Niger – La CEDEAO réagi suite à l’attaque terroriste
La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a réagi avec tristesse à l’attaque djihadiste qui a coûté la vie à 23 militaires nigériens dans la région de Tillabéri
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La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a réagi avec tristesse à l’attaque djihadiste qui a coûté la vie à 23 militaires nigériens dans la région de Tillabéri
«…Pourquoi la Commission de la CEDEAO garde-t-elle alors tout le silence sur le cas togolais et ne le condamne pas? Pourquoi, le tollé général et la désapprobation massive que les partis politiques de l’opposition et les organisations de la société civile togolaise élèvent depuis des années contre les coups de force institutionnels, constitutionnels et électoraux au Togo ne retiennent pas l’attention de votre Commission? Pourquoi la Commission de la CEDEAO s’intéresse-t-elle tant au Peuple sénégalais mais pas au Peuple togolais? Pourquoi cette condamnation à géométrie variable?
Dans un communiqué de presse en date du 26 Février 2024, la Coalition de la Diaspora Togolaise pour l’Alternance et la Démocratie (CODITOGO) exhorte le Chef de l’Etat togolais Faure Gnassingbé à emboiter le pas à ses pairs de la CEDEAO en libérant les prisonniers politiques.
Trois pays du Sahel, Mali, Burkina-Faso et Niger, ont quitté de tout droit la CEDEAO. C’est un coup dur qui…
La Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a conclu un sommet extraordinaire le samedi 24 février 2024, à Abuja, au Nigeria, pour discuter de la situation politique préoccupante dans la sous-région. Au cours de cette réunion d’importance capitale, les dirigeants ont pris des résolutions cruciales, dont la levée des sanctions à l’égard du Niger et la réitération de l’appel à la libération et à la protection de l’intégrité physique du président Mohamed Bazoum, renversé en 2023 par les autorités militaires actuellement au pouvoir dans le pays.
Samedi dernier, la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) lors d’un sommet extraordinaire, a décidé de lever les sanctions à l’encontre du Niger.
Dans cette Tribune Libre, Kouessan Yovodévi, journaliste et Directeur de l’information et de la communication de la Présidence de la République, livre son analyse sur l’avenir de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique l’Ouest (CEDEAO). Lecture.
Le Centre d’études stratégiques de l’Afrique (CESA), avec le soutien de l’Ambassade des Etats-Unis d’Amérique au Togo, anime dès ce lundi à une rencontre internationale sur la sécurité en Afrique de l’ouest. Plusieurs experts venus des pays de la CEDEAO y prennent part.
Le 8 février 2024, au palais de la Marina à Cotonou, le président du Bénin, Patrice Talon, a animé une conférence de presse où il a évoqué les développements nationaux et sous-régionaux, mettant en lumière les nombreuses crises en cours en Afrique de l’Ouest. Il a également partagé son point de vue sur le retrait de certains pays de la région de l’organisation ouest-africaine.
À travers les sanctions (de la Cédéao), les populations payaient déjà pour un putsch qu’elles n’avaient pas commandité, même si certains l’ont applaudi.
Depuis l’annonce du retrait du Burkina Faso, du Mali et du Niger de la CEDEAO, une vague de réaction secoue l’Afrique. Le premier ministre Burkinabé Apollinaire Joachim Kyélem de Tambèla a justifié une décision mûrement réfléchie.
La Communauté Economique des Etat de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a pris des positions extrêmes, jusqu’à menacer, surtout publiquement, le Niger d’une intervention militaire pour rétablir le président Mohamed Bazoum dans ses fonctions, après le coup d’Etat du 26 juillet dernier. Déjà, en ne mettant pas en exécution sa menace, la CEDEAO s’est davantage affaiblie. En dehors de la sortie de la Mauritanie il y a vingt-quatre ans, c’est une première de voir trois pays quitter simultanément l’organisation. Surtout que cela se passe au moment où le Sahel fait face au défi sécuritaire qui s’étant désormais aux pays côtiers pendant que les grandes puissances accentuent leurs convoitises dans la sous-région
Les “visites de travail” entre Lomé et Niamey se multiplient à la suite de l’annonce du retrait de la CEDEAO par le Niger, le Burkina Faso et le Mali. Le chef de l’État togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, a échangé ce mardi 30 janvier 2024, avec le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, en visite de travail à Lomé.
Les pays membres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) ont réussi un revirement diplomatique digne d’une véritable « remontada » en football. Mis au banc par la CEDEAO et relégué en position de touche il y a quelques mois, ces 3 nations ont repris du poil de la bête en reprenant une position dominante dans les tractations avec l’institution ouest-africaine.
Cependant, sur la toile, des internautes expriment leur perplexité quant à cette visite du ministre togolais. Certains spéculent sur des discussions économiques, tandis que d’autres avertissent les autorités nigériennes de se méfier, déclarant que le Togo est “la base arrière logistique des basses besognes de la françafrique !”
Serait-ce une première tentative médiation suite à l’annonce de la sortie de la CEDEAO du Niger ? Lundi à Niamey, une délégation conduite par le ministre togolais de l’Administration territoriale a été reçue par les autorités de transition. Il n’a pas été indiqué si cette discrète rencontre, dont le contenu des discussions n’a pas été dévoilé, est à l’initiative de la CEDEAO ou du seul état du Togo.
Je salue le courage du Mali, du Niger et de Burkina Faso. Ce qui leur reste à faire, c´est de créer leur propre monnaie pour parachever leur sortie de la CEDEAO, sinon l´ennemi est toujours là et les guette.
Le retrait du Burkina Faso, du Mali et du Niger de la CEDEAO est un vrai cauchemar pour l’organisation sous régionale d’après Nathaniel Olympio, président du Parti des Togolais. Selon lui, il y a un risque évident de disslocation.
C’est finalement au moment où personne ne s’y attendait que les trois (03) Etats qui ont formé l’Alliance des Etats du Sahel (AES) ont annoncé leur retrait de la CEDEAO (Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest). Les militaires au pouvoir dans ces pays l’ont annoncé dans un communiqué conjoint ce dimanche 28 Janvier 2024.
Le bilan de l’accident impliquant un camion-citerne de carburant au Libéria mardi s’élève désormais à 52 décès, avec 12 personnes de plus succombant à leurs blessures, selon le ministre de la Santé, le Dr Wilhelmina Jallah. La CEDEAO a exprimé ses préoccupations concernant l’explosion et s’est déclarée prête à soutenir les initiatives gouvernementales visant à enquêter sur les circonstances de l’incident.
Les discussions officielles se poursuivront en janvier 2024. Entre-temps, il n’est pas exclu que le président togolais Faure Gnassingbé, qui s’est récemment discrètement rendu à Niamey, retourne sur place pour faire avancer les négociations.
Accusée d’incohérence par les putschistes nigériens pour avoir autorisé la participation des membres du gouvernement de Mohamed Bazoum à son dernier sommet malgré la suspension du pays de ses instances, la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a émis un communiqué aujourd’hui, clarifiant la situation politique en République du Niger.
“Le Niger condamne fermement cette énième provocation, qui est de nature à saper tout effort diplomatique et négocier à la situation politique actuelle”, a martelé le Colonel Djibo dans un communiqué diffusé à la télévision nationale, tout en accusant la CEDEAO d’incohérence et de mépris pour les textes communautaires.
La société civile ne lâche pas les responsables de la CEDEAO. Réunis à Abuja au Nigeria à la veille du sommet des chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO, le Réseau de Solidarité pour la Démocratie en Afrique de l’Ouest (WADEMOS), Tournons La Page (TLP) et d’autres acteurs civiques et pro-démocratie ont relancé les décideurs sur la nécessite d’accélérer la révision des Protocoles de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne gouvernance et acter la limitation des mandats présidentiels. Lire le communiqué de presse conjoint rendu public à cet effet.
Parmi les résolutions prises à la 64ème session ordinaire de la CEDEAO, figure la décision de mettre en place un groupe de négociateurs censés discuter avec la junte militaire nigérienne. L’association du togolais Faure Gnassingbé, très conciliant avec le régime nigérien, au béninois Patrice Talon en compagnie du sierra-léonais Julius Maada Bio, fait penser à la bonne vieille technique policière du gentil et du méchant.
Le Président de la Commission de la CEDEAO, Omar Touray, a révélé que le Bénin, le Togo et la Sierra Leone formeraient une commission chargée de dialoguer avec la direction du CNSP au Niger, déterminant ainsi les progrès vers une transition courte et d’autres conditions pour lever les sanctions.
La 64è session ordinaire de la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) s’ouvre ce dimanche 10 décembre 2023 à Abuja au Nigéria. Le chef de l’Etat togolais Faure Gnassingbé y prend part.
Le 10 décembre, tous les regards seront tournés vers à Abuja, la capitale nigériane, où se tient la conférence des chefs d’Etat de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). En réalité, cette rencontre est une heure de vérité, au moment où l’organisation joue sa crédibilité et même, d’une certaine façon, sa survie, du moins dans son format actuel. Premier sommet depuis la création de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), en septembre 2023, il est très scruté par les citoyens communautaires et par tous les observateurs, chacun se demandant ce que va donc faire la CEDEAO, convaincu que plus rien ne sera comme avant.
Dans son rapport général sur l’état de l’Organisation régionale le 30 Novembre dernier, le Président de la Commission de la CEDEAO a indiqué que les trois (03) pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) vont bénéficier chacun d’une enveloppe de 1,9 millions de dollars US en vue de lutter contre le terrorisme.
Depuis le début de l’année, la Sierra Leone est objet de tentatives de coups d’Etat militaire dont la dernière en date est celle du dimanche 26 Novembre 2023. En soutien à l’actuel pouvoir en place, la CEDEAO envisage d’envoyer des éléments régionaux pour renforcer la sécurité nationale.
La Cour de justice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) a tenu lundi une audience concernant la plainte déposée par des avocats demandant la libération et le rétablissement dans ses fonctions du président déchu du Niger, Mohamed Bazoum.
Le président béninois s’est empressé dans la foulée des sanctions imposées par la CEDEAO au Niger suite au coup d’Etat militaire de Juillet dernier, de fermer les frontières de son pays. Lesdites frontières toujours fermées, n’ont pu empêcher l’inauguration hier 1er Novembre 2023 d’un oléoduc géant reliant le Niger et le Bénin.
Elle était (et reste) l’organisation sous régionale la mieux intégrée en Afrique. Comme communauté économique, la Cedeao a plus ou moins réussi la libre circulation des personnes et des biens sans malheureusement parvenir à une monnaie unique. Mais assez rapidement, la Cedeao s’est aussi transformée an une organisation politique agissant aussi bien sur le plan de la démocratie et la bonne gouvernance que la justice. Sans rentrer dans les détails, cette Cedeao a aider à ramener la paix et la régularisation constitutionnelle dans un certain nombre de pays.
Les coups d’Etats militaires successifs de ces trois dernières années dans la zone ouest-africaine ont le mérite de questionner le fondement de la CEDEAO ainsi que ses moyens d’actions. En ce qui concerne le Niger particulièrement, l’institution communautaire semble condamner à aller à la table de discussion avec les auteurs du coup d’Etat ayant emporté le président Mohamed Bazoum.
Lorsqu’au mois de mai dernier, je lis cette interview dan les colonnes de jeune afrique, où notre ministre dit que la Cedeao ne peut pas ignorer les clameurs populaires qui soutiennent les régimes militaires, les bras m’en tombent. Qu’un ministre malien ou burkinabe tienne de tels propos, qu’a cela ne tienne, mais un Togolais, ça le fout mal. Pourquoi? parce qu’au delà de tout ce qu’on peut reprocher à notre système politique, nous avons un président élu au suffrage universel, avec des élections présidentielles organisées tous les cinq ans.
Depuis le Coup d’Etat militaire ayant renversé le Président Mohamed Bazoum au Niger, suivi des sanctions décidées par la CEDEAO dont la fermeture immédiate des frontières et la suspension de toutes les transactions financières et commerciales avec le pays, près de 1000 camions provenant du Port de Cotonou sont bloqués à la frontière bénino-nigérienne.
Lors du « Forum de Lomé sur la Paix et la Sécurité » (Lomé Peace and Security Forum) tenu le week-end dernier dans la capitale togolaise, le Ministre nigérien de l’Intérieur, le Général de Brigade Mohamed Toumba, a été on ne peut plus clair sur une éventuelle intervention militaire de la CEDEAO. Pour le Ministre, cette opération signerait la fin de l’institution communautaire.
L’équipe de la République islamique de Mauritanie, connue sous le nom de “Deylol”, a émergé victorieuse en remportant la première place avec un impressionnant score de 6750 points. Leur victoire s’est accompagnée d’une récompense substantielle : un chèque de 10 000 dollars, des kits de certification et des ordinateurs portables pour chaque membre de l’équipe
Lomé la capitale togolaise accueille actuellement la troisième réunion du sous-comité des chefs d’état-major de la marine de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui a débuté le dimanche 15 octobre et se clôture ce lundi 16 octobre.
Alors qu’Emmanuel Macron penchait en faveur d’une intervention militaire pour rétablir l’ancien président nigérien dans ses fonctions, l’option semble, deux mois plus tard, hypothétique. Et si tout s’était joué lors d’une « journée des dupes », le 26 juillet ? Révélations.
En réponse au coup d’Etat militaire du 30 Août 2023 ayant renversé le régime Bongo, la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) a annoncé la suspension du Gabon de ses instances. Pourtant le Chef putschiste, ayant prêté serment et devenant Président du Gabon, est allègrement reçu par les Etats membres de la CEEAC.
Au Mali, les autorités de transition ont annoncé le report de l’élection présidentielle à une date inconnue et accusent une entreprise française de « prise d’otage ». Prévue pour février 2024, cette élection est censée marquer la fin de la période de transition et le retour à l’ordre constitutionnel, après le coup d’État militaire d’août 2020.
Des militaires nigériens ont renforcé leur dispositif sécuritaire à Gaya, ville frontalière de Malanville au Bénin et Kamba au Nigéria, située à plus 300 km de Niamey.
Plus d’une trentaine de personnalités issues d’Organisations de la Société Civile (OSC) et associations, de journalistes de plusieurs pays africains dont principalement le Togo, et divers membres de la dispora togolaise ont adressé une lettre ouverte au Président en exercice de la CEDEAO, Son Excellence Adekunle Ahmed Asiwaju Bola Tinubu. L’objet principal est d’attirer l’attention de l’institution communautaire sur la situation politique du Togo.
Avec l’Ukraine, c’est la situation au Niger qui a dominé la réunion des ministres européens des Affaires étrangères ce jeudi à Tolède, en Espagne. Pour les Européens, la CEDEAO doit garder la main et l’Union européenne suivra ses initiatives.
Le jeudi 31 août 2023 à Ouagadougou, le président burkinabè Ibrahim Traoré a tenu une réunion avec une délégation russe dirigée par le vice-ministre russe de la Défense, Iounous-Bek Ievkourov, selon les informations de l’Agence d’information du Burkina.
La Commission de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a réagi ce soir à une information concernant un prétendu calendrier de transition proposé pour le Niger. “L’information, en français et prétendument relayée par l’AFP, est fausse et doit être traitée comme une fausse nouvelle.”
Air Senegal est chargée d’assurer le déplacement de 900 soldats ainsi que du matériel militaire vers la ville béninoise de Cotonou, qui pourrait potentiellement servir de base arrière pour les forces d’intervention de la CÉDÉAO.
La junte militaire nigérienne ne compte pas courber l’échine devant la CEDEAO. Comme mesure de rétorsion aux sanctions contre le Niger, elle interdit l’entrée sur son territoire aux ressortissants de 5 pays d’Afrique de l’Ouest dont le Togo.
Au lendemain du coup d’État du 26 juillet 2023 dans un Niger désormais dirigé par les militaires, il pleut sur le pays une batterie de sanctions qui se passent de commentaires. L’objectif ne souffre d’aucune ambiguïté : faire mordre la poussière aux putschistes qui ne semblent pour autant pas affectés par ces représailles aux conséquences beaucoup plus préjudiciables pour les pauvres populations qui n’en demandent pas tant.
Le gouvernement algérien vient de dépêcher son Ministre des Affaires Etrangères dans trois (03) Etats de l’Afrique de l’Ouest en vue de convaincre la CEDEAO de la possibilité d’un règlement du dossier nigérien sans recours à la force militaire.
L’Union Africaine (UA), à travers son Conseil Paix et Sécurité, a eu du mal à dissimuler son désaccord d’avec la Communauté Economique Des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sur le dossier du Niger qui traverse une période de crise politique suite au coup d’Etat militaire du 26 Juillet dernier.
Abdulsalam Abubakar dit être optimiste que « la diplomatie va prévaloir car la guerre à laquelle les dirigeants ouest-africains envisagent en cas d’échec des négociations, n’est dans l’intérêt de personne ».
La dernière session du Conseil de Paix et de Sécurité (CPS) de l’Union Africaine (UA) qui s’est tenue le 14 Août 2023 sur la situation au Niger a enfin livré son communiqué final, soit une semaine de tractation sur la conduite à tenir face à la ténacité des putschistes nigériens.
Comment peut-on comprendre que le Niger exploité depuis des décennies, cherche à s’affranchir de la mainmise et basse de la France sur les richesses du pays, et certains dirigeants au service de la France qui ne méritent même pas de diriger leur pays, cherchent toujours les voies et moyens pour maintenir ce pays dans la dépendance perpétuelle de l’exploitation ? Quel déshonneur pour les auteurs!
Alors que le général Abdourahamane Tiani a indiqué que l’ordre constitutionnel sera rétabli à l’issue d’une transition d’une durée maximum de « trois ans », la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) lui dit non.
Suite au coup d’État survenu le 26 juillet dernier au Niger, les frontières entre ce pays et la plupart des membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CÉDÉAO) ont été fermées dans le cadre de sanctions. Cependant, cette décision suscite l’indignation chez les pays voisins.
L’Algérie, dont le président Abdelmadjid Tebboune a déjà dit « non » à une intervention militaire chez son voisin du sud, « regrette profondément que le recours à la violence ait pris le pas sur la voie d’une solution politique négociée ».
C’est une des conséquences des sanctions de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) à l’encontre du Niger, suite au Coup d’État qui a renversé le président élu Momhamed Bazoum, le 26 juillet.
Une opération militaire multinationale avec des troupes au sol, des avions de chasse, des drones, des parachutistes pour aller récupérer vivant le Président Bazoum du Niger des mains de la junte qui l’a renversé, et le remettre dans son fauteuil. Ce n’est pas un gag ou un scénario de Nollywood.