Sénégal – Macky Sall dépose plainte contre la diffusion de faux documents financiers
L’ancien président sénégalais, Macky Sall, a déposé une plainte le dimanche 23 décembre auprès du procureur de la République près…
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L’ancien président sénégalais, Macky Sall, a déposé une plainte le dimanche 23 décembre auprès du procureur de la République près…
Le gouvernement sénégalais a annoncé avoir facilité la libération d’une ressortissante sénégalaise, Aïssa Kamara, interpellée au Maroc à la suite…
Est-il possible d’organiser des élections présidentielles dans les 30 prochains jours et élire un successeur à Macky Sall avant la fin de son mandat ? C’est cette équation à paramètre variable qu’a créé la décision de report annoncé par le Chef de l’Etat sénégalais puis annulée par le Conseil Constitutionnel.
En annonçant le report des présidentielles prévues pour le 25 Février de cette année, Macky Sall a créé un imbroglio sans précédent dans son pays. Ses déclarations face à la presse, de ne pas rester au pouvoir au-delà de la date d’expiration de son mandat, ne rassure guère.
Après les multiples rebondissements autour de l’organisation des présidentielles devant élire le successeur de Macky Sall, les sénégalais attendent avec impatience la nouvelle date à laquelle ils seront conviés aux élections. La Présidence annonce un face-à-face de Macky Sall avec les médias ce jeudi soir.
Au lendemain de l’annulation du report de la présidentielle par le Conseil constitutionnel, le président du pays déclare dans un communiqué s’engager à mener « sans tarder les consultations nécessaires pour l’organisation de l’élection présidentielle dans les meilleurs délais».
Alors qu’il avait annoncé sa volonté de ne pas briguer un 3ème mandat à la tête du Sénégal et désigné l’actuel Premier Ministre Amadou Bâ comme son candidat aux présidentielles, Macky Sall pose ces derniers jours des actes qui s’apparentent à un rétropédalage. A-t-il vraiment réussi à s’exorciser des démons du 3ème mandat ?
La situation politique créée par le report des élections au Sénégal continue de susciter des réactions à travers tout le monde entier. Cette fois-ci, ce sont les anciens Chefs d’Etat, Abdoul Diouf et Abdoulaye Wade qui interpellent toute la classe politique sénégalaise sur l’impérieuse nécessité de « préserver la stabilité légendaire » du pays.
Les États-Unis ne restent pas insensibles à la crise politique en cours au Sénégal. Dans une déclaration faite le mardi 13 février 2024, le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a exhorté le Sénégal à organiser des élections “dans les plus brefs délais”.
Depuis la décision de report des élections présidentielles par Macky Sall, une décision entérinée dans des conditions ubuesques par une Assemblée Nationale épurée des députés de l’opposition, la tension ne baisse pas au Sénégal. Une manifestation prévue ce mardi par un collectif d’organisations non étatiques est interdite par le pouvoir en place.
Macky Sall a passé toute son année de président en exercice de l’Union Africaine, de février 2022 à février 2023, pour donner des gages de fidélité au camp des Etats-Unis, allant jusqu’à démontrer aux yeux du monde que Vladimir Poutine était en train d’affamer tout un continent, pour mieux consolider la narration mensongère du camp occidental, pour convaincre la population d’accepter le financement de l’engagement militaire indirect de l’Otan en Ukraine.
La célérité des évènements ayant conduit au report des élections présidentielles au Sénégal fait penser à un coup préparé et mûri. Avec un Karim Wade, peint en toile de fond, comme victime d’un complot du Conseil Constitutionnel, Macky Sall s’octroie dix (10) mois de plus à la Présidence de la République Sénégalaise. Mais à qui profite véritablement ce report ?
L’interruption brutale du processus électoral au Sénégal en 2024 est aussi une conséquence directe de cette forfaiture togolaise cautionnée par la CEDEAO il y a vingt ans
La démocratie sénégalaise connait ses plus sombres heures en ce moment où le président Macky Sall semble plus que jamais déterminé à garder le pouvoir malgré que son mandat arrive très prochainement à sa fin. Le Chef de l’Etat sénégalais a vite oublié les propos tenus par sa propre personne sur une éventuelle prolongation du mandat de Président de la République.
Pour faire passer le projet de loi prorogeant la fin de son mandat à l’Assemblée Nationale, le président sénégalais a dû faire recours aux forces de sécurité qui ont franchi le seuil du Parlement afin d’évacuer de force les députés de l’opposition.
Depuis ce dimanche après-midi, le Sénégal revit des scènes de manifestations publiques caractérisées par des violences et répressions à l’image de celles qu’avaient connu plusieurs villes du pays lors du feuilleton judiciaire de l’opposant Ousmane Sonko. Pour cause, la décision du Chef de l’Etat Macky Sall de reporter les élections présidentielles.
A la veille du début des campagnes pour l’élection de son successeur le 25 Février prochain, le président sénégalais Macky Sall a décidé de reporter sine die la date retenue pour permettre à ces concitoyens d’exprimer librement leur choix. Mais 19 des 21 candidats retenus annoncent déjà le début de leurs campagnes malgré le décret présidentiel.
La Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a émis un communiqué en réaction à la décision du Sénégal de reporter l’élection présidentielle, à l’origine prévue pour le 25 février 2024.
Lors de son allocution aux sénégalais ce samedi 03 Février 2024, le Chef de l’Etat Macky Sall a annoncé l’abrogation du décret présidentiel portant convocation du corps électoral pour le 25 Février prochain.
Quelques jours après que la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) du Sénégal ait demandé à la Direction Générale des Elections (DGE) de réintégrer l’opposant Ousmane Sonko sur les listes électorales, le Chef de l’Etat Macky Sall a tout simplement mis fin au mandat de douze (12) membres de ladite commission.
Quittant Paris où il a rencontré Emmanuel Macron, le président sénégalais Macky Sall a fait un arrêt ce samedi 28 Octobre 2023 à Abidjan pour s’entretenir avec son homologue ivoirien Alassane Ouattara. Sur le sujet du Niger, les deux hommes ont été particulièrement silencieux.
Le chef d’Etat sénégalais Macky Sall s’est prononcé suite à l’incendie meurtrier qui coûté la vie à une trentaine de personnes et occasionné d’importants dégâts matériels samedi dernier au Bénin.
En marge de l’Assemblée Générale de l’ONU qui se tient cette semaine au siège de l’Institution à New York, le Chef de l’Etat sénégalais a accordé une interview aux confrères de RFI et France 24. Une occasion pour le président Macky Sall de revenir sur l’actualité politique de son pays, notamment la dissolution du parti de son principal opposant, Ousmane Sonko.
Le Chef de l’Etat Sénégalais, Macky Sall a enfin levé le mystère sur le choix de son poulain pour les présidentielles de février 2024. Il s’agit simplement de l’actuel Premier Ministre du gouvernement Amadou Ba qui membre de l’Alliance Pour la République (APR), parti fondé en 2008 par Macky Sall.
Il faisait partie de l’expédition africaine en Ukraine et en Russie dont l’objectif fut de restaurer la paix entre ces deux pays en conflit. Mais dès qu’il s’agit de ses proches voisins, Macky Sall semble perdre cette fibre pacifique, se déclarant prêt à une guerre inopportune au Niger.
Le Chef de l’Etat burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré a marqué la deuxième édition du sommet Russie-Afrique tenu à Saint-Pétersbourg les jeudi et vendredi dernier par un discours inédit qui continue de faire écho sur le vieux continent. Tout le contraire du sénégalais Macky Sall qui a cru devoir répondre au jeune capitaine.
Après le Parti Socialiste, c’est au tour de la coalition Grande Offensive Républicaine (GOR) de montrer sa désapprobation sur la carte blanche donnée par la coalition Benno Bokk Yakaar au président Macky SALL pour choisir le prochain candidat de la coalition.
Le Front Citoyen Togo Debout (FCTD) apprécie la démarche politique de l’actuel président sénégalais Macky Sall qui a renoncé à un 3ème mandat. Saluant la détermination du peuple sénégalais, l’organisation invite la CEDEAO à “réformer son protocole additionnel”.
L’association Tournons La Page (TLP) est un mouvement réunissant des acteurs des sociétés civiles africaines soutenus par des organisations européennes dont l’objectif est la promotion de l’alternance démocratique en Afrique, en menant des actions pacifiques et non partisanes.
Un opposant sénégalais est en garde à vue jeudi après avoir publiquement mis en doute le retrait du président Macky Sall, qui a annoncé lundi qu’il ne briguerait pas un troisième mandat en 2024, a indiqué son avocat à l’AFP.
Le Sénégal vient de donner une nouvelle leçon de démocratie à ses voisins, et au delà au monde entier. Après la première alternance réussie en 2000, qui verra le président Abdou Diouf accepter sa défaite face à Me Abdoulaye Wade, vingt ans après avoir hérité le pouvoir du président poête Léopold Sédar Senghor, puis la victoire historique de Macky Sall en 2012 face à son ancien mentor, voici qu’une nouvelle page s’ouvre pour ce pays frère cité en exemple pour la maturité de sa classe politique.
Très attendu par les Sénégalais et par l’Afrique toute entière en général, le président Macky Sall a finalement annoncé lundi soir dans son discours à la nation qu’il ne se présentera pas à la présidentielle de 2024 pour un troisième mandat. Une bouffée d’oxygène pour la démocratie sénégalaise qui a pris un coup ces derniers temps à cause des événements politiques qui ont coûté la vie à plusieurs Sénégalais et fait des dégâts matériels importants.
Si le président Macky Sall est au cœur de l’actualité africaine pour avoir su redorer son blason et sauver par conséquent la démocratie sénégalaise, on ne peut pas manquer de faire un parallèle avec des cas similaires comme le Togo, la Côte d’ivoire etc… Mais depuis plus de 24 heures déjà, le silence gardé par les chefs d’Etats africains montrent que la pilule « Sall » ne passent pas.
Le président Macky Sall a pris la majorité des acteurs politiques de son pays au revers en annonçant ce 03 Juillet 2023 qu’il ne se présentera pas aux prochaines élections présidentielles en vue d’exercer un 3ème mandat. Alors que tous les signaux antérieurs envoyés par le Chef de l’Etat sénégalais étaient en faveur d’une position contraire, il est judicieux de se demander s’il arrivera à tenir parole.
Le chef de l’Etat sénégalais Macky Sall ne se représentera pas en 2024, a-t-il déclaré dans un discours lundi, mettant fin aux rumeurs selon lesquelles il briguerait un troisième mandat. L’annonce de cette décision hier soir a évidemment suscité diverses réactions à travers le continent. Voici quelques commentaires de certains dirigeants africains.
Cette fois-ci c’est officiel. Et c’est l’intéressé lui-même qui l’annonce solennellement. Macky Sall ne va pas briguer un troisième mandat en février 2024. L’opposition réagit, certains en demandent davantage.
Le discours était fébrilement attendu, les attentes, il est vrai, étaient importantes, que dis-je, vitales pour l’avenir d’une démocratie longtemps montrée en exemple mais, hélas, chahutée ces derniers temps par des pratiques d’un autre temps. Fin d’un suspense pesant sous un ciel lourd d’hivernage, présage de bonnes récoltes.
Le Chef de l’État Sénégalais, Macky Sall vient de surprendre ses opposants dans son discours de ce lundi 03 juillet 2023 avec l’annonce de sa volonté de ne pas prendre part à l’élection présidentielle prochaine.
Empêché de tout mouvement par un blocus policier sur les périmètres de sa résidence à Dakar, l’opposant sénégalais Ousmane Sonko a utilisé l’un de ses canaux favoris, les réseaux sociaux, pour s’adresser à ses concitoyens. Il reste et demeure virulent à l’égard d’une éventuelle candidature de Macky Sall aux prochaines élections présidentielles.
« L’enjeu est double. Il s’agit de préserver la démocratie et de ne pas permettre aux hommes qu’elle porte au pouvoir de s’amuser avec les règles du jeu quand et comme bon leur semble. »
Les conclusions du dialogue national initié par le président Macky Sall au Sénégal révèlent peu ou prou la stratégie politique de celui-ci pour isoler son challenger principal, Ousmane Sonko. Le statut de certains leaders non négligeables de l’opposition comme Idrissa Seck, Karim Wade ou encore Khalifa Sall sera revu et renforcé au détriment du jeune maire de Ziguinchor.
Cette fois-ci, ce n’est pas le Mali, ce n’est pas le Burkina non plus, c’est le Sénégal. Un pays de référence reconnu pour la solidité relative de sa démocratie en Afrique de l’Ouest. Il est même considéré comme une digue démocratique de la sous-région. Ça l’est en effet, au regard de la succession des forcings constitutionnels ouvrant la voie aux 3e et 4e mandats, comme au Togo où Faure Gnassingbé a eu la malheureuse idée d’initier cette pratique, en Côte d’Ivoire et en Guinée.
Après avoir participé à la tentative de médiation africaine pour la fin du conflit Russie – Ukraine, le Chef de l’Etat sénégalais est resté en Europe, faisant un crochet précisément en France pour le sommet « sur un nouveau pacte financier mondial ». Macky Sall était devant ses partisans ce 21 Juin 2023 à Paris où il a fait des déclarations allant dans le sens de sa candidature aux présidentielles de 2024.
Les leaders des deux camps qui cristallisent la tension sociopolitique au Sénégal semblent être opposés à toute forme de dialogue sur les sujets au cœur desdites tensions. Alors que plusieurs médias locaux évoquaient l’envoi d’un émissaire par Ousmane Sonko vers Macky Sall, le parti politique de l’opposant et l’émissaire en question démentent toute approche de dialogue initiée par le leader du Pastef.
Emission la Voix du Peuple du samedi 10 juin 2023 sur la radio Avuleté. La crise sociopolitique sénégalaise au menu du débat.
De Léopold Sédar Senghor à Macky Sall, en passant par Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, les pouvoirs ne font pas de cadeaux aux adversaires, au Sénégal.
Les observateurs de la scène politique sénégalaise s’accordent à dire que l’allié fondamental du président Macky Sall pour se débarrasser de ses adversaires politiques gênant est la justice. Alors que Dakar, Ziguinchor et d’autres villes se relèvent lentement des violences liées à la condamnation d’Ousmane Sonko, la plaignante dans ce procès vient de faire appel du jugement.
Parmi les éléments qui attisent la tension sociopolitique au Sénégal, il y a incontestablement le silence gardé par Macky Sall sur ses intentions de briguer ou non un 3ème mandat à la tête du pays. Cette situation est en passe de connaître son dénouement car ce dernier a indiqué en Conseil des Ministre tenu hier qu’il s’adressera à la Nation dès réception des conclusions du dialogue initié par lui-même.
Le Forum de Niamey condamne avec la plus grande fermeté les dérives du régime du Président Macky SALL et les répressions. Dans une déclaration rendue publique dimanche, le Forum invite le chef d’Etat sénégalais à mettre en avant l’intérêt du peuple sénégalais.
La crise sociopolitique que traverse le Sénégal ne laisse personne indifférent. Des voix s’élèvent et accusent ouvertement Macky Sall. A Lomé, des défenseurs des droits humains mettent en garde le président sénégalais qui ambitionne briguer un 3em mandat.
Le Chef de l’Etat sénégalais s’est prononcé sur les violences répétitives qui secouent le pays, et qui sont liées au feuilleton judiciaire mettant en scène l’opposant Ousmane Sonko (principal accusé) et d’autres citoyens avec divers chefs d’accusation. Macky Sall s’est montré très ferme sur le sujet dans son intervention au dialogue national ouvert hier mercredi.
Ce mercredi 31 Mai 2023, deux dialogues politiques doivent s’ouvrir dans la capitale sénégalaise. L’un dénommé « dialogue national » est organisé sous l’initiative du Chef de l’Etat Macky Sall au palais présidentiel, et l’autre nommé « dialogue du peuple » est initié par l’opposition regroupée dans la coalition « F24 ».
Annoncé par le Chef de l’Etat sénégalais, Macky Sall, quelques semaines plus tôt, un dialogue national va s’ouvrir ce 30 Mai 2023 entre les acteurs politiques du pays. Le menu de ces discussions ainsi que son objectif n’étant pas concrètement précisés, plusieurs poids lourds ont déjà décliné cette invitation du gouvernement.
Ravi de la prestation des jeunes Sénégalais, Macky Sall salue un « Parcours héroïque ponctué par une finale époustouflante ». « Bravo chers Lionceaux ! Nous sommes fier de vous. Vive le Sénégal ! », a-t-il écrit dans un tweet.
Nous sommes tous d’avis, que l’opposant charismatique, Ousmane Sonko a eu un différend juridique avec un des ministres de Macky Sall, notamment celui du tourisme où il est question de diffamation.
Le débat sur le potentiel troisième mandat du président du Sénégal, Macky Sall, fait toujours couler de l’encre. “Là où il n’y a pas de problème, on n’a pas besoin de dialoguer”, affirme le leader de l’opposition Sénégalaise, Ousmane Sonko, selon des propos rapportés par l’Agence de Presse Sénégalaise. L’adversaire de Sally explique davantage pourquoi il ne veut pas dialoguer avec le pouvoir en place.
Le Chef de l’État Togolais Faure Essozimna Gnassingbé, a reçu ce mardi 18 avril à Lomé, un envoyé spécial de son homologue Sénégalais, Macky Sall. Il s’agit du ministre d’Etat du Sénégal, Dr Cheikh Kanté.
Elle a pris corps ce 16 Avril 2023 à Dakar et est dénommée « F24 » en référence aux prochaines élections présidentielles de Février 2024 pour lesquelles le Chef de l’Etat actuel Macky Sall souffle le chaud et le froid en demeurant flou sur sa volonté de briguer un 3ème mandat à la tête du Sénégal.
Dans son allocution à la nation sénégalaise en prélude aux festivités marquant le 63ème anniversaire de l’accession du pays à l’indépendance, le Président Macky Sall est revenu sur le climat politique délétère qui règne actuellement sur le territoire national. Entre autres solutions, il propose à la classe politique un dialogue.
Le président Macky Sall s’est adressé à ses compatriotes ce mardi 4 avril, à l’occasion du 63è anniversaire de l’indépendance du Sénégal, omettant de dire s’il sera briguera un 3è mandant ou non.