Burkina Faso- Nouvelle tentative de déstabilisation déjouée
Au Burkina Faso, la junte assure avoir déjoué une nouvelle tentative de déstabilisation. Selon le ministre de la Sécurité, Mahamadou…
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Au Burkina Faso, la junte assure avoir déjoué une nouvelle tentative de déstabilisation. Selon le ministre de la Sécurité, Mahamadou…
La durée de la mission des troupes burkinabè au Niger, sous la menace d’une possible intervention armée de la Cedeao, est de trois mois renouvelable.
L’attaque a été repoussée, souligne l’armée qui dit avoir neutralisé plusieurs dizaines de terroristes. L’état-major général des armées déplore, cependant, la mort de 53 combattants (17 militaires et 36 VDP).
« Ce qui touche à la sécurité du Niger touche fondamentalement à la sécurité du Burkina Faso »
Face à la puissance de feu des VDP, les assaillants se sont repliés dans la forêt où se trouve leur base. Cependant, ils ont été repérés au moyen des vecteurs aérien de l’armée.
« Cette action minutieusement préparée et menée avec une grande coordination, a causé dans les rangs ennemis d’énormes pertes. Au bilan, une dizaine de terroristes neutralisés et un lot de matériel récupéré dont de l’armement, des munitions, six (06) motos, un (01) tricycle, un (01) vélo et divers autres matériels. »
Ces opérations ont eu lieu à une dizaine de km au nord de Ouahigouya, rapporte ce lundi l’Agence d’information du Burkina (AIB), qui parle de sources sécuritaires.
Les forces de sécurité ont sommé au personnel du bimensuel d’investigation de vider les lieux, avant de procéder à la mise sous scellés du journal.
À travers un communiqué ce week-end, le gouvernement de la région fait état de trente-trois personnes ont été tuées lors du passage des terroristes, a-t-on appris de Omega Medias.
Au total, une vingtaine de terrororistes ont été neutralisé « dans leur repaire de Yamba dans la province du Gourma », a rapporté jeudi l’Agence d’information du Burkina (AIB).
Composé de travailleurs et d’étudiants burkinabè, ils sont arrivés à bord d’un vol spécial affrété par les autorités burkinabè. Le vol a dû transité par le Caire, en Egypte, avant d’arriver à Ouagadougou, a rapporté Oméga médias.
Selon l’Etat-major qui parle d’une attaque « complexe d’envergure », face aux assaillants les militaires « ont fait preuve d’une remarquable détermination ».
« Mon Parquet, saisi de ces faits dont la gravité est avérée, a donné les instructions nécessaires à la sous-unité d’enquête de procéder à tous les actes en vue de les élucider et d’interpeller toutes les personnes qui y sont impliquées ».
« Grâce à la réactivité des VDP, l’ennemi a été défait et on dénombre 12 terroristes tués », renseigne l’AIB de sources sécuritaires. Un VDP a été blessé.
Des dépôts de carburant, des véhicules dont des pickups et des V8, ainsi qued des munitions, entre autres matériels, ont été détruits dans des frappes aériennes de l’armée.
Ces personnes ont été tuées par des groupes armés terroristes, qui ont attaqué Kourakou et Tondobi, des localités situées à environ 5 kilomètres de Seytenga, province de Séno, dans la région du Sahel.
Selon l’Agence d’information du Burkina (AIB), les opérations ont eu lieu jeudi et vendredi, pendant que ces terroristes s’apprêtaient à attaquer les populations deux villes susmentionnées.
Au lancement des opérations, une vingtaine de véhicules de combat appartement aux djihadistes ont été détruits, des terroristes neutralisés.
L’armée poursuit ses opérations dans plusieurs localités afin de neutraliser des terroristes, d’après toujours l’AIB.
Les djihadistes étaient revenus chercher les corps des leurs tués dimanche « dans les mêmes circonstances »,.
Pour Bassolma Bazié, ministre burkinabè d’Etat, ministre de la Fonction publique, du travail et de la protection sociale, l’heure n’est plus à l’instrumentalisation des facteurs religieux, ethnique ou régional à des fins politiques ou partisanes dans le fonctionnement de l’Administration publique.
Ces combats sont survenus ce mardi matin dans le Sourou et la Sissili, a rapporté l’Agence d’information du Burkina (AIB).
Il s’agit de la première vague de ressortissants burkinabè volontaires au rapatriement.
Au Burkina Faso, l’armée a repoussé lundi une attaque terroriste dans la province de Loroum. Les Forces combattantes du Burkina…
Après la Côte d’Ivoire ou encore la Guinée, qui ont rapatrié leurs ressortissants suite aux violences contre les migrants sub-sahariens…
Deux de leurs positions ont été déctetées par l’armée, qui a procédé à des frappes samedi neutralisant une vingtaine de terroristes.
Le rapport de la mission d’investigation présenté en Conseil des ministres, par le ministre des Infrastructures et du désenclavement, pointe le doigt des manquements dans l’exécution des travaux.
Du matériel de guerre, des vivres, du matériel roulant, en plus des engins explosifs ont été pris aux terroristes, croit savoir l’Agence d’information du Burkina (AIB) de sources sûres.
La sentence a été rendue mardi par le Tribunal de grande instance de Banfora « statuant publiquement et contradictoirement et en premier ressort », a rapporté l’Agence d’information du Burkina (AIB).
L’informatique est contenue dans une lettre confidentielle, le 28 février 2023, du ministère des Affaires étrangères du Burkina au ministère de l’Europe et des Affaires Etrangères de la République française.
Au cours de sa comparutions devant Tribunal de grande instance de Bobo-Dioulasso le lundi 27 février, Nestor Podassé fait son mea-culpa.
« Cinéma d’Afrique et culture de la paix. » C’est le thème choisi pour la 28e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco).
Il s’agit d’un bilan encore provisoire, précise l’État-major général des Armée du Burkina Faso.
« (…) Le désengagement des équipements et matériels restants de Sabre sera finalisé par une équipe de logisticiens déployés à cet effet, selon un chronogramme défini en accord avec l’Etat-Major Général des Armées », a indiqué l’armée du Faso.
Le bilan fait état deux VDP tombés et sept autres blessés. Côté ennemi, une vingtaine d’assaillants ont été neutralisés, leur matériel récupéré, a rapporté Oméga Médias citant des sources sécuritaires.
Plusieurs terroristes ont été neutralisés, des armes et des munitions récupérées également lors de l’opération.
Aucune information officielle n’a filtré sur les raisons de l’arrestation de ce leader de la société civile.
L’attaque est survenue mercredi à Koumestenga, croit savoir Omega Médias de sources locales.
La rencontre a lieu ce jeudi 9 février 2023 dans la capitale burkinabè. Au menu, les « relations entre les trois pays (Burkina Faso, Guinée, Mali-ndlr) », a rapporté mercredi l’Agence d’information du Burkina (AIB).
Le bilan fait état de six morts et une autre personne blessée, a rapporté ce jour Omega Médias, citant un communiqué du gouverneur de la région, Boucakar Traoré.
Le mercredi 1er février 2023, le commissaire du district de Yargatenga a été tué par des hommes armés, dont l’identifié reste inconnue.
Le but c’est de « soutenir les forces de défense et de sécurité, les volontaires pour la défense de la patrie et les grandes décisions des autorités de la Transition ».
Ils conduisaient un camion-citerne contenant 15 milles de carburant, a rapporté ce vendredi l’Agence d’information du Burkina Faso (AIB).
Le président français Emmanuel Macron a réclamé ce dimanche 22 janvier 2023 aux autorités burkinabè « des clarifications » sur une éventuelle demande de départ des troupes françaises au Burkina Faso. Il attend notamment que le président de transition Ibrahim Traoré « puisse s’exprimer ».
Selon l’Agence d’information du Burkina (AIB), le gouvernement a dénoncé l’accord datant de 2018 régissant la présence des militaires français au Burkina.
Selon plusieurs médias, la précision a été faite par le procureur de Djibo. C’était le jeudi 19 janvier, à travers un communiqué. Le parquet a annoncé l’ouverture d’une enquête.
Il s’agit d’une opération aéroterrestre menée avec l’appui d’un bataillon d’intervention rapide. Plusieurs terroristes ont été neutralisés, rapportent les informations sans plus de détails.
De sources médiatiques burkinabè, la gendarmerie nationale a fait son retour dans la localité. C’était hier vendredi 13 janvier 2023.
D’abord, ils les personnes qui se trouvaient dans la mosquée. Ensuite, ils ont essayé de les détourner de leur foi à travers des prêches. Alors que l’imam a manifesté son refus, il a été tué devant les fidèles. Huit autres personnes ont été exécutées également.
Chrysoula Zacharopoulou, la secrétaire d’Etat auprès de la ministre française des Affaires étrangères, chargée du développement, a rencontré mardi à Ouagadougou le président de transition du Burkina Faso Ibrahim Traoré pour décrisper les relations avec ce pays voisin du Togo, affirmant que “la France n’impose rien”.
L’opération, a rapporté l’Agence d’information du Burkina (AIB), a connu la participation des Forces spéciales été héliportées sur les lieux.
« Si j’ai pris la route, c’est aussi un message. Il faut que les leaders puissent être avec leurs hommes (…) », a lancé Ibrahim Traoré à l’endroit des soldats burkinabè stationnés dans la ville qui venait d’être libérée des terroristes.
Ensuite, le lendemain, l’abbé Jacques Zerbo du diocèse de Dédougou, selon les informations, a été enlevé. Avant d’être exécuté dans la province du Sourou.
Arrivée sur les lieux, la police judiciaire a pu « dénombrer et identifier dans un premier temps vingt et un (21) corps sans vie », avant de découvrir le jour suivant « sept (07) autres corps ». Portant le nombre de cadavres à 28.
De sources médiatiques burkinabè, l’annonce a été faite samedi dans un communiqué signé le ministre des Transports, qui parle d’un « incident grave » ayant occasionné « cinq blessés (…), des pertes en vies humaines ». Un bilan susceptible d’évoluer.
Après plusieurs heures d’audition au Tribunal militaire, il a été conduit à la gendarmerie de Paspanga, où il a passé sa première, a-t-on appris.
L’incident est survenu le 25 décembre dernier vers Bougui, département de Fada N’Gourma. C’est dans la province du Gourma dans la région de l’Est au Burkina Faso.
Au total, 1 810 105 personnes déplacées internes ont été recensé dans le pays, contre 1 761 915 auparavant.
Dans un communiqué, la ministre des Affaires étrangères de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’extérieur du Burkina, a annoncé que madame Barbara Manzi, coordinatrice Résidente du Système des Nations Unis au Burkina est déclarée « persona non grata» sur le territoire national du Burkina Faso.
Ce leader terroriste contrôlait un territoire qui part de « Toéni (dans le Sourou) jusqu’à Solenzo (dans les Banwa) », d’après toujours la même source, a été tué le 19 décembre dernier.