Burkina Faso-Plusieurs terroristes neutralisés dans Loroum
Au Burkina Faso, l’armée a repoussé lundi une attaque terroriste dans la province de Loroum. Les Forces combattantes du Burkina…
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Au Burkina Faso, l’armée a repoussé lundi une attaque terroriste dans la province de Loroum. Les Forces combattantes du Burkina…
Les fugitifs, dont le Mauritanien Saleck Ould Cheikh Mohamedou, réputé très dangereux et condamné à mort, ont été tués au cours d’une opération qui s’est déroulée dans la nuit de vendredi à samedi.
Il y a quelques semaines, ils n’étaient que des centaines. Aujourd’hui, on apprend que plus de 1 000 togolais ont fui la région des savanes, visée par des attentats terroristes, pour se réfugier au Bénin
«L’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas que l’on s’apitoie sur son sort. Cet esclave répondra seul de son malheur s’il se fait des illusions sur la condescendance suspecte d’un maître qui prétend l’affranchir. Seule la lutte libère.» (Thomas Sankara)
Les assaillants arrivés à motos et à bord des véhicules 4×4 le commissariat de police de Makalondi, a rapporté dimanche rfi sur son site internet.
En raison de l’Etat d’urgence sécuritaire décrété au nord du Togo, le ministre togolais en charge de l’Administration territoriale, Payadowa Boukpéssi, veut désormais garder un œil sur les activités qu’entreprennent les ONGs et associaions dans la région des Savanes, Kara et Centrale.
“Aucune perte en vie humaine et la situation est sous contrôle”, lit-on sur le compte Twitter des Forces armées maliennes.
Selon les informations relayées par des médias béninois, une tentative d’attaque d’individus armés aurait été déjouée ce 28 Février 2023 par les militaires au Nord du pays, plus précisément à Gouandé, dans la commune de Materi près de la frontière entre le Togo et le Bénin.
A cause de la situation d’insécurité ans la zone septentrionale du Togo, les américains interdisent à leurs ressortissants de s’y rendre.
Il s’agit d’un bilan encore provisoire, précise l’État-major général des Armée du Burkina Faso.
Le clap de fin du 36ème sommet de l’Union Africaine a eu lieu ce dimanche 19 Février 2023 à son siège dans la capitale éthiopienne. Cette réunion a été l’occasion pour les Chefs d’Etats africains de répondre aux sollicitations de levées de sanctions formulées il y a peu par le trio Burkina Faso, Mali et Guinée en proie à une incontrôlable nébuleuse djihadiste.
Le bilan fait état deux VDP tombés et sept autres blessés. Côté ennemi, une vingtaine d’assaillants ont été neutralisés, leur matériel récupéré, a rapporté Oméga Médias citant des sources sécuritaires.
« Dans toute nation, l’armée joue son propre rôle. Les civils aussi jouent le leur. Mais pour les questions d’intérêt sécuritaire, ils peuvent collaborer. Mais, les civils ne vont pas se battre à la place de l’armée. »
La nouvelle attaque terroriste se déroule dans la nuit de ce vendredi à samedi toujours au nord du pays. Bilan : 31 morts. Aucune information officielle ne filtre sur l’évènement tragique.
Des “criminels” ont tenté de faire sauter un pont dans une région du nord du pays en proie à des tensions communautaires, a indiqué le gouvernement, craignant qu’une escalade de la violence ne profite aux groupes jihadistes du Burkina Faso voisin.
De passage dans la zone, un charretier civil y a trouvé la mort également. Le bilan fait état également de 03 blessés et 02 véhicules détruits.
D’abord, ils les personnes qui se trouvaient dans la mosquée. Ensuite, ils ont essayé de les détourner de leur foi à travers des prêches. Alors que l’imam a manifesté son refus, il a été tué devant les fidèles. Huit autres personnes ont été exécutées également.
Côté assaillants, la perte a été un peu plus grande. D’après l’armée, 31 terroristes ont été neutralisés, pendant qu’un autre blessé a été récupéré.
Sept djihadistes ont été neutralisés, a indiqué l’armée malienne, qui déplore, malheureusement, la mort de trois soldats au cours des combats.
Ce leader terroriste contrôlait un territoire qui part de « Toéni (dans le Sourou) jusqu’à Solenzo (dans les Banwa) », d’après toujours la même source, a été tué le 19 décembre dernier.
La Communauté Economique Des Etats de l’Afrique de l’Ouest se réunit en sommet ordinaire ce dimanche 4 Décembre 2022 à…
La brigade de gendarmerie, le poste de police et la maison d’arrêt et de Correction ont été visés. L’attaque a été repoussée.
Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM), la branche d’Al-Qaïda au Sahel et dans une grande partie de l’Afrique de l’Ouest, s’est attribué le mérite de la dernière attaque contre les forces togolaises à la fin de la semaine dernière.
De sources médiatiques béninois citant un enseignant proche de la zone des combats, les échanges de tirs entre l’armée qui résiste et le groupe d’hommes armés non identifiés seraient en cours. Le bilan serait déjà d’un mort.
Selon un communiqué ce samedi de l’État-major général des armées, l’incident s’est produit « ce vendredi 25 novembre
2022 sur l’axe Bourzanga-Kongoussi lors du retour d’une mission d’escorte sur
Djibo », lit-on.
Les assaillants ont dû prendre la fuite devant la puissance de feu des militaires béninois. Si aucun bilan officiel n’est établi pour l’instant, le journal béninois en ligne, parle toutefois d’un militaire légèrement blessé.
Publiée mercredi, puis relayée sur les réseaux sociaux, l’information a très rapidement fait réagir le gouvernement du Faso qui a démenti formellement soutenant « avec force qu’il n’a jamais été question de déployer des troupes étrangères sur le sol burkinabé », lit-on.
Les échanges de tirs entre l’armée et les assaillants ont duré environ une heure. Le bilan fait état d’aucune victime humaine au sein de l’armée, souligne le journal béninois en ligne sans précision de ce qui en est du côté des assaillants.
À en croire l’alliance antiterroriste intergouvernementale de pays du monde musulman, la présence sur les réseaux sociaux des enfants les expose aux groupes terroristes.
À la fermeture des classes, le 31 mai 2022, le Burkina Faso « enregistrait 4 258 écoles fermées dans 47 de ses communes. Ces chiffres ont évolué en cette rentrée scolaire avec 4 609 écoles fermées dans 76 communes (données du 7 octobre 2022) pour cause d’insécurité du fait d’attaques terroristes », renseigne l’AIB.
Afin de couper cette source de financement aux terroristes, la Coalition militaire islamique contre le terrorisme (CIMCT) conseille au public d’arrêter de « sympathiser avec les mendiants, les signaler aux autorités compétentes, puis effectuer les dons via les plateformes autorisées ».
L’attaque a eu lieu le matin du lundi 24 octobre 2022, selon l’armée qui parle de « 10 militaires tombés au cours des combats et une cinquantaine de blessés qui ont été pris en charges ».
La Norvège a introduit mardi de nouveaux avis de voyage à l’intention de ses citoyens résidant ou visitant notamment le Bénin, le Togo, le Burundi et la Tunisie.
Ces hommes armés non identifiés, rapportent plusieurs journaux béninois en ligne, se sont heurtés aux positions des Forces de défense du Bénin. Les échanges de tirs ont duré une quinzaine de minutes avant le retour au calme.
Les FAT ( forces armées togolaises), d’abord surprises par les attaques meurtrières des localités frontalières avec le Burkina, contre les civils et les hommes des leurs rangs, sont désormais à l’offensive.
Des hommes armés non identifiés ont brûlé les matériels des agents de douanes, tué deux personnes.
Les Togolais peuvent appeler pour signaler « tout mouvement ou toute activité suspecte ». Le gouvernement a rendu public 10 numéros verts, 05 par région.
A en croire toujours AIB, mais aussi Oméga Médias, Albert Ouédraogo a souligné que les renseignements ont pu identifier le profil des terroristes présents au Burkina.
Une source, souligne l’AIB, raconte que les hommes armés non identifiés ont d’abord brûlé des installations de réseaux téléphoniques (matériels et pylônes). Ensuite, ils ont pris la direction de Balavé. Ils étaient arrivés sur de petites motos.
« J’ai perdu des êtres qui étaient pour moi, sources de soleil. Ce soleil a été mis en terre. Apparemment mis en terre. Moi je continue à en recevoir des rayons » (Christian Bobin)
Hier, c’était au nom de la Covid-19 que le régime togolais interdit toutes manifestations publiques pacifiques, et donc les activités des partis politiques de l’opposition. Aujourd’hui, le même régime prend prétexte sur le terrorisme pour empêcher les rassemblements ou manifestations politiques de l’opposition, violant ainsi les droits fondamentaux et élémentaires à la liberté de manifestation. C’est un constat que font les Forces Démocratiques pour la République (FDR) devant les médias ce mercredi.
Madame le Premier Ministre du Togo a rencontré hier des partis politiques (y compris des opposants) dans le but de sceller un « pacte patriotique » en vue de lutter ensemble contre le terrorisme. C’est une bonne démarche.
Le gouvernement a réuni les représentants des partis politiques à la Primature, jeudi 4 août, pour plaider l’unité nationale face à l’insécurité grandissante, dans le nord du pays. Certains partis n’avaient pas été conviés, mais plus de vingt formations étaient représentées, et la réunion a duré 5 heures.
La ministre des Armées a signé un arrêté précisant la nomination du Lieutenant-colonel Latiembé Kombaté à la tête de la Force de l’Opération Koundjoaré.
Sur invitation du Premier ministre, la Dynamique Mgr Kpodzro (DMK) se rend à la Primature ce jeudi pour participer à une réunion sur le terrorisme.
À la mi-juillet, des attaques d’une ampleur inédite ont frappé le pays, qui tente depuis de revoir son dispositif sécuritaire pour contenir la menace venue du Nord.
Mukhtar Robow, un ancien dirigeant des Shebab est nommé ministre, occupant désormais le département des Affaires religieuses dans le nouveau gouvernement incarné par le Premier ministre Hamza Abdi Barre.
«Le fond du problème du terrorisme, c´est l´injustice, la pauvreté, l´exclusion. Il faut le traiter en supprimant ces causes.» De Francis Ford Coppola / Le Figaro Janvier 2015.
Le chef de l’Etat togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, a reçu jeudi son homologue ghanéen, Nana Addo Dankwa Akufo-Addo. Cette rencontre a été marquée par un entretien entre les deux dirigeants sur les questions bilatérales et multilatérales. Ils en ont profité pour interpeller la communauté internationale sur la situation sécuritaire en Afrique de l’ouest
Les autorités du Bénin et du Togo doivent veiller à ce que les droits humains soient respectés dans le cadre de la lutte contre les groupes armés, a déclaré Amnesty International le 27 juillet alors que des informations font état d’arrestations et détentions arbitraires et de violations des droits à la liberté de réunion pacifique et d’expression, et alors que le président Emmanuel Macron effectue une visite au Bénin les 27 et 28 juillet 2022.
Le véhicule endommagé a été retrouvé mercredi matin. Il a marché sur un engin explosif improvisé (EEI) lors de son passage, a rapporté mercredi 24 Heures au Bénin.
A Sokolo le bilan, dit l’armée, fait état de 06 militaires tués, 25 autres blessés dont 05 graves évacués dans un centre de santé, 48 assaillants neutralisés, 03 pick-up détruits, des armes et des matériels récupérés.
Elle est survenue « tôt ce matin, mercredi 27 juillet 2022, sur les postes FAMa de Kalumba, non loin de Mourdiah, région de Nara et celui de Sokolo, à proximité de Diabaly dans la région de Ségou », vient d’indiquer dans un tweet l’armée promettent de revenir pour plus de détails.
Les assaillants, précise l’armée, ont été mis en déroute. Aucune perte en vie humaine ni de dégâts matériels au niveau des Forces armées maliennes.
La Commission de la Communauté Economique des Etats de l’ Afrique de l’ Ouest ( CEDEAO ) “ condamne dans les termes les plus forts” les attentats terroristes perpétrés avec des engins explosifs aux premières heures du 22 juillet 2022 , sur la base militaire de Kati près de Bamako.
Selon des médias privés, une dizaine de civils auraient été tués dans deux villages situés dans la préfecture de Kpendjal, proche de la frontière avec le Burkina Faso.
Dans un communiqué daté du 19 juillet, la Conférence des évêques du Togo (CET) exprime sa compassion aux populations touchées par des attaques terroristes meurtrières dans la région des Savanes, dans le nord du pays, et lance une mobilisation de fonds pour soutenir les déplacés.
L’une des meilleures actions de la lutte contre le terrorisme consiste à l’essouffler en coupant ses sources de financement et les informations révèlent que l’extorsion du bétail aux populations est l’un des moyens par lequel les groupes terroristes se procurent de l’argent.
Après les dernières attaques dans le nord du pays, la situation devient préoccupante : les populations continuent à quitter leurs villages pour les villes ou d’autres endroits qu’ils estiment moins dangereux. La situation est prise au sérieux, les autorités multiplient les initiatives et le président Faure Gnassingbé est retourné dans la région mercredi 20 juillet où il a rencontré les diverses couches de Dapaong, ville située à l’extrême nord du pays.
Dans un communiqué publié le mardi 19 juillet 2022, le gouvernement togolais a rappelé que la publication des photos des personnes disparues lors des récentes attaques terroristes au nord du pays, est une infraction punissable d’autant plus que ces images sont affligeantes pour les familles endeuillées.