe 4, commune dirigée par le Maire Jean-Pierre Fabre. La réaction de Ferdinand Ayité ne s’est pas fait attendre. Il fait une mise au point. Lisez plutôt!
Nous avons tous regardé le célèbre trio de journalistes de l’émission L’Autre Journal de L’Alternative présenter des excuses publiques à ceux qui se sont sentis offensés par des propos tenus dans le cadre de leur mission.
L’interpellation et la détention des journalistes Ferdinand Ayité, Directeur de publication de L’Alternative et de Joël Egah, patron du journal Fraternité a provoqué une avalanche de condamnation des organisations de défense des droits de l’homme et de la liberté d’expression, sur le plan national et international. Parmi ces organisations, une s’est particulièrement battue pour la libération des deux journalistes. Il s’agit de Trace Foundation, basée aux Etats-Unis, dont la chargée de Communication et des Relations publiques, Mme Gigi O’Connell a fait des lobbyings à Washington.
L’opposant togolais, « comprend parfaitement que les journalistes se sentent contraints de revenir sur leurs publications dans le but (…) » Au regard des intimidations dont font face souvent les journalistes.
Dieu donne à un peuple ce qu´il mérite. Le comportement du Togolais peut interroger et susciter des réactions sans réponses. Alors qu´il ne fait rien pour se libérer lui-même, il se livre seulement à des critiques à l´endroit de ceux qui prennent le risque de parler à sa place face à ce régime. Cet article est à l´endroit de ceux qui voient dans l´excuse demandée par Ferdinand Ayité et Joël Egah après leur libération, un aveu de faiblesse ou reconnaissance de faute, alors que ceux-là n´osent même pas parler face à ce régime à cause de leur égoïsme, individualisme ou opportunisme démesuré.
Pour être honnête, j’ai suivi cette vidéo avec une certaine tristesse, non que je sois opposé à ces excuses. Non. La contrition est un acte de grandeur du pénitent, qui ouvre la voie à l’absolution. S’excuser comme ils le font exige une hauteur d’esprit et je les en félicite.
Reporters Sans Frontières (RSF) a une nouvelle fois réagi à la libération des deux journalistes togolais arrêtés me mois dernier pour avoir “diffamé” certains membres du gouvernement. Cette fois, l’ONG basée à Paris appelle les dirigeants togolais à lever le contrôle juridique sur les collègues.
Les confrères Joël Egah et Ferdinand Ayité sont sortis de la prison civile de Lomé le 31 décembre passé. Ils sont placés sous contrôle judiciaire. Sur sa page Facebook, le Directeur de Publication du journal « L’Alternative » a fait une déclaration. Ferdinand Ayité se dit très déterminé à « être du côté de la vérité ». Lisez plutôt !
Ferdinand Ayité and Joël Egah, the two Togolese journalists arrested since December 10, 2021, were released on Friday December 31. A Conditional freedom.
Ce n’est plus un secret. Hier vendredi aux environs de 16 heures, les confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah ont recouvré leur liberté. Ils ont pu passer le réveillon de la Saint-Sylvestre avec leur famille.
Ce vendredi 31 décembre, la justice a décidé de leur mise en liberté provisoire. Les directeurs des journaux « L’Alternative » et « Fraternité », en effet sont placés sous contrôle judiciaire.
Plus les années passent et plus Faure Gnassingbé qui a fait le choix de s’éterniser au pouvoir comme son géniteur, sombre dans des dérives autoritaristes. Opposants, activistes, journalistes sont impitoyablement traqués, arrêtés et jetés en prison sans autres formes de procès. A la manœuvre, le Service central de recherches et d’investigations criminelles (SCRIC), la Brigade de recherches et d’investigations (BRI), des polices politiques de Faure Gnassingbé et bras obscurs des FAT, et la justice, le bras armé du régime.
Cette organisation internationale de défense de la liberté de la presse et la protection des sources des journalistes demande la libération des deux journalistes demande la libération des deux patrons de presse.
L’inculpation et la détention des confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah continuent d’indigner plus d’un. Me Raphaël Kpandé-Adzaré vient d’adresser une lettre ouverte aux « fidèles » des ministres-pasteurs plaignants dans cette affaire. « Vos pasteurs prêchent le pardon, mais ne peuvent pas eux-mêmes pardonner ! », leur a-t-il indiqué. Lisez plutôt !
Nouvelle émission de “La Voix du Peuple” sur la radio Avuleté. Le confrère Sylvain Amos et ses invités se prononcent sur la situation sociopolitique du Togo.
TOGO : Emprisonnement des journalistes, l’image du Togo sombre davantage au plan international
Après avoir décrypté l’actualité sociopolitique nationale dans l’émission «L’autre Journal», diffusée sur la chaîne YouTube du journal L’Alternative, il était clair que les journalistes Joël Egah et Ferdinand Ayité sont rentrés dans l’œil du cyclone de deux ministres du gouvernement Victoire Tomegah-Dogbé. Convoqués par la Brigade de Recherches et d’investigations (Bri) de la Direction Générale de la Police Nationale, puis présentés au Procureur de la République, le Directeur de Publication de votre Journal FRATERNITE et celui du bi-hebdomadaire L’ALTERNATIVE sont accusés, entre autres d’outrage aux représentants de l’autorité publique.
The directors of the newspapers L’Alternative et Fraternité, Ferdinand Ayité and Joël Egah, arrested since December 10, have been transferred to the civil prison in Lomé. The charges against them are “contempt of authority” and “spreading false words on social media”.
Emission “La Voix du Peuple” du 23 décembre 2021 sur la radio Kanal K. Invités, Me Elom Koffi Kpadé, Avocat des journalistes et Me Raphaël Kpande-Adzaré, 2ème Porte Parole du Front Citoyen Togo Debout.
Plaignant, non plaignant puis plaignant. Le rôle du ministre Kodjo Adédzé dans l’arrestation et la détention de Ferdinand Ayité et Joël Egah demeure toujours flou. La sortie du procureur de la République en rajoute à la cacophonie, signe d’une affaire montée de toutes pièces pour nuire à des voix dissidentes.
Les jours s’égrènent et le séjour de nos confrères Ferdinand Ayité et Joël Vignon Egah interpellés et mis sous mandat de dépôt depuis le 10 décembre, se rallonge dans l’une des cellules de la Brigade de Recherche et d’Investigations (BRI) dans le cadre d’une procédure judiciaire alambiquée.
L’arrestation des journalistes Ferdinand Ayité de L’Alternative, Joël Egah de Fraternité et de l’activiste handicapé Fovi Katakou continue de susciter de la réprobation, même au-delà des frontières. Samedi 18 décembre, ce sont des organisations de la société civile qui ont fustigé ces faits et réclamé la libération de ces compatriotes. Ces organisations appellent « la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples à exhorter le Togo à se conformer à ses obligations légales en vertu des instruments internationaux et africains des droits de l’homme, tels que le Pacte international relatif aux droits civils et politiques et la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples ». Lire ci-dessous la déclaration conjointe rendue publique à cet effet.
Déclaration conjointe sur l’escalade de la répression contre les journalistes et les activistes de la société civile au Togo.
Plaignant, non plaignant puis plaignant. Le rôle du ministre Kodjo Adédzé dans l’arrestation et la détention de Ferdinand Ayité et Joël Egah demeure toujours flou. La sortie du procureur de la République en rajoute à la cacophonie, signe d’une affaire montée de toutes pièces pour nuire à des voix dissidentes.
Le Togo est finalement devenu une tristesse infinie. Et un cauchemar sans fin pour une très grande partie de ses filles et fils.
L’interpellation jeudi de Ferdinand Ayité directeur de publication du journal L’Alternative, puis vendredi de Joel Egah patron du quotidien Fraternité et de Isidore Kouwonou, rédacteur en Chef de l’Alternative, par le Service de Recherche et d’Investigation (BIR) dans le cadre d’une procédure judiciaire basée sur le code pénal en lieu et place du code de la presse, qui a ensuite été soldée par l’emprisonnement des deux premiers dans l’après-midi du vendredi surpassé, motive la rédaction de la présente tribune.
Nouvelle édition de l’émission “La Voix du Peuple” du 14 décembre sur la radio “Avulété”. Au menu du débat, l’inculpation des journalistes Ferdinand Ayité, Joel Egah et Isidore Kouwonou.
Après la sortie du Procureur de la République Talaka Mawama, mercredi nuit sur la TVT, l’avocat des confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou était ce jeudi matin sur les antennes de Taxi FM, dans l’émission Taxi Média Show. Me Elom Kpade s’est prononcé sur le dossier et a surtout relevé que la poursuite contre les journalistes n’est fondée sur aucune base légale. A l’en croire, tout tourne autour de l’appellation de YouTube comme réseau social alors que ni le code de la presse, ni même le code pénal sur la base duquel on poursuit les confrères, n’a défini ce qui est appelé réseau social. Voici la transcription de son intervention.
Le procureur de la République près le tribunal de Lomé fait une intervention dans les JT de 20 heures de TVT ce mercredi15 décembre pour se prononcer sur l’arrestation des trois journalistes dont deux sont placés sous mandat de dépôt.
Après les confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah, c’est au tour du confrère Isidore Kouwonou d’être auditionné par le doyen des juges d’instruction du tribunal de Lomé.
Les suites de l’interpellation et de la détention vendredi dernier, des journalistes Ferdinand Ayité et Joël Egah, respectivement directeurs de publication du journal ‘L’Alternative et Fraternité, ne sont ni reluisantes ni glorieuses pour notre pays le Togo. Le monde des médias à l’international, des organisations les plus crédibles de défense des droits humains, des acteurs politiques au plan national se sont dressés comme un seul homme contre cet acte maladroit qui participe à nouveau sombrer davantage, l’image de ce petit pays de l’Afrique de l’Ouest.
Dans un communiqué rendu public lundi, le Mouvement patriotique du 5 Octobre (MO5) a réagi par rapport à l’inculpation et la détention des journalistes Ferdinand Ayité, Joël Egah. L’organistion y a également évoqué le cas de l’activiste Fovi Katakou et exige par ailleurs, leur libération immédiate.
Les réactions fusent de partout suite à l’inculpation des trois confrères : Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou. Sur son compte Twitter, Me François Boko monte au créneau. L’ancien ministre dénonce une instrumentalisation de la justice togolaise à des fins de règlement de comptes.
L’audition des confrères Ferdinand Ayité et Joël Egah ce mardi au Tribunal de Lomé n’a rien donné. Les deux confrères sont toujours sous mandat de dépôt.
Dans un communiqué, le Syndicat National des Journalistes Indépendants du Togo (SYNJIT) dénonce l’acharnement de la justice togolaise contre les confrères journalistes Ferdinand Ayité et Joël Egah. Il plaide pour leur libération et la levée du contrôle judiciaire à l’encontre d’Isidore Kouwonou. Lecture.
C’est désormais établi, Ferdinand Ayité directeur de publication du journal L’Alternative et Joel Egah, patron du quotidien Fraternité sont sous le coup d’un mandat de dépôt pendant que Isidore Kouwonou, rédacteur en Chef de l’Alternative, est sous contrôle judiciaire. Les deux premiers ont été conduits mardi pour être écoutés au fond du dossier initié sur la base d’une procédure judiciaire en lien avec le code pénal, en lieu et place du code de la presse. Ceci fait la suite à une mystérieuse plainte d’au moins un membre du gouvernement en l’occurrence, le ministre de la justice, garde des sceaux, patron du parquet. Ce dernier aurait piqué une vive colère contre les confrères qui, au cours d’une émission de la chaîne numérique l’Autre Journal, ont tenu des propos que le plaignant considère comme outrageants et diffamatoires à son encontre.
Les journalistes Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou sont actuellement devant le juge d’instruction. Tous les accès aux Tribunal de Lomé sont bloqués par les forces de l’ordre et de sécurité.
Les confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou seront de nouveau au tribunal ce mardi. Ils seront auditionnés ce matin par le juge d’instruction au fond du dossier dans lequel ils sont inculpés.
Selon Amnesty International, l’interpellation et l’arrestation des journalistes togolais Ferdinand Ayité et Joël Egah constituent “une atteinte à leur droit à la liberté d’expression”. Voici la publication de cette ONG sur le sujet.
New York, December 13, 2021 — Togolese authorities should immediately release journalists Ferdinand Ayité and Joël Egah and halt legal harassment of Isidore Kouwonou, the Committee to Protect Journalists said today.
Comité pour la protection des journalistes (CPJ) s’est une nouvelle fois joint au combat pour la libération des confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et la levée du contrôle judiciaire d’Isidore Kowonou.
Dans un communiqué, le parti les Forces Démocratiques pour la République (FDR) s’est prononcé sur les mandats de dépôt décernés contre Ferdinand Ayité et Joël Egah et la mise sous contrôle judiciaire de Isidore Kouwonou. La formation politique de Me Apévon Dodji dénonce un acharnement contre ces journalistes et une instrumentalisation de la justice togolaise par le pouvoir en place. Lecture.
Dans un communiqué, la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) monte au créneau et dénonce l’acharnement contre les journalistes Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou et l’activiste Fovi Katakou. Elle exige leur libération. Lecture.
« Nous avons suivi avec passion les récentes événements sur l’inculpation des journalistes Ferdinand Ayité et Joël Egah. Sans toutefois chercher à commenter et à s’immiscer dans la procédure judiciaire, nous plaidons pour une clémence en faveur des deux journalistes », demande Innocent Kagbara à travers un post sur sa page Facebook.
Le confrère Maxime Domegni n’est plus à présenter. Sur sa page Facebook, l’ancien Rédacteur en chef du journal “L’Alternative” réagit par rapport à la décision du Procureur de la République au sujet de ses amis et collègues: Ferdinand Ayité, Joel Egah et Isidore Kouwonou. Lisez plutôt!
Le journaliste Abdoul Akondo demande la libération des confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou.
Agbéyomé Kodjo, Brigitte Adjamagbo-Johnson, Djimon Oré, des chefs de parti gardés à vue ou en prison. C’est au tour de Ferdinand Ayité, journaliste d’investigation et son confrère Joël Egah d’être jetés en prison.
Le Consortium des journalistes d’investigation du Togo (CO.J.I.TO) s’indigne contre la “détention arbitraire” des journalistes Ferdinand Ayité, Directeur de publication du journal l’Alternative, et Joël Egah, Directeur de publication de Fraternité. Les deux confrères sont actuellement placés sous mandat de dépôt pour “propagation de propos mensongers” après convocation à la Brigade de Recherches et d’investigations (BRI) . Aussi, le Rédacteur en chef de l’Alternative, Isidore Kouwonou, concerné par l’affaire, est sous contrôle. Une situation que dénonce le COJITO dans un communiqué et exige que les confrères soient élargis et que la décision prononcée contre le troisième soit purement et simplement annulé.
L’organisation internationale ayant l’objectif de sauvegarder le droit à la liberté presse, Reporters Sans Frontières RSF, demande au autorités togolaises de respecter la dépénalisation des délits de presse et de procéder à la libération du journaliste Ferdinand Ayité.
L’affaire prend une autre tournure. Les confrères Ferdinand Ayité, Joel Egah et Isidore Kouwonou sont actuellement chez le Procureur de la République pour être écoutés.
Gardé à vue depuis hier à la Brigade de recherches et d’investigations (BRI) où il a été soumis à un interrogatoire, le Directeur du bihebdomadaire L’Alternative, Ferdinand Ayité sera placé en cellule dans la matinée de ce vendredi 10 décembre 2021.
The Chief editor of the newspaper “L’Alternative” Ferdinand Ayité remained in police custody at the Brigade de Recherches et d’Investigations (BRI) of the Togolese National Police, the newspaper announced on Thursday evening.
Notre confrère et ami, Ferdinand Ayité a été interpellé jeudi par la brigade de recherche et d’investigation (BIR), sur plainte semble-t-il, de certaines personnes haut perchées de l’appareil directionnel de notre pays. Son binôme, Joël Egah avec qui il a co-animé l’émission incriminée, serait lui- aussi convoqué pour aujourd’hui vendredi dans le même bureau où le premier a été gardé la veille.
Quand il dénonce une corruption de 500 milliards de francs cfa, un fait confirmé par l’Inspection Générale des Finances, la justice le condamne.
Ferdinand Ayité, Directeur de publication du journal “L’Alternative” est actuellement dans les locaux de la Brigade de Recherches et d’investigations (BRI) à Lomé.