Mali : la CEDEAO réagit aux tirs de mardi à Bamako
Le mardi 17 septembre 2024, le Mali a été la cible d’attaques terroristes dirigées contre des installations militaires dans la…
Le mardi 17 septembre 2024, le Mali a été la cible d’attaques terroristes dirigées contre des installations militaires dans la…
« Mais pourquoi ne pas dire appauvrissement ? Qui a appauvri l’Afrique ? Ce sont nos présidents… », a déclaré avec véhémence l’homme qui n’a jamais cessé de critiquer des dirigeants tels que Faure Gnassingbé du Togo, Patrice Talon du Bénin et Alassane Ouattara de la Côte d’Ivoire
J’ai nommé le Président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, en tant qu’Envoyé Spécial pour le Burkina Faso, le Mali et la République du Niger, en collaboration avec le Président du Togo, Faure Gnassingbé.
Pendant ce temps, des critiques persistent à l’égard de la CEDEAO, certains observateurs pointant du doigt ses réponses jugées insuffisantes face aux coups d’État constitutionnels et aux violations des principes démocratiques dans certains pays membres.
Les participants ont également exhorté la Commission de la CEDEAO à prendre des mesures pour encourager les autres États membres à se connecter au « SIGMAT e-hub » d’ici fin septembre 2024.
Un collectif d’organisations de la société civile togolaises ont saisi, il y a une dizaine de jours, le Président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) sur le changement de Constitution au Togo et lui exposent dix (10) bonnes raisons de ne pas l’accepter. Lire ci-dessous en intégralité la lettre.
2005, une année de bascule pour le Togo. A la mort du général Gnassingbé Eyadéma après 38 ans de règne sans partage, son fils, Faure Gnassingbé, accapare le pouvoir par un coup d’Etat, avec le soutien de quelques généraux. Suite au tollé des Togolais, et à travers le monde, il recule, puis organise une élection frauduleuse avant de s’installer à nouveau dans le fauteuil présidentiel. Un tour de passe-passe qui ne trompe personne.
La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a réagi avec tristesse à l’attaque djihadiste qui a coûté la vie à 23 militaires nigériens dans la région de Tillabéri
«…Pourquoi la Commission de la CEDEAO garde-t-elle alors tout le silence sur le cas togolais et ne le condamne pas? Pourquoi, le tollé général et la désapprobation massive que les partis politiques de l’opposition et les organisations de la société civile togolaise élèvent depuis des années contre les coups de force institutionnels, constitutionnels et électoraux au Togo ne retiennent pas l’attention de votre Commission? Pourquoi la Commission de la CEDEAO s’intéresse-t-elle tant au Peuple sénégalais mais pas au Peuple togolais? Pourquoi cette condamnation à géométrie variable?
Dans un communiqué de presse en date du 26 Février 2024, la Coalition de la Diaspora Togolaise pour l’Alternance et la Démocratie (CODITOGO) exhorte le Chef de l’Etat togolais Faure Gnassingbé à emboiter le pas à ses pairs de la CEDEAO en libérant les prisonniers politiques.