Sénégal : la Cour suprême confirme la condamnation du Premier Ministre Sonko
La Cour suprême du Sénégal a confirmé, mardi 1er juillet 2025, la condamnation d’Ousmane Sonko à six mois de prison…
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La Cour suprême du Sénégal a confirmé, mardi 1er juillet 2025, la condamnation d’Ousmane Sonko à six mois de prison…
En déplacement à Ouagadougou le weekend dernier, le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a accordé une interview à la Radiodiffusion…
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a vivement réagi aux récentes déclarations du président français Emmanuel Macron concernant « la…
Le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a annoncé lors d’un rassemblement de son parti, Pastef, le rapatriement imminent de plusieurs dizaines de Sénégalais bloqués au Liban.
Le lundi 12 août, le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a été reçu au Palais de Koulouba à Bamako par le président de la transition malienne, le colonel Assimi Goïta
L’opposant numéro 1 du pays, le fondateur du parti dissous Pastef, Ousmane Sonko, et son fidèle lieutenant et candidat à la présidentielle du 24 mars, Bassirou Diomaye Faye, ont quitté la prison de Cap Manuel ce jeudi soir.
Alors qu’il avait annoncé sa volonté de ne pas briguer un 3ème mandat à la tête du Sénégal et désigné l’actuel Premier Ministre Amadou Bâ comme son candidat aux présidentielles, Macky Sall pose ces derniers jours des actes qui s’apparentent à un rétropédalage. A-t-il vraiment réussi à s’exorciser des démons du 3ème mandat ?
La Cour suprême a confirmé jeudi 4 janvier la condamnation prononcée en mai dernier par la Cour d’appel à six mois de prison avec sursis pour diffamation face au ministre du tourisme Mame Mbaye Niang. L’opposant ne pourra pas se présenter à l’élection présidentielle du mois prochain, même si sa défense garde l’espoir d’une contre-attaque.
Sur les 93 candidatures reçues par la Cour Constitutionnelle pour les élections présidentielles de Février prochain, le dossier du potentiel candidat Ousmane Sonko sera le dernier à être examiné. Le mandataire de celui-ci n’ayant pas pu assister aux opérations de contrôle du dossier ce samedi 30 Décembre 2023.
Un juge sénégalais a ordonné jeudi que le chef de l’opposition emprisonné, Ousmane Sonko, soit réinscrit sur les listes électorales, ouvrant ainsi la voie à sa candidature à l’élection présidentielle de l’année prochaine.
Il faudra patienter encore pour savoir si l’opposant Ousmane Sonko pourra être candidat à la présidentielle de février prochain. Le tribunal de Dakar qui, depuis ce mardi matin 12 décembre, examinait la légitimité ou non de sa radiation des listes électorales a suspendu l’audience. Rendez-vous a été donné après-demain jeudi 14 décembre pour rendre sa décision.
Ce sera peut-être le dernier épisode du feuilleton judiciaire qui oppose Ousmane Sonko à l’État Sénégalais autour de sa radiation des listes électorales. Le tribunal de première instance de Dakar doit décider ce mardi 12 décembre au matin s’il faut radier ou réintégrer l’opposant sénégalais Ousmane Sonko sur les listes électorales. Une décision dont dépend sa candidature à la présidentielle de 2024 et qui fait suite à la décision de la Cour suprême de rejeter sa réintégration dans les listes.
Un tribunal de Dakar examinera le 12 décembre la réintégration ou non de l’opposant sénégalais Ousmane Sonko sur les listes électorales, dont dépend sa candidature à la présidentielle de 2024, a appris l’AFP mardi de source judiciaire.
Comme prévu, la Cour de Justice de la CEDEAO a statué ce 17 Novembre 2023 sur les 3 requêtes déposées par les avocats de l’opposant Ousmane Sonko dans sa bataille politico-judiciaire avec l’Etat sénégalais. Cette cour dont les décisions sont peu suivies par les Etats, a estimé qu’aucun droit de l’opposant n’a été violé par l’Etat du Sénégal.
La Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) du Sénégal a demandé ce 31 Octobre 2023 la réintégration de l’opposant Ousmane Sonko sur les listes électorales ainsi que la remise des fiches de parrainages à ses mandataires. Le Ministère de l’Intérieur a opposé une fin de non-recevoir à cette demande.
L’opposant sénégalais, Ousmane Sonko, qui a repris la semaine dernière sa grève de la faim, serait dans un coma profond depuis le lundi 23 Octobre 2023 selon son avocat Me Ciré Cledor Ly. Son état de santé se serait rapidement détérioré à la surprise de services des soins.
Monsieur Ayib Daffé, mandataire d’Ousmane Sonko s’est vu refuser l’accès aux locaux de la Direction Générale des Elections en vue de retirer les fiches de parrainage malgré une décision judiciaire annulant la radiation du leader du Pastef (dissous) des listes électorales.
L’opposant sénégalais Ousmane Sonko, détenu depuis fin juillet sous divers chefs d’inculpation dont appel à l’insurrection, a annoncé mardi 17 octobre reprendre sa grève de la faim qu’il avait arrêtée début septembre.
L’opposant sénégalais détenu depuis plus d’un mois déjà, s’est mis en grève de la faim pour protester contre son arrestation. En raison de cette privation volontaire de nourriture, il est hospitalisé depuis plusieurs semaines.
Le Ministre sénégalais de la Justice, a balayé du revers de la main les accusations portées contre la justice de son pays au sujet des nombreuses plaintes à l’égard d’Ousmane Sonko qui est incarcéré depuis près d’un mois déjà.
Malgré son état de santé défaillant d’Ousmane Sonko, dû à la grève de la faim entamée depuis son incarcération et l’horizon sombre qui obscurcit son univers politique, l’Etat sénégalais semble déterminé à lui faire boire le calice jusqu’à la lie. Il entend poursuivre l’opposant politique pour avoir dédommagement des biens détruits lors des récentes manifestations violentes en lien avec les déboires judiciaires de ce dernier.
Selon des sources provenant de ses avocats et des services pénitentiaires, l’opposant Ousmane Sonko a été admis en réanimation dans la nuit du 16 au 17 Août 2023. Depuis plusieurs jours déjà, l’état de santé du maire de Ziguinchor était alarmant.
L’opposant politique sénégalais Ousmane Sonko a été radié des listes du fichier électoral, a-t-on appris de source officielle, ce mercredi 16 août. Cette radiation, contestée par son camp, pourrait empêcher M. Sonko d’être éligible, et donc d’être candidat à l’élection présidentielle de février 2024.
Le gouvernement sénégalais a estimé lundi que l’opposant Ousmane Sonko ne pouvait en l’état actuel prétendre à un nouveau procès après sa condamnation dans une affaire de mœurs, et qu’il reste inéligible à la présidentielle de 2024.
Juan Branco, à peine libéré de prison, et expulsé du Sénégal, est rentré directement à Paris ce mardi 8 août. Il a organisé, dans l’après-midi, une conférence de presse pour parler de ses conditions de détention.
Au terme d’une traque à l’image d’un épisode de la série télévisée « 24 heures chrono », Me Juan Branco, avocat de l’opposant sénégalais Ousmane Sonko, a été arrêté ce week-end à la frontière entre la Mauritanie et le Sénégal. Depuis il est détenu à la Prison de Dakar tout comme son client.
L’opposant sénégalais a été a été inculpé lundi de ”fomentation d’insurrection” entre autres, trois jours après avoir été arrêté à son domicile, une inculpation assortie d’un mandat de dépôt.
Les ennuis judiciaires de la figure de proue de l’opposition sénégalaise, Ousmane Sonko ne sont pas prêts de se terminer. Arrêté une énième fois ce vendredi 28 Juillet 2023 pour de nouvelles charges, le maire de Ziguinchor a déclaré ce dimanche entamé une grève de la faim. Dans la même foulée, le journaliste Pape Ale Niang arrêté le lendemain se met en grève de la faim.
Placé en garde à vue, sept chefs d’accusation dont « appel à l’insurrection, vol, atteinte à la sûreté de l’État et association de malfaiteurs » sont retenus, cette fois-ci, contre le maire de Ziguinchor.
Le principal opposant au pouvoir de Macky Sall, qui a pu retrouver la liberté de ses mouvement il y a seulement quelques jous, a dénoncé la présence d’une forte équipe de la gendarmerie autour de son domicile ce vendredi 28 Juillet 2023. Ce soir, plusieurs sources proches de son parti parlent d’une arrestation d’Ousmane Sonko par des éléments du GiGN.
Le dispositif sécuritaire qui bloquait la cité Keur Gorgui depuis le 28 Mai dernier, empêchant notamment l’opposant Ousmane Sonko de tout déplacement hors de sa résidence, a été levé ce lundi 25 Juillet 2023. Les autorités sénégalaises n’ayant aucunement motivé l’enlèvement de ce dispositif, il est judicieux de se demander le sort que réservent ces dernières au natif de Ziguinchor condamné à deux (02) ans de prison ferme.
L’opposition a donné de la voix au Sénégal, où un concert de casseroles a retenti samedi soir à Dakar et dans plusieurs localités à l’appel de l’opposant Ousmane Sonko, candidat à l’élection présidentielle de 2024, qui entendait par cette manifestation protester contre l’interdiction de son meeting d’investiture.
L’opposant sénégalais Ousmane Sonko a été investi candidat à l’élection présidentielle de 2024, a annoncé vendredi son parti, en dépit de son éligibilité incertaine et peu après l’interdiction d’un rassemblement prévu samedi à Dakar pour officialiser cette candidature.
Cette fois-ci c’est officiel. Et c’est l’intéressé lui-même qui l’annonce solennellement. Macky Sall ne va pas briguer un troisième mandat en février 2024. L’opposition réagit, certains en demandent davantage.
Empêché de tout mouvement par un blocus policier sur les périmètres de sa résidence à Dakar, l’opposant sénégalais Ousmane Sonko a utilisé l’un de ses canaux favoris, les réseaux sociaux, pour s’adresser à ses concitoyens. Il reste et demeure virulent à l’égard d’une éventuelle candidature de Macky Sall aux prochaines élections présidentielles.
Les conclusions du dialogue national initié par le président Macky Sall au Sénégal révèlent peu ou prou la stratégie politique de celui-ci pour isoler son challenger principal, Ousmane Sonko. Le statut de certains leaders non négligeables de l’opposition comme Idrissa Seck, Karim Wade ou encore Khalifa Sall sera revu et renforcé au détriment du jeune maire de Ziguinchor.
Les Patriotes Africains du Sénégal pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité (PASTEF), le parti politique d’Ousmane Sonko a publié ce mardi 20 Juin un bilan des manifestations qui ont suivi la condamnation de son leader aux termes du procès « Adji Sarr ». Alors que le bilan officiel fait état de 16 morts, le Pastef annonce plutôt 30 personnes décédées.
Le gouvernement sénégalais a justifié jeudi par les délais de la justice et le “principe de précaution” le fait que les autorités n’aient toujours pas fait arrêter l’opposant Ousmane Sonko, condamné à de la prison ferme, mais le bloquent chez lui.
Les leaders des deux camps qui cristallisent la tension sociopolitique au Sénégal semblent être opposés à toute forme de dialogue sur les sujets au cœur desdites tensions. Alors que plusieurs médias locaux évoquaient l’envoi d’un émissaire par Ousmane Sonko vers Macky Sall, le parti politique de l’opposant et l’émissaire en question démentent toute approche de dialogue initiée par le leader du Pastef.
Emission la Voix du Peuple du samedi 10 juin 2023 sur la radio Avuleté. La crise sociopolitique sénégalaise au menu du débat.
De Léopold Sédar Senghor à Macky Sall, en passant par Abdou Diouf et Abdoulaye Wade, les pouvoirs ne font pas de cadeaux aux adversaires, au Sénégal.
Les observateurs de la scène politique sénégalaise s’accordent à dire que l’allié fondamental du président Macky Sall pour se débarrasser de ses adversaires politiques gênant est la justice. Alors que Dakar, Ziguinchor et d’autres villes se relèvent lentement des violences liées à la condamnation d’Ousmane Sonko, la plaignante dans ce procès vient de faire appel du jugement.
Statu quo au Sénégal après l’explosion de violences qui a agité le pays jeudi et vendredi derniers, dans la foulée de la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko à deux ans de prison ferme pour « corruption de la jeunesse ». Dans ce contexte de tension latente, la présence de « nervis » c’est-à-dire des hommes de main aux côtés des forces de l’ordre inquiètent.
Après plus de 3 jours de violentes manifestations liées à la condamnation pénale de l’opposant Ousmane Sonko, la capitale sénégalaise connait une petite accalmie. Cela a permis aux autorités de faire un bilan qui dévoile 500 personnes arrêtées par les forces de l’ordre.
La crise sociopolitique que traverse le Sénégal ne laisse personne indifférent. Des voix s’élèvent et accusent ouvertement Macky Sall. A Lomé, des défenseurs des droits humains mettent en garde le président sénégalais qui ambitionne briguer un 3em mandat.
Le parti des Forces Démocratiques pour la République (FDR) se dit consterné par le dénouement de l’affaire Ousmane Sonko au Sénégal. La condamnation de l’acteur politique à deux ans d’emprisonnement pour corruption a mis Dakar en feu et à sang avec à la clé, une dizaine de morts. Et cet état d’insécurité interpelle plusieurs observateurs et partis politiques de diverses horizons. Au Togo, les FDR n’étant pas du reste lancent un appel à la CEDEAO. Pour le parti de Me Apévon, il est hors de question que l’institution joue à nouveau, le médecin après la mort.
Déplorant la « perte en vies humaines », la CEDEAO appelle aussi à la « retenue et au règlement des différends par des moyens pacifiques », puis, « à défendre la réputation louable du pays en tant que bastion de paix et de stabilité ».
« On a enregistré dans la journée du 2 juin six décès, dont quatre dans la région de Dakar et deux dans la région de Ziguinchor ».
Le Directeur exécutif de la branche sénégalaise de l’ONG Amnesty International, joint par Radio France Internationale sur la situation qui prévaut dans plusieurs villes du Sénégal suite à la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko à deux ans de prison ferme dans l’affaire Adji Sarr, a exprimé la vive préoccupation de son organisation sur « l’usage disproportionné de la force par les forces de l’ordre ».
Comme on pouvait s’y attendre, l’annonce de la condamnation d’Ousmane Sonko à 2 ans d’emprisonnement ferme dans l’affaire Adji Sarr a immédiatement engendré des manifestations violentes dans le pays. En réaction à ses violences, le gouvernement a tout simplement bloqué l’accès à plusieurs applications de réseaux sociaux.
« Je ne comprends pas les décisions qui ont été prises. Je jure devant Dieu que je n’ai rien fait et Dieu sera au contrôle », a-t-elle déclarée, relayée par Seneweb.
Après sa condamnation pour une peine d’emprisonnement de deux ans ferme ce jeudi 1er Juin 2023 dans le procès initié contre lui par l’ex employée de « Sweet Beauty » Adji Sarr pour viols, Ousmane devra probablement être arrêté et déposé en prison. Une situation qui risque de raviver les tensions déjà très vives dans la capitale sénégalaise.
Le Chef de l’Etat sénégalais s’est prononcé sur les violences répétitives qui secouent le pays, et qui sont liées au feuilleton judiciaire mettant en scène l’opposant Ousmane Sonko (principal accusé) et d’autres citoyens avec divers chefs d’accusation. Macky Sall s’est montré très ferme sur le sujet dans son intervention au dialogue national ouvert hier mercredi.
Les charges de viols et de menaces de morts contre Ousmane Sonko ont été abandonnées pour défaut de preuves insuffisantes, le leader du Pastef/Les Patriotes a été, cependant, condamné à deux ans de prison ferme pour corruption de la jeunesse.
La journée de ce lundi 29 Mai a été marquée à Dakar par des heurts aux alentours du domicile d’Ousmane Sonko. La zone de Keur Gorgui assiégée par les forces de l’ordre a été l’objet de batailles rangées, de tirs de gaz lacrymogènes contre des jeunes s’opposant au traitement imposé au leader du Pastef.
Selon le Ministre sénégalais de l’intérieur, des armes auraient été retrouvées dans le convoi que l’opposant Ousmane Sonko a décrété pour quitter Ziginchor et arriver à Dakar par la route. Il n’a toutefois pas fait de précisions sur la nature desdites armes.
Le gouvernement sénégalais a promis jeudi la fermeté contre toute tentative de troubles à l’ordre public alors que l’opposant Ousmane Sonko, menacé d’inéligibilité à la présidentielle de 2024, s’apprête à prendre la route pour Dakar à la tête d’un convoi populaire.
Pour toute réaction à l’audience pénale tenue par le Tribunal de Dakar dans l’affaire « Sweet Beauty » dans laquelle il est accusé par l’ex employée Adji Sarr de viols, l’opposant Ousmane Sonko a annoncé devant ses partisans dans sa ville Ziguinchor qu’il se rendra très prochainement à Dakar. Et ce sera par la route à travers « une caravane de la liberté ».
Nous sommes tous d’avis, que l’opposant charismatique, Ousmane Sonko a eu un différend juridique avec un des ministres de Macky Sall, notamment celui du tourisme où il est question de diffamation.
De nombreux observateurs s’étaient interrogés sur les motivations du Ministre Mame Mbaye Niang en faisant appel du jugement condamnant l’opposant Ousmane Sonko à deux mois de prison avec sursis et à 200 millions de francs CFA de dommages-intérêts. Le contenu de l’arrêt rendu en appel remet sérieusement en cause l’éligibilité du maire de Ziguinchor pour les présidentielles de 2024.